La Transition va-t-elle gagner le pari de la paix entre « frères maliens », après la phase de sous-traitance internationale de la sortie de crise ? Les espoirs sont permis.
Après la dénonciation et le rejet de l’Accord pour la paix et la réconciliation, issu du processus d’Alger, les hautes autorités de la Transition mènent, de main de maître, la marche vers une paix définitive dans le pays.
En effet, sous la médiation internationale, dirigée par l’Algérie, la marche vers la paix et la réconciliation nationale au Mali s’était finalement enlisé. Cela, parce que le voisin algérien apparaissait comme très impliqué dans l’irrédentisme des groupes armés signataires. C’est au point que la Médiation a fini par être accusée de partialité en faveur des ex-rebelles. Comment cela pourrait-il en être autrement, quand on sait que le Grand voisin du Nord ne se gênait pas pour accueillir des leaders et cadres de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA). Cette situation a poussé les autorités de la Transition à dénoncer les manœuvres à peine voilées des autorités algériennes. Ce fut la phase de la crise diplomatique, qui a du reste conforté la caducité de l’Accord de 2015.
A partir de cette prise de responsabilité, le chef de l’Etat, chef suprême des armées et ses principaux collaborateurs ont clairement opté pour le mécanisme du « bâton et de la carotte ».
Cette nouvelle option forte va conduire à la reconquête de Kidal, en novembre 2023 et le déploiement dans la foulée, de plusieurs opérations de frappes et de destruction des nids des groupes armés rebelles. Ceux-ci sont désormais officiellement assimilés aux « groupes armés terroristes ». Leur traque sera sans répit, avec une foudroyante montée en puissance des FAMAs. Conséquence : les groupes armés terroristes vont subir plusieurs pertes, avec des combats intenses à divers endroits du territoire. C’est ainsi que l’on enregistrera la neutralisation de plusieurs chefs terroristes, dont des éléments proches des milieux irrédentistes algériens….
Sans oublier que les autorités initient en toute discrétion des tentatives de dialogues en de renforcer le vivre-ensemble et la cohésion sociale au sein des populations.
Cet engagement sans faille, doublé d’initiatives socio-économiques de création d’emplois, dans le Nord et le Centre du pays, vont pousser certains groupes armes à déposer les armes. C’est le cas récemment avec le Front de libération de l’Azawad (FLA), qui a rejoint la République pour s’insérer dans le processus de paix et de réconciliation nationale.
Par ailleurs, avec la coalition des forces armées de la Confédération des Etats du Sahel (AES), les experts tablent sur des succès dans la pacification des trois pays. Non sans omettre de préciser que des efforts doivent être déployés au plan socio-économique, afin de dissuader les groupes terroristes résiduels de recruter au sein des couches juvéniles désœuvrées. Ce qui va conforter la quête d’une paix définitive.
Boubou SIDIBE/maliweb.net
It is ideal method for peace process under total circumstance Mali exist. It provides for steps plus stages peace achievement we all would like. I with all my heart favor set forth peace process but I also declare we should have feasible plan in AES nations for well coordinated plus duly equipped No Stone Left Unturned Offensive that find plus neutralize or drive terrorists out of AES nations. In final process of implementation of plan we may set border security that prevent return of terrorists to any section of AES nations. Then we will have competent security plus freedom to advance living conditions with little or no fear of terrorists.
People of Books!
Henry Author Price Jr aka Kankan
Bouboutiga, je ne jamais vu dans ma vie quelqu’un qui hait son pays comme toi, Youssouf Sissoko et les politiciens Maliens de l’ADEMA-PASJ, CNID, PARENA, URD, FARE, UDD, ASMA, CODEM, YELEMA, etc….., c’est tres regrettable que le Mali ait fait des enfants comme vous!