Ça se passe au Grin : Le cache-nez du président

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Les membres du grin avouent ne rien comprendre de l’usage continuel du cache-nez par le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta. Ils pensent que le cache-nez est uniquement utilisé pour se protéger des maladies contagieuses, comme le coronavirus dont la transmission se fait par les microgouttelettes que l’on projette dans l’air, en respirant ou en parlant.

En se couvrant le nez et la bouche, jusqu’au menton, avec un masque, on limite la quantité de microgouttelettes que l’on projette autour de nous. Cependant, pour le cas du président, ce dont les membres du grin sont sûrs et certains, c’est que ce n’est pas à cause du coronavirus qu’il porte le masque. “Cette maladie n’est plus d’actualité, le virus a été totalement circonscrit partout dans le monde”, expliquent-ils.

Au grin, les membres font des analyses différentes sur la question. Certains affirment que le président est issu de l’unité de force spéciale, c’est pourquoi, il ne parvient pas à se débarrasser de l’habitude de couvrir son visage.

D’autres soutiennent plutôt qu’il n’aime pas beaucoup parler, d’où cette propension à se couvrir la bouche. Il y en a qui avancent l’hypothèse qu’il se protège de la grippe ou d’autres formes de contamination. Toutefois, les membres du grin souhaitent vraiment savoir pourquoi le président Assimi Goïta porte toujours le cache-nez.

Ibrahima Ndiaye

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12 COMMENTAIRES

  1. Il peut continuer à cacher sa sale tête de putschiste, on a nos éléments en CI qui sauront le trouver ! Rends le pouvoir au peuples vaurien là !

    • C’est plutôt toi qui a un grain le lépreux de service. Mais au stade que tu as atteint il sera impossible de te soigner ….

  2. Il est des manies très révélatrices d’une disposition de l’esprit, même inconsciente. Il n’est pas impossible que le colonel putschiste dissimule son visage pour tenter de masquer sa honte devant le désastre que constituent quatre années de dictature dans un pays qui, depuis toujours, à une soif irrépressible de liberté. Sigmund Freud aurait sans doute analysé ceci avec brio.

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