Un témoignage éloquent du bilan positif du président du Comité national olympique et sportif du Mali (Cnosm), serein à la tâche depuis plus de deux décennies.
Bonjour Monsieur le président. Mes salutations distinguées aux membres du Cnosm présents, aux présidents des fédérations sportives et à la presse
Monsieur le président, je vous remercie pour ce temps de parole que vous m’accordez pour faire un bref témoignage de ce que j’ai constaté concernant la gouvernance du Cnosm. J’ai été élu à la présidence de la Fédération malienne des échecs le 12 mars 2023. De ce jour à maintenant j’ai fait des constats basés sur des critères objectifs d’appréciation de la gouvernance qui règne au sein du Cnosm.
La gouvernance est une question de vision et d’orientation organisationnelle qui vise à garantir la transparence, la responsabilité, l’équité et l’intégrité dans la prise de décision.
Au niveau du Cnosm, j’ai particulièrement remarqué, en plus des statuts et de la Charte olympique qui gouvernent l’organisation, l’existence d’un manuel de procédures administratives, comptables et financières et d’un plan stratégique de développement sur la période 2020-2024. C’est pour dire que le Cnosm dispose des outils essentiels pour assurer une bonne gouvernance.
Tous les états financiers du Cnosm sont audités par un cabinet d’expertise comptable avant d’être soumis à l’appréciation des fédérations sportives membres au cours de l’assemblée générale ordinaire et à la zone II de l’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (Acnoa-zone II).
Une assemblée générale ordinaire est tenue chaque année pour rendre compte aux fédérations sportives membres du bilan de l’année écoulée. Ainsi, chaque année, les fédérations sportives ont l’opportunité d’évaluer les résultats obtenus par le Cnosm et de critiquer au besoin les insuffisances constatées et de proposer des mesures correctives pour améliorer constamment les performances du Cnosm.
Au cours de la dernière assemblée générale, tenue le 21 octobre 2023, le secrétaire général de la Zone II de l’Acnoa, le Sénégalais Seydina Omar Diagne, qui a pris part aux travaux, a fait une appréciation très positive du président du Cnosm et président de la Zone II de l’Acnoa, Habib Sissoko. Parlant du président Habib Sissoko, il a dit, je cite : ‘Je vais vous faire une révélation. Habib Sissoko ne voulait pas se représenter comme président de la Zone II, pour un 3e mandat de quatre années. Mais à l’unanimité, tous les huit (8) pays de la Zone II ont écrit et ont pris contact avec moi-même, secrétaire général, pour lui demander de nous accompagner encore davantage. Je voudrais lui dire un grand merci pour ce qu’il représente pour la Zone II, ce qu’il représente au niveau mondial. Habib est un homme exemplaire de droiture, courtois, travailleur, jovial, altruiste, franc, très honnête. C’est pourquoi, il est toujours sollicité par tous ses pairs au niveau de la zone II. C’est un véritable cade qui donne le bon exemple et contribue au rayonnement de tous les pays de la zone II, partout, dans toutes les instances internationales où il siège. Je vous assure que la liste est loin d’être exhaustive pour décrire la dimension de l’homme. Que le Bon Dieu lui accorde bonne santé et longue vie. Amen’.
Ces dernières années, la quasi-totalité des fédérations sportives survivent grâce à l’appui du Cnosm qui leur permet de réaliser des activités dans leurs disciplines respectives.
En plus, le président Habib Sissoko a une grande capacité d’écoute. Il reçoit régulièrement les responsables des différentes fédérations pour trouver avec eux les solutions idoines aux problèmes auxquels ils sont confrontés dans leurs disciplines respectives. Il a également initié une rencontre informelle trimestrielle entre le Cnosm et les différentes fédérations sportives pour échanger sur les difficultés auxquelles les disciplines sportives sont confrontées.
C’est au vu de ces constats que les fédérations sportives se sont réunies pour solliciter la candidature d’Habib Sissoko à la présidence du Cnosm pour la mandature 2024-2028. Cette candidature vise essentiellement à maintenir, voire à renforcer la cohésion qui existe au sein de la famille olympique du Mali. Aujourd’hui, les fédérations sportives ont encore besoin du leadership éclairé d’Habib Sissoko pour survivre dans un environnement de plus en plus difficile. Les quatre prochaines années seront mises à profit par les fédérations sportives pour asseoir la bonne gouvernance au niveau de chacune de leurs entités, pour renforcer la cohésion entre elles et préparer la succession d’Habib Sissoko.
Je vous remercie de votre aimable attention”.