La justice internationale se lance aux trousses d’Iyad Ag Ghaly à travers la Cour pénale internationale (CPI) qui a lancé il y a quelques jours un mandat d’arrêt international contre lui. Chef du groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), l’homme est recherché pour des crimes commis pendant l’occupation du nord du Mali entre 2012 et 2013. Toutefois, on se demande comment la CPI, qui n’a pas une force de sécurité, va mettre la main sur lui d’où le scepticisme de nombreux observateurs. Surtout que les autorités maliennes n’ont jusqu’ici pas communiqué sur le sujet. S’ils parviennent à l’arrêter, il sera le 3e Malien à être jugé par la justice internationale après Ahmad Al Faqi, ancien membre d’Ançardine et d’Aqmi et Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud, un autre membre des groupes armés non étatiques. Il faut rappeler que l’ancien consul du Mali à Djeddah en Arabie Saoudite est impliqué dans la quasi-totalité des rébellions qui ont secoué le Mali depuis 1989. On se souvient que c’est lui qui a signé l’accord de Tamanrasset en janvier 1990, au nom des groupes armés. C’est d’ailleurs à partir de cet accord entre l’Etat malien et les mouvements armés que la démilitarisation des régions du nord du pays a commencé.
Well I hope we have learned from errors made Tamanrasset Agreement we should not ever demilitarize any area of Mali plus military present should be most capable force prepared to act on moment notice. Terrorists would not have been able to establish themselves. as result more resources could have been dedicated to development plus maintenance of comfortable world class modern living conditions.
Henry Author Price Jr. aka Kankan