La crise énergétique touche tous les secteurs publics, para publics ou privés. Les hôpitaux en souffrent davantage. Mali Tribune au cœur de la peine des patients.
Depuis plus de huit mois que ça dure, la crise énergétique n’a pas été plus ressentie par les populations que pendant le mois de ramadan (fin mars-avril 2024). Les températures, oscillant entre 40 et 43 °C, des personnes du troisième âge et des fragiles sont passées de vie à trépas.
En plus, des patients souffrant de maladies bénignes ont connu des sorts peu enviables. Plusieurs hôpitaux et Centres de santé de référence, (Csréf) de la capitale ont enregistré des hécatombes. Des morgues débordées jusqu’à obliger des parents éplorés à inhumer leurs disparus à la hâte.
Cette tragédie aurait pu être évitée. Dans un Csréf de la rive droite, ces délestages qui s’étendent sur plusieurs heures font que le travail est totalement paralysé. Le fonctionnement normal du bureau des entrées, du bureau de l’AMO, du laboratoire, etc., est bloqué.
Dans cette situation désastreuse, des malades évacués d’urgence pour une crise de paludisme passent des heures sans prise en charge puisque le médecin, faute de résultat d’analyse ne peut prescrire quoi que ce soit. Certains dans un état comateux ou même ceux hospitalisés en attente de soins dont la vie n’est pas en danger, meurent devant leurs parents impuissants.
Un parent de malade témoigne. « Mon oncle a été hospitalisé dans un Csréf de la rive droite cinq jours durant, pour un accès palustre. C’était exactement dans la première semaine du mois d’avril. Entassés dans la salle d’hospitalisation, j’en ai vu mourir dans la détresse. Souvent des brancardiers venaient déposer des corps inanimés dans notre couloir ou même dans notre salle, faute de place dans les tiroirs des morgues. Au même moment, les patients et leurs accompagnants suffoquaient de chaleur torride. Il fallait soit un brasseur d’air, un humidificateur rechargeable ou bien un simple éventail pour passer quelques coups de vents ou de fraîcheur. Une autre astuce consistait souvent à faire sortir le malade dans la cour de l’hôpital en plein air, pendant quelques heures sous la moustiquaire. Pendant notre court séjour où mon oncle a pu s’en sortir, j’ai comptabilisé une dizaine de décès dans notre bloc ».
A l’image de ce Csréf de la rive droite, d’autres Centres de santé, des CHU et grands hôpitaux de la place sont logés à la même enseigne. Dans la plupart des cas, les groupes électrogènes qui doivent automatiquement pendre le relais pour suppléer les coupures, sont à l’arrêt. Selon un infirmier d’un Csref, « ces mêmes groupes n’ont pas la capacité de prendre le fonctionnement de tout le centre de santé. Dans cette situation, seuls, le laboratoire, le bureau des entrées, celui de l’AMO et la morgue sont privilégiés. Si la coupure perdure, il arrive que le groupe lâche. En plus, aucun de ces hôpitaux ne peut financièrement faire face aux charges générées par la nouvelle situation ».
Abdrahamane Dicko
L’indécente et ignoble racaille wagnérienne, avec à sa tête le menteur sénile KinGON_le_CON, viendra encore nous dire que la sécurité prime sur la santé ; et que le peuple n’a qu’à prendre son mal en patience en mourant à petit et doux feu tout en avalant la couleuvre d’une arnaque politique se faisant pudiquement appelée
. Oh, sacrés i-diots !—
Pensées rebelles.
Abdrahamane Dicko, combien d’arbres as-tu plante depuis le debut de l’année? Combien vas-tu planter d’ici a la fin de l’année pour lutter contre la desertification et le réchauffement climatique, c’est un conseil citoyen!
Tu as raison Abdrahamane Dicko doit planter des arbres.
Abdrahamane Dicko doit installer des centrales solaires
Abdrahamane Dicko doit régler définitivement le problème de l’électricité au Mali
Abdrahamane Dicko doit enfin climatiser tous les hôpitaux etc….
Bla bla, vieille andouille, Abdrahamane Dicko ne reçoit pas les impôts des Maliens, demande des comptes aux militaires incompétents qui dirigent le Mali
Abdrahamane Dicko !!! Connais-tu le grand et vieux Kingui ?
C’est un prof de santé publique internationalement ; il parle 11 langues et son expertise est connu dans autant de pays ;
Il va apprendre aux directeurs d’hôpitaux et dispensaires de se passer d’énergie et les choses iront mieux
Les Colonels eux sont au frais et attendent les centrales nucléaires en buvant du thé
kan les pays qui connaissent mon expertise sont: Mali, Pays-Bas, Belgique, Haiti, France, Trinidad and Tobago, Grenada, St Vincent and the Grenadines, Dominica, Antigua et Barbuda, St Lucia, Barbade, St Kitts and Nevis, Belize, Jamaïque, Iles Caymans, Bermuda, Turks and Caicos, Bahamas, Honduras, Guyana, Suriname, Brésil, Canada, Etats-Unis, Angola, Nigeria, Afrique du Sud, Namibie, Ouganda, Gabon, Kenya, Zambie, et Inde
Ha !!! Pas les mêmes pays que la dernière fois……ça progresse !!!
Ta mythomanie est sans limite le vieux
Je constate quand même que l’ensemble des pays se portent mieux que le Mali (sauf haiti) qui t’as visiblement pas écouté . Tu n’es pas entendu dans ton pays ?
As-tu remarqué aussi comment ces pays sont propre (sauf Inde) ? Cela n’a jamais affecté ta réflexion ?