Devant s’exercer sur une durée de 18 mois, la phase de liquidation de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma), qui a débuté le 1er janvier dernier, prend fin, finalement, le 31 décembre.
L’information a été donnée par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Abdoulaye Diop, ce vendredi 14 juin dans les locaux de son département, lors de la réunion ministérielle du Comité de pilotage de la mise en œuvre de la résolution 2690. sur le retrait de la Mission onusienne.
À la date du 31 décembre 2023, le retrait de la Minusma est effectif. « Après cela, nous sommes entrés dans la phase de liquidation qui consiste essentiellement à mettre en place un certain nombre de mécanismes qui permet le retrait du matériel, la fermeture des comptes et toutes les tâches administratives qu’on doit faire pour consacrer le retrait définitif. de la Mission », a expliqué le ministre chargé des Affaires étrangères au terme des échanges.
À ce sujet, Abdoulaye Diop a fait savoir qu’une entité de liquidation de la Minusma a été mise en place et qui est constituée d’une petite équipe chargée essentiellement de ces tâches logistiques et administratives. Il dira par la suite que la réunion visa essentiellement à valider un certain nombre de requêtes de la Minusma par rapport à la réexportation de certains matériels ou des convois sur lesquels les doivent faciliter.
La mission onusienne a également fait « des demandes relatives à la sécurisation de la petite unité qui est sur place ». « Donc, la rencontre avait essentiellement pour objectif de pouvoir valider certaines de ces demandes qui avaient fait l’objet d’examen au niveau technique et qu’il fallait faire remonter au niveau du Comité de pilotage », a expliqué le ministre Diop.
Il s’agissait également de se mettre d’accord sur un certain nombre de convois qui doivent quitter notre pays. « Il y a aussi d’autres questions qui sont relatives à la douane », a ajouté le patron du département en charge des Affaires étrangères. Et de poursuivre : « c’était essentiellement pour pouvoir faire le point, donner ces autorisations pour que ces choses puissent se prolonger ».
Rappelant que la phase de liquidation devait s’exercer sur 18 mois, Abdoulaye Diop a signalé que notre pays a trouvé que cette durée est longue. Ajoutant que cette phase doit pouvoir se conclure à la fin de l’année 2024. « Tout est mis en œuvre en rapport avec l’entité de liquidation de la Minusma pour que nous puissions arriver à cette échéance pour pouvoir conclure définitivement la présence de ce qui reste de la Minusma sur notre territoire », a-t-il assuré. Et de déclarer que l’objectif de la réunion était également de s’assurer que « nous sommes en phase par rapport au respect de cette échéance ».
« Nous avons bon espoir qu’à la date du 31 décembre 2024, nous allons pouvoir conclure également cette phase de liquidation pour clore définitivement ces présences militaires et autres des Nations unies via la Minusma », a ajouté le ministre.
Abdoulaye Diop souligne ensuite que la présence des Nations unies après le 31 décembre prochain devrait se limiter à travers celle de ses fonds, programmes et agences.
Bembablin DOUMBIA
L’intention de confisquer le pouvoir explique la demande de retrait de la MINUSMA.
L’INTÉRÊT SUPÉRIEUR DU MALI COMMANDE DE PRIVILÉGIER L’ORGANISATION DES ÉLECTIONS SINCÈRES ET TRANSPARENTES.
C’est au peuple malien de décider du retrait de la MINUSMA.
C’EST LE PEUPLE MALIEN QUI A DÉCIDÉ DE LA PRÉSENCE DE LA MISSION DE L’ONU AU MALI PENDANT LA TRANSITION DE 2012 À TRAVERS SES REPRÉSENTANTS.
Des USURPATEURS sont venus décidés à leurs places!!!
Les juristes doivent commencer à réflexir sur leurs cas car après l’exercice du pouvoir, ils doivent s’expliquer.
Trop de maliens souffrent des décisions irresponsables des COLONELS PUSCHISTES.
La MINUSMA est soupçonnée, à juste raison, de connivence avec les séparatistes.
Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme international,son départ devrait nécessiter une validation de la population malienne car c’est elle qui subit fortement son absence.
VALIDER SIGNIFIE AVOIR LE CHOIX DES RECOMMANDATIONS DES PARTIS POLITIQUES PENDANT LES CAMPAGNES ÉLECTORALES.
La demande du départ précipité des COLONELS PUSCHISTES est une des recommandations.
D’autres sont dans le sac des partis politiques qu’on ne voulait pas du fait que le peuple malien est méprisé.
IL Y A UNE POSSIBILITÉ DE SE DEBARRASER DE L’INFLUENCE DE LA FRANCE SUR LA MINUSMA SANS DEMANDER SON DÉPART.
Des hommes de qualité dans la diplomatie malienne peuvent y parvenir.
Même cet opportuniste ABDOULAYE DIOP est capable d’aboutir à la présence de la MINUSMA sans l’influence de la France.
Il est ce diplomate qui a rendu possible l’accord d’Alger et celui qui y a mis fin
C’est dire qu’il agit en fonction des recommandations des tenants du pouvoir.
Il n’est pas un politique qui fonctionne en cohérence avec sa vision politique.
Il n’a pas de VISION POLITIQUE.
C’est un technicien qui fait le travail des hommes politiques.
IL DOIT ÊTRE AU SERVICE D’UN HOMME POLITIQUE ÉLU.
Il en est ainsi dans les pays qui comptent dans le concert des nations.
LE MALI, COMME TOUS LES PAYS CONFRONTÉS À L’INSÉCURITÉ,A BESOIN DE L’ONU POUR L’AIDER À ORGANISER LES ÉLECTIONS.
Les puchistes n’ayant pas l’intention d’organiser les élections, le départ de la MINUSMA est une évidence.
Le départ de la MINUSMA doit être accompagné de la RESTRUCTURATION DE L’ARMÉE MALIENNE afin qu’elle soit capable de sécuriser le territoire national sans faire appel à des mercenaires.
Ainsi les partis politiques vont exposer au peuple malien, à travers les campagnes électorales,leurs programmes permettant une remise à niveau de l’armée malienne permettant d’agir efficacement en l’absence de la MINUSMA.
Le peuple malien fait son choix dans les URNES.
Ce ne sont pas les hommes politiques qui sont élus mais les REPRÉSENTANTS DU PEUPLE.
La différence, c’est la confiance accordée à des hommes et des femmes.
Ça peut être des hommes qui ne sont pas connus du grand public,mais révélés pendant les joutes électorales.
C’est arrivé fréquemment dans les grandes démocraties.
Il n’est pas dit que ceux dénoncés vont nécessairement être élus.
Le dernier sur neuf candidats des élections présidentielles de 1992 a été celui qui a pris la tête du mouvement populaire contre MOUSSA TRAORE.
Il s’agit de MAÎTRE DEMBA DIALLO.
Avec les REPRÉSENTANTS DU PEUPLE,les lignes ont toujours bougé au Mali.
De 1960 à 1968.
De 1992 à 2012.
Le Mali est tombé dans l’humiliation avec les USURPATEURS.
De 1968 à 1991
De 2012 à 2024.
IBK a été imposé par les puchistes en manipulant les électeurs par le rejet du principal opposant SOUMAILA CISSE.
Il est le vrai vainqueur, si des élections sincères et transparentes étaient organisées.
Le chef religieux MAHMOUD DICKO a fait campagne dans les mosquées provoquant normalement son annulation par la cour constitutionnelle.
Le départ de la MINUSMA sans d’abord l’organisation des élections sincères et transparentes est un crime contre le peuple malien.