Au Mali, il y a un nombre insuffisant de fonctionnaires de l’Etat. Cependant, de nombreuses entreprises privées et étatiques emploient des travailleurs. Ces hommes et ces femmes sont des soutiens pour leurs familles respectives.
Les sociétés existent sous plusieurs formes. Le constat général est que les citoyens au sein de ces entreprises sont souvent très mal payés et n’ont pas de plan de carrière. Le plus souvent, les mauvaises conditions de travail entraînent des licenciements, et les travailleurs sont victimes d’accidents du travail, souvent abandonnés par leurs employeurs. Face à ces maladresses et incohérences, l’Institut national de prévoyance sociale (INPS) s’impose comme un soutien indéfectible pour les employés en apportant une assistance sociale. Il sert également d’institut de conseil aux nombreux employeurs pour les aider à éviter des erreurs dans la gestion de leur personnel.
Pour accomplir cette noble mission avec succès, le directeur général de l’INPS, Ousmane Karim Coulibaly, et son équipe ont élaboré une stratégie efficace pour rapprocher les employés et leurs entreprises. Ils ont également opté pour une campagne de sensibilisation auprès de la population malienne afin d’encourager une adhésion massive à la cotisation à l’INPS. Grâce à l’efficacité de cette méthode, plusieurs catégories socioprofessionnelles adhèrent massivement à l’assurance volontaire.
La direction générale a mis en place une stratégie efficace pour multiplier les activités de l’institut à travers des séries de formations. Plusieurs cadres de l’INPS ont récemment suivi des formations de haut niveau, uniquement pour le bien-être de ses usagers. L’INPS s’est doté d’un centre de formation efficace pour la formation continue de ses agents. De nos jours, les CMI sont bien équipés et disposent d’un personnel qualifié pour une prise en charge efficace des nombreux patients.
Pour l’horizon 2025, Ousmane Karim Coulibaly et son équipe projettent d’apporter du sang neuf au développement social avec l’accompagnement des plus hautes autorités du Mali.
L’enfant du pays