10 décembre 2018- 10 décembre 2024 : Le Wagadu a six ans

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Le 10 décembre 2024 marque le sixième anniversaire du journal Le Wagadu. En six ans, le journal Le Wagadu, hebdomadaire d’informations générales paraissant tous les mercredis, a réussi à frayer son chemin dans le landerneau médiatique malien.

La présence régulière de Le Wagadu dans les kiosques à journaux n’a pu se faire que grâce aux soutiens multiformes de ses partenaires, annonceurs et de ses abonnés. Par cet acte, ils ont contribué au rayonnement du journal Le Wagadu. C’est le lieu de leur dire merci pour leur confiance. Et merci pour la confiance renouvelée.

Comment oublier nos lecteurs, les infatigables de tous les jours et de tous les instants. Vos observations et critiques ont contribué à améliorer la qualité du Canard. Soyez-en remerciés et continuez à nos faire parvenir vos remarques, critiques et suggestions. Parce qu’au journal Le Wagadu, nous voyons en vos critiques, remarques et suggestions une marque d’estime et de sympathie. C’est pourquoi nous leur accordons beaucoup d’importance.

Le sixième anniversaire du journal Le Wagadu est célébré à un moment où le Mali traverse une crise multidimensionnelle avec ses nombreuses implications sur les différents secteurs d’activités économiques. Une crise qui a eu une grande répercussion sur les médias maliens.

Toutefois, en dépit de cette crise multidimensionnelle, il est du devoir de l’Etat, des pouvoirs publics de soutenir la presse malienne, qui est aujourd’hui à l’article de la mort. Faut-il rappeler que la dernière aide publique à la presse remonte à 2019 et les abonnements au niveau des ministères sont arrêtés depuis 2020.

Aussi, les pouvoirs publics rendront-ils un immense service à la presse en mettant fin aux abonnements avec les tiers et en poussant les départements ministériels et les services publics à s’abonner avec les propriétaires des journaux. Cette histoire d’abonnement à travers des tiers est un manque à gagner considérable pour les journaux maliens, qui doivent faire face à des nombreuses charges notamment les impôts.

Abdrahamane SISSOKO

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