Le gouvernement malien de transition “adhère totalement au diagnostic établi par la Fédération de Russie qui a pourtant mis en garde le monde, depuis des années, sur la nature néonazie et scélérate des autorités ukrainiennes, aujourd’hui alliées du terrorisme international”, rapporte un communiqué du 4 août.
Bamako a annoncé la rupture de ses relations diplomatiques avec Kiev, quelques jours après qu’un haut responsable ukrainien “a avoué l’implication” de l’Ukraine de dans une défaite de l’armée malienne et de ses alliés russes fin juillet à Tinzawatène, dans le nord du Mali.
L’État malien “condamne fermement cette agression ukrainienne et dénonce cette hostilité des autorités ukrainiennes, à rebours de la position de neutralité observée par le Mali qui a toujours appelé à un règlement pacifique de la crise opposant la Fédération de Russie à l’Ukraine”.
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