Alors que je m’apprêtais à couper des pieds de salade d’un coup sec, comme Energie du Mali (EDM SA) le fait couramment avec le courant, j’ai pensé à EDM qui coup d’un coup sec synchronisé ! Sacrée EDM ! Chers et distingués amis, en âme et conscience, avons-nous le droit de nous plaindre avec la même vigueur d’EDM ? De geindre avec le même désespoir et ou colère ? Par exemple, ceux qui ne fraudent pas, payent leurs factures, sont-ils égaux en gémissements que ceux qui font le contraire ?
Ou encore, les partis politiques qui ont été au pouvoir et qui, s’ils ont eu une vision énergétique pour le pays, soit ne l’ont pas appliquée, soit doivent accepter que leur projet ou gestion du domaine est quasiment un échec, doivent-ils s’en prendre, avec hargne même parfois, aux autorités actuelles ? Sachant aussi que l’administration que lesdites autorités coiffent est majoritairement celle formée, conditionnée et léguée par les dits partis politiques… Ces derniers, doivent-ils emprunter la posture faisant croire que changer les autorités est la solution ?
Quand on a appris, au hasard des discussions avec les uns et les autres, que l’on souffre pour payer ce que l’on consomme et que d’autres, pendant ce temps abusent, on ne peut qu’aspirer à un profond changement. Et bien sûr saisir, accompagner de sa position, selon ses compétences le changement bénéfique. C’est surtout de ça qu’il s’agit. Et puis le monde s’avance vers la fin de l’interprétation actuelle de la démocratie. Car en fait, ce n’est pas un outil d’épanouissement des peuples, mais plutôt un instrument du mondialisme néolibéral, garantissant le pouvoir à une élite malléable servant ses intérêts.
KKS