Le président d’honneur du parti Yèlèma (le changement) devient en politique, comme un Milieu de terrain de football, jouant sur toute la surface de récupération. «Djila par ci, Djila par là, Djila partout! Epoustouflant! … », s’exclamait le reporter sportif Demba Coulibaly sur les ondes de Radio Mali.
A l’instar de Mohamed Djila, ce milieu- récupérateur du Stade malien de Bamako, des années 80, l’ancien Premier ministre malien, Moussa Mara fait flèche de tout bois, en vue de marquer des points… «… au profit du Mali», précise un de ses ‘’lieutenants’’ à Bamako, répondant à notre question qu’est ce qui fait courir Moussa Mara? Futur président de la République? On en parle, avec quelques détails de précision: entre Assimi Goïta et Moussa Mara, le choix se fera, évoque-t-on dans une importante chancellerie à Bamako.
L’ancien Premier ministre d’IBK est devenu un grand voyageur, qui visite les pays africains de la sous-région, l’Europe et les Etats-Unis. Qu’est-ce qui fait courir cet homme, plusieurs fois candidat malheureux à la présidentielle malienne, jamais propulsé à un second tour? Faut-il nous en tenir à la réponse de son ‘’lieutenant’’? Il aurait aimé être chef de guerre comme Assimi Goïta, mais seulement ce dernier est dans le métier des armes, contrairement à lui. Ils ont eu le même rêve, ramener Kidal dans le giron malien.
En «Kèlè tigi» (chef de guerre), ils ont tous les deux respectivement conduit une guerre à Kidal. Et le Mali, sous la houlette de FAMa a remporté la victoire sur les cessessionistes. Moussa Mara séjourne actuellement aux Etats-Unis d’Amérique où il a fait les Etapes de Philadelphie et de New-York.
A New-York, dans le cadre de la 79ème assemblée générale des Nations unies, Moussa Mara a eu des séances de travail avec des organisations en mesure d’aider nos pays avec de nouveaux types de financement. Il a animé un panel sur les moyens internationaux innovants de financer les pays en difficulté comme le Mali, avant de participer à des échanges avec des étudiants de l’université de New-York sur les questions de démocratie et de leadership.
Moussa Mara a participé ensuite à des évènements en marge de l’assemblée, des réunions sur les perspectives de réformes du système financier international vers davantage d’équité entre les pays et en faveur des populations les plus fragiles; c’était avec d’autres membres du club de Madrid. Puis l’ancien Premier ministre malien a rendu des visites de courtoisie à certains leaders de la communauté malienne. Lors de l’étape de Philadelphie, Moussa Mara a reçu certains de nos compatriotes à son hôtel et rendu des visites de courtoisie à des représentants de la communauté malienne. Il a également pris part à quelques prières collectives. Avec eux, ils ont parlé de notre pays, de ses défis et perspectives. Il a encouragé chacun «à œuvrer pour le Mali et à aider les Maliens du mieux qu’il peut».
B. Daou
En tout cas nous ne savons pas quelle regle diplomatique a ete utilisee pour que Moussa Joseph puisse acceder aux reunions des Nations Unies. Il ne faisant pas partie de la delegation nationale du Mali. La deuxième question est de savoir ou est passe Cherif Kone le president en exile de TiCherie Diagouraga? Elle nous disait qu’ il devrait se rendre aussi a l’ Assemblee Generale des Nations Unies!!!
On ne s’étonne pas des activités d’un homme politique qui a été successivement maire d’une grande commune de la capitale, ministre, premier ministre, député,s’il ne fait pas peur.
SEUL LE PEUPLE MALIEN DOIT TRANCHER, SI ON EST VÉRITABLEMENT UN DÉMOCRATE.
Sans doute ASSIMI GOITA et ses thuriféraires dont ce journaliste honteux B.DAOU ne le sont pas.
Ils ont peur de la sanction du peuple.
Ce qui les oblige à éliminer tous ceux qui s’activent à préparer les élections présidentielles.
ON A PEUR DE MOUSSA MARA.
Si l’atout d’ASSIMI GOITA, c’est la libération de Kidal, ses thuriféraires ne l’aident pas.
Les maliens savent que la libération de Kidal est une illusion puisque que le reste du pays y compris Bamako est à portée des JIHADISTES,que Kidal peut être re-occupée à tout moment.
IL EST REPROCHÉ À MOUSSA MARA D’EFFECTUER UN VOYAGE MALGRÉ LES AVERTISSEMENTS DE NOS PARTENAIRES ONUSIENS.
Il n’a jamais eu comme mission de libérer Kidal!!!
Cette ville, ce sont les puchistes de 2012 qui l’ont perdu avec comme chef de guerre les GENERAUX YAMOUSSA CAMARA et IBRAHIM DAHIRU DEMBELÉ.
Ils sont les guides d’ASSIMI GOITA!!!
En vérité,Kidal n’a jamais été occupée par les séparatistes,mais par les JIHADISTES chassés par les français.
Kidal a été protégée par la France et l’ONU.
Naturellement après leurs départs, il était facile de l’occuper.
Les thuriféraires d’ASSIMI GOITA en font un exploit alors que c’est une normalité pour une armée nationale.
IBK pouvait facilement occuper Kidal, si la France ne l’empêchait pas.
ASSIMI GOITA n’aurait jamais occupé aussi Kidal, si la France était toujours là.
L’objectif n’est pas la prise de la ville de Kidal, mais la sécurisation du territoire national.
Des accords signés dans les années 1990 et 2000 l’ont été sans que Kidal soit occupée par les séparatistes.
Ils ont été signés pour ramener la sécurité dans la zone.
Donc la mission assignée à ASSIMI GOITA, c’est de ramener la sécurité, pas d’occuper Kidal.
On peut ramener la sécurité sans occuper Kidal.
On peut occuper Kidal sans ramener la sécurité.
Ce qu’on constate depuis l’occupation de Kidal.
Donc c’est un échec pour ASSIMI GOITA tant que la sécurité n’est pas assurée.
C’est pourquoi il doit laisser la place à un élu.
L’élu incarne les préoccupations de la population.
Le puchiste incarne les préoccupations des mafieux.
L’élu a des partenaires internationaux.
Le puchiste a des partenariats impérialistes telles la Russie et la Chine.
ASSIMI GOITA est supporté par des mafieux occupés à profiter des deniers publics comme un certain IBK.
B.DAOU, un journaliste qui a révélé son vrai visage avec les puchistes!!!