Il y’a 34 ans que la démocratie au Mali voyait le jour avec le renversement de Moussa Traoré, au pouvoir depuis 23 ans, et à la mise en place du Comité de transition pour le salut du peuple, présidé par Amadou Toumani Touré, jusqu’au 8 juin 1992, c’était e 26 mars 1991. Ce coup d’État marquait un tournant décisif dans l’histoire du Mali. Ce qui fera que chaque année, la célébration du mois de mars est la perpétuation de la mémoire de tous les martyrs de 1991 et de la démocratie acquise au prix du sang et des vies humaines
Ma part de contribution à la commémoration du 26 mars 2025 car elle ne devrait pas être banalisée, sous aucun prétexte.
Pour l’un des pionniers de cette démocratie, l’ancien Ministre et actuel Secrétaire Général du Comité Exécutif Adéma-PASJ Yaya Sangaré nous dira que Mars 1991, un héritage commun en péril, des défis partagés ! Et que c’est en mars 1991, plus précisément un mardi 26, que le Peuple souverain du Mali a mis fin à 23 ans de règne du Général Moussa Traoré et s’est résolument tourné vers une expérience démocratique dont on ne peut plus faire table-rase. Tant des hommes et des femmes maliennes, en majorité des jeunes, ont consenti jusqu’à l’ultime sacrifice pour l’avènement de cette ère. Comme dans la chronologie des événements, il y a le Mali d’avant le 26 mars 1991 et le Mali d’après le 26 mars 1991 ; il y a eu le Mali de la dictature, des privations, des ténèbres et le Mali de la démocratie, des libertés, de l’espoir et des lumières. Le Peuple malien ayant pratiqué des régimes politiques totalitaires, peut légitimement apprécier la saveur de la Démocratie, de l’Etat de Droit, de la République. Et il ne s’en laissera jamais priver, malgré les tentatives désespérées de diaboliser et de dénigrer ses acteurs. Mais l’on a beau dire, il n’y a pas de démocratie sans démocrates ; ceux-ci doivent animer, entretenir, nourrir, féconder la démocratie et la faire vivre, vaille que vaille.
Constat amer de la Démocratie
Le sang des martyrs, l’encre de notre démocratie
Avant d’ajouter que L’Adéma-PASJ, l’un des partis politiques avant-gardistes du Mouvement démocratique, de par son parcours singulier et évocateur, a le plus grand rôle à jouer dans la veille et la vigilance pour que les acquis de notre démocratie ne disparaissent pas. Les Maliens ont encore besoin de leur classe politique pour la formation de l’opinion, l’encadrement idéologique et politique des citoyens, et leur participation critique aux processus décisionnels des affaires publiques. Ils ont besoin de leur classe politique pour la perpétuation de la mémoire collective de leur noble combat pour un nouvel espoir, l’amélioration constante de leurs conditions d’existence. Ils ont besoin de leur classe politique pour avoir le choix libre entre des projets de société alternatifs pour leur pays, à l’issue de compétitions saines et positives.
Car pour lui la classe politique malienne attend beaucoup du Parti, l’Adéma-PASJ, en raison de son ancrage sociologique et politique, mais surtout de son expérience dans la gestion de l’Etat, de son maillage du territoire national, de son enracinement populaire, de la fidélité irréprochable de ses militants à la base. Le peuple malien est, certes, de plus en plus désabusé. Mais notre Parti peut beaucoup pour le Mali, si ses militants et ses dirigeants restent unis et solidaires dans les actions politiques, en s’ouvrant à d’autres formations politiques, aux composantes actives de la société, avec courage, sincérité et humilité.
« Notre pays traverse une période très difficile voire sensible ; les douleurs et autres frustrations qui habitent les démocrates et les patriotes convaincus sont patentes. Mais ces moments difficiles doivent nous transformer, nous sublimer et nous rendre plus forts pour l’avenir. Démocrates et républicains, nous ne serons jamais assez bons pour certains de nos adversaires et, surtout, pour les partisans du raccourci en politique. Agissons donc pour ceux qui, nombreux, nous apprécient et nous respectent pour les valeurs que nous incarnons. Avec intelligence, droiture, engagement, militantisme, fermeté et efficacité. Dieu sauve le Mali de l’aventure et du chaos ! Que prospère un Mali meilleur dans un État de droit, terreau de la République et de la Démocratie, toutes choses dont nous devons nous montrer dignes. Que Dieu bénisse notre beau pays, le Mali ! Vive la Démocratie ! Vive la République ! Djandjo aux Martyrs de mars 1991 ! » Conclut ses propos l’ancien Ministre Yaya Sangare.
`Bokoum Abdoul Momini/maliweb.net
Yaya Sangare, la democratisation de la corruption est ton heritage et celui de ton parti ADEMA-PASJ, je ne le partage pas du tout!
In nutshell one mistake all military governments make is not to aggressively pursue competent security plus comfortable world class modern living conditions availability for all. People do not hesitate to choose competent security plus comfortable world class modern living conditions over NATO democracy. In fact they will set forth competent security plus comfortable world class modern living conditions as being democracy above NATO democracy. That is usually true being superior living conditions are beast this world have to offer whether it’s under NATO democracy or some other form of governance.
People of Books!
Henry Author Price Jr aka Kankan
Yaya Sangare, tu dois savoir que la democratie made-in France, la Baule dont tu es le produit a donne comme resultat la democratisation de la corruption par ton ADEMA-PASJ, le partage du Gateau-Mali, la Famille d’Abord et la perte des 2/3 du territoire nationale Malien!