Aujourd’hui nous rendons hommage à deux figures emblématiques du paysage médiatique : Imourane Coulibaly, Directeur Fondateur de l’hebdomadaire “LE CARREFOUR”, et Oumar Bouaré, Rédacteur en chef du journal de faits divers “KABAKO”. Leur travail a non seulement marqué leurs lecteurs, mais a également inspiré de nombreux jeunes journalistes.*
Imourane Coulibaly
En tant que fondateur de “LE CARREFOUR”, Imourane Coulibaly a su bâtir un hebdomadaire respecté grâce à sa vision claire et à ses écrits percutants. Ses analyses approfondies et ses critiques constructives ont influencé de nombreux jeunes journalistes, leur montrant l’importance de l’intégrité et de la responsabilité dans le journalisme. Imourane n’a pas seulement rapporté des nouvelles ; il a proposé des solutions, incitant ses lecteurs à réfléchir et à agir pour un avenir meilleur.
Oumar Bouaré :
Oumar Bouaré, en tant que Rédacteur en chef de “KABAKO”, était un maître dans l’art de raconter des histoires. Sa capacité à aborder des faits divers avec tact et sensibilité était remarquable. Oumar avait une manière unique de dénoncer les injustices sans condamner, offrant ainsi une perspective nuancée qui invitait à la réflexion plutôt qu’à la colère. Son talent pour écrire avec délicatesse a su captiver de nombreux lecteurs tout en sensibilisant à des problématiques souvent négligées.
Tous deux ont laissé une empreinte indélébile dans le journalisme. Imourane, par ses analyses, a encouragé une nouvelle génération de journalistes à aborder leur métier avec rigueur et créativité. Oumar, de son côté, a prouvé que même les faits divers peuvent être traités avec profondeur et respect, élargissant ainsi la portée du journalisme.
De nombreux collègues et lecteurs se souviennent d’eux avec admiration. Ils ont souvent exprimé à quel point leurs écrits et leur engagement les ont inspirés, tant sur le plan professionnel que personnel.
En honorant la mémoire d’Imourane Coulibaly et d’Oumar Bouaré, nous célébrons non seulement leurs contributions individuelles, mais aussi l’héritage qu’ils laissent derrière eux. Que leur passion pour la vérité, leur sens de l’éthique et leur dévouement au journalisme continuent d’inspirer les futures générations.
Célébration :
Nous demandons à la Maison de la Presse d’organiser un événement en leur mémoire, où nous pourrons partager des souvenirs, lire des extraits de leurs écrits, et discuter de leur impact sur le journalisme aujourd’hui.
Cet hommage est une façon de rappeler à tous l’importance du journalisme engagé et de la responsabilité sociale qui l’accompagne.
Bamananden Journal Kojugu Kelebaa #JKK#02
C’est dommage que nous soyons un peuple qui n’aime pas les hommes de ce genre du moins, les hommes véridiques et sincères, nous aimons les menteurs, les tricheurs, les voleurs, et les fins dribleurs quel peuple bizarre? Tout le monde applaudit, magnifie et donne des faux titres aux menteurs et aux faux types, quel peuple bizarre? Notre pays sera difficile bien bâti dans un proche avenir tant que nous serons comme çà.