Le témoignage criard de la femme qui a perdu son enfant dans les conditions avilissantes, déshonorantes, et scandaleuses dans un hôpital de Bamako, doit interpeller les autorités sanitaires et les obliger à repenser le système et la gouvernance de la santé du Mali.
Le mal de l’hôpital au Mali est très profond. Les hôpitaux manquent de tout ou presque. Les plateaux techniques sont dans un piteux état, ou sont parfois inexistants dans bien de disciplines.
Les laboratoires sont bien souvent arrêtés faute de réactifs, parfois de consommables et régulièrement par manque d’entretiens courants des équipements. Une simple goutte épaisse ou une numération formule sanguine (NFS) relève du parcours du combattant dans certains hôpitaux.
Les prescripteurs manquent le plus souvent de simples ordonnanciers et de petits matériels de diagnostic et de soins ; L’hygiène est catastrophique, les lits d’hospitalisation sont vétustes, pas de circuits sécurisés d’élimination des déchets biomédicaux exposant à des maladies nosocomiales.
Les directeurs se succèdent, mais rien n’est fait pour l’amélioration continue et intelligente de la gouvernance hospitalière. Bref, la puissance publique elle-même n’accorde aucune importance, ou très peu à la santé (Réf. Loi de finances 2024 et le budget dérisoire alloué à la santé).
Au bout de la chaîne, le personnel hospitalier, sans aide et sans accompagnement, et bien souvent livré à lui-même, devient le maître chanteur qui dicte sa loi avec des méthodes peu orthodoxes pour certains.
Ce qui vaut pour l’hôpital, vaut pour tous les secteurs essentiels, et il urge de nous investir, toutes et tous, au chevet du grand corps malade, le Mali. Je nous y encourage vivement. Vivement des hôpitaux modernes, robustes, intelligents et résilients pour le bonheur du Mali et des Maliens. Dieu bénisse et préserve le peuple du Mali
Dionké Fofana/Expert/Analyste en Sciences sociales, politiques et économiques
Corruption !!! Le personnel soignant malien n’est pas épargné par l’immense corruption ; le personnel administratif également. Les structures de soins sont à l’image du pays
10 000 pèlerins maliens à la Mecque chaque année. Coûts du pèlerinage: quatre millions 4 000 000 de CFA par pèlerin . Multiplions 4 000 000 CFA x 10 000 =40 000 000 000 CFA, 40 Milliards’ Tres bonne reflection, ces 40 milliards peuvent être utilises pour aider nos hôpitaux malades et si nous croyons en Allah soyons sures qu’il va nous bénir car cette somme va alleger la grande souffrance de ses creatures.
10 000 pèlerins maliens à la Mecque chaque année.
Coûts du pelerinage est quatre millions 4 000 000 de CFA par pèlerin .
Multiplions 4 000 000 CFA x 10 000 =40 000 000 000 CFA, 40 Milliards .
40 MILLIARDS DE CFA, JETÉ DANS L OBSCURANTISME ESCLAVAGISTE ET CRIMINEL, COMBIEN VOUS MOURREZ DES MAINS DE CES GENS QUI GRIGNOTENT VOS TERRES DEPUIS DES SIÈCLES VIOLENT VOS FEMMES FONT DE VOS HOMMES DES ESCLAVES, DETRUISENT VÔTRE PAIX NOCTURNE ET JOURNALIÈRE ET VOUS POURSUIVENT DE CHÂTIMENTS MÊME DANS VOS TOMBES APRÈS LA MORT?
40 MILLIARDS DES FRANCS DES SINGES, PEUVENT CONSTRUIRE UN HOPITAL MODERNE PARTOUT AU MALI CHAQUE ANNÉE, ÉQUIPER DES HÔPITAUX, PRENDRE EN CHARGE DES MALADES GRATUITEMENT CHAQUE ANNÉE, FORMER DES DOCTEURS ET INFIRMIERS CHAQUE ANNÉE, ACHETER DES ARMES POUR VOUS DEFENDRE DES NAA MAAW ET DES NAA MAA DENW. YEREWOLO TE TAA YALA MAKAN.
Tant que les docteurs et autres personnels soignants n’aurons pas compris que les structures hospitalières ne sont pas des zones d’enrichissement, les patients continuerons à souffrir, c’est dommage. Les docteurs n’ont aucunement pitié de leurs patients et cette situation est vraiment déplorable. Les blouses blanches ont totalement oublié leur serment d’hypocras
Le docteur est le produit de la même folie sociétaire, tout le monde est égoïste parmi les civils. Seuls les militaires, certains une majorité c est sûr sont conscients et altruistes au Mali.
ATTENTION, UN NOUVEL ISRAEL EST EN GESTATION AU RWANDA, ON VEND LE RWANDA.