La prostitution, l’un des plus vieux métiers du monde, prend une nouvelle dimension à Bamako. Dans les quartiers dits « chics » comme Baco Djikoroni Golf, ACI 2000, Sotuba, l’Hippodrome et d’autres quartiers périphériques, une forme moderne, en tout cas nouvelle surnommée « pâa », se développe avec l’essor des réseaux sociaux.
Loin des trottoirs qui étaient autrefois le théâtre de ces échanges, cette forme de prostitution s’organise désormais en ligne (via les réseaux sociaux) ou par téléphone. Les tarifs sont négociés avant de convenir d’un rendez-vous dans des hôtels, des appartements ou des domiciles privés. Le problème est que ce métier attire des profils variés : il ne s’agit pas uniquement de professionnelles de la rue, mais parfois de jeunes étudiantes, élégantes et bien intégrées, que l’on ne soupçonnerait jamais de pratiquer cette activité.
Dans certains quartiers, on observe ainsi des jeunes femmes louer des appartements coûteux malgré l’absence d’emploi stable, ce qui soulève des questions sur la provenance de leurs moyens financiers. La frontière entre jeunes filles ordinaires et prostituées devient floue, que ce soit sur les réseaux sociaux, dans les rues ou dans les boîtes de nuit de la capitale.
À Bamako, ce phénomène prend une ampleur telle qu’il devient difficile de distinguer celles qui se livrent au « pâa » des autres, que ce soit sur TikTok, Tinder, Sweet Meet ou Instagram. Souvent, quelques échanges suffisent pour organiser des rendez-vous tarifés, avec des sommes variant entre 5 000 et 50 000 francs CFA.
Cette nouvelle génération de jeunes femmes, surnommée « pâa ke law », affiche souvent les derniers modèles de téléphones et des tenues élégantes sans emploi déclaré. On les aperçoit rarement en journée, mais l’apparition de gadgets coûteux comme l’iPhone 16, proche du million de francs CFA, est révélatrice d’un style de vie surprenant pour beaucoup. Il est vraiment temps pour nos sœurs de « garder raison ». Sinon, c’est un Mali bien différent de celui des héros historiques comme Soundjata, Babemba et Modibo Keita qui se profile pour les générations futures, marqué par un décalage profond entre tradition et modernité.
Fousseyni SISSOKO
Source : NOTRE VOIE
Ce qui n’est pas dit dans cet article, c’est le fait que ce sont les Français, puis la MINUSMA et toutes les autres troupes étrangères qui ont en à peine une décennie transformé le Mali en un vaste bordel !
Partout au Mali, des bordels à soldats étrangers. “BMC” dans le jargon de l’armée française pour “bordel militaire de campagne”.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bordel_militaire_de_campagne
C’est avec ces étrangers que la prostitution des Maliennes et la consommation des drogues ont explosé dans notre pays, car l’argent des contribuables du monde entier à travers l’ONU coulait à flots au Mali.
C’est aussi pour freiner la perversion de la jeunesse malienne que ces forces étrangères ont été foutues dehors.
Tres bien dit car en Haiti en dehors des enfants naturels en pagaille, de la prostitution a ciel ouvert meme dans les cimetières c’est aussi le Cholera que ces forces ont amene dans le pays et il a tue plus de 6000 Haïtiens!
C’est dommage pour ce pays qui est aujourd’hui plongé dans un désœuvrement total des cadres, rien ne marche dans nos administrations, nous sommes dans une totale léthargie, ceci conduisent à des comportements malsains. Le pays est totalement arrêté, poussant nos plus jeunes à partir vers la prostitution et les comportements indignes. Qu’Allah nous aide à ouvrir des portes pour les cadres afin qu’ils oublient des bêtises de ce genre. N’oublions pas de retenir que l’oisiveté pousse à des prostitutions en tous genres.
Sossikoke tu es certainement un des clients en ligne!