PAS LE BIENVENU •Lors d’une visite au foyer de travailleurs de Vitry-sur-Seine pour sa campagne présidentielle malienne, l’ancien Premier ministre Moussa Mara a été exfiltré par la police face à une foule hostile de résidents maliens.
Lors d’une visite au foyer de travailleurs Manouchian à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), l’ancien Premier ministre malien Moussa Mara a dû être exfiltré par la police face à une foule hostile, dimanche soir, rapporte Le Parisien. Actuellement en tournée en Ile-de-France pour préparer sa candidature à l’élection présidentielle malienne de 2024, Moussa Mara est venu rencontrer la diaspora malienne de ce foyer, malgré des avertissements de certains résidents qui jugeaient sa visite inopportune. « Ce n’était pas une bonne idée », confie Ibrahima, un habitant du foyer.
Les tensions ont monté dès l’arrivée de Moussa Mara aux alentours de 19 heures, accompagné de plusieurs membres de son entourage. Très vite, il s’est retrouvé confiné dans une salle du foyer alors que plus de 150 résidents lui faisaient face, refusant de le laisser partir. « Il s’attendait à quoi ? Il est en partie responsable de la situation de notre pays », s’insurge un ressortissant malien cité par le quotidien.
Sorti par la petite porte
Les policiers sont d’abord intervenus en petit nombre, mais face à la virulence de la situation, ils ont rapidement demandé des renforts de tout le département et même de Paris. « Des équipes ont convergé de tout le département et de Paris », rapporte une source proche de l’affaire. Les tractations entre la police et la foule se sont poursuivies jusqu’à ce que Mara soit exfiltré sous haute protection. « Il est sorti par une fenêtre arrière avant de monter dans une voiture de police », racontent des témoins sur les réseaux sociaux.
L’incident a laissé certains résidents particulièrement amers. « L’histoire retiendra que Moussa Mara fut le premier ancien Premier ministre qui appelle la police française contre la diaspora malienne en France », note l’un d’eux, tandis qu’un autre conclut : « Nous ne voulons plus de politiciens qui n’ont rien fait, notamment contre le terrorisme. » Après son passage au commissariat, Moussa Mara a quitté Vitry-sur-Seine en taxi.
Source: https://www.20minutes.fr/
Tres bien fait pour ce politicien comme les autres. Qu’ils foutent la paix aux maliens qui ont des dirigeants soucieux de leurs avenir. Nous n’avons besoins d’aucun autre politiciens voleurs au col blanc. Nous voulons la gestion du Mali autrement que cette satanée democratie.
Merci beaucoup mon frère, très bien écrit
HOHO HOOOO MOUSSA MARA MENTEUR !! HAHA HA HAAAAAA MMM!!!
HIHI HIII HIHI HI HI HIIIII!!!!
https://www.youtube.com/watch?v=PEleZvIAn3A
“Lors d’une visite au foyer de travailleurs Manouchian à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), l’ancien Premier ministre malien Moussa Mara a dû être exfiltré par la police face à une foule hostile, dimanche soir, rapporte Le Parisien.”
Les Maliens de la diaspora ont “vitrifié” Moussa Mara à Vitry-sur-Seine !
Après avoir mené à la mort par inconscience des dizaines de fonctionnaires et de militaires maliens avant d’être exfiltré à Kidal par les Français pour être envoyé à Bamako, c’est maintenant en France même que Moussa Mara est allé se livrer à une nouvelle provocation cette fois envers la diaspora qui est la composante de la nation malienne la plus patriotique, avant une seconde fois d’être exfiltré par les Français. Moussa Mara risque cette fois de mener des Maliens non à la mort, mais à la prison et à la déportation, sachant que certains de nos compatriotes dans ce pays ne sont pas administrativement en règle.
Je redonne ici en intégralité l’article du journal français Le Parisien publié le lundi 28 octobre :
“Val-de-Marne : chahuté, un ancien Premier ministre du Mali exfiltré par la police d’un foyer de travailleurs
Sylvain Deleuze
« Dimanche soir ? C’était chaud. » Cet habitant du foyer Manouchian à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) ne cache pas un léger sourire ce lundi midi. La veille au soir, des policiers ont dû intervenir pour exfiltrer l’ancien Premier ministre malien, Moussa Mara, venu rencontrer ses compatriotes, en pleine tournée politique en Île-de-France. Les forces de l’ordre ont même dû se déployer en nombre alors que plus de 150 personnes refusaient qu’il quitte les lieux.
« Il devait venir samedi mais nous lui avons expliqué que ce n’était pas une bonne idée, explique tranquillement Ibrahima (le prénom a été modifié),en train de discuter devant la résidence Adef Habitat. Il a choisi de venir ce dimanche en fin de journée et ce n’était pas une bonne idée. » « C’est à cause d’hommes politiques comme lui que le Mali se trouve dans cette situation », s’énerve immédiatement cet autre résident. Moussa Mara était à la tête du gouvernement en 2014 et 2015.
Emmené en sécurité au commissariat
Aux alentours de 19 heures, l’ex-Premier ministre et plusieurs personnes de son entourage arrivent au foyer. En pleine campagne électorale pour l’élection présidentielle prévue l’année prochaine, le président du parti Yalama, – qui signifie « changement » -, est venu voir des membres de la diaspora. « On doit représenter 80 % des occupants », glisse l’un d’eux. « Plus de 90 % plutôt », renchérit un autre résident du foyer.
Le petit groupe se retrouve vite coincé dans une salle et la foule devant la porte se fait virulente. « Il s’attendait à quoi ? Il est en partie responsable de la situation de notre pays », s’étrangle un ressortissant malien. Le ton monte et le terme de « corruption » fuse.
Moussa Mara, été chassé de Foyer Vitry-sur-Seine, en France, Le Diaspora Maliens du Non au politiciens terroristes de Bamako. pic.twitter.com/nio4tUK7DC – Mali Kura (@kaliloi_sy) October 27, 2024
Une première patrouille de police arrive mais appelle immédiatement des renforts. « Des équipes ont convergé de tout le département et de Paris », témoigne ce lundi une source proche de l’affaire. À ce moment-là, une partie de la foule surexcitée ne veut pas laisser sortir le politicien. Des tractations débutent. Finalement les policiers le sortent sous protection avant de l’emmener en sécurité au commissariat. « Il est sorti par une fenêtre arrière avant de monter dans une voiture de police », ajoute des témoins sur les réseaux sociaux. Cette information n’a pas pu être confirmée.
« Ils n’ont pas été tendres »
Dans la rue, comme le montrent plusieurs vidéos sur les réseaux sociaux, la foule scandait le nom d’ Assimi Goïta , l’actuel président de la transition depuis 2021. « Ils n’ont pas été tendres », témoigne un ressortissant malien alors qu’un autre note simplement : « L’histoire retiendra que Moussa Mara fut le premier ancien Premier ministre qui appelle la police française contre la diaspora malienne en France ». Cet ancien résume la situation d’une phrase : « Nous ne voulons plus de politiciens qui n’ont rien fait, notamment contre le terrorisme ».
Une fois au commissariat, Moussa Mara, indemne, est reparti de Vitry-sur-Seine en taxi. Sur son compte officiel sur X, aucune trace de cet incident n’apparaît. L’homme politique n’évoque que ses rencontres avec d’autres compatriotes à Paris ou Boulogne (Hauts-de-Seine).”
Cet article est paru dans Le Parisien (site web)
Peut-être la foule trouve que c’est un peu tôt pour la campagne presidentielle et que les priorités se trouvent ailleurs.
Les gens qui veulent devenir président quel que soit béta élément de x, tel….
Ou tout simplement les gens qui pensent que le Mali Kura c’est pas avec Moussa Mara.
Souvent, un petit détail renseigne sur une personne plus que tous les discours du monde.
” Les gens qui veulent devenir président quel que soit béta élément de x ”
Zanga, tu n’es pas le seul. Vous êtes des millions.
Vous êtes des millions à inonder les réseaux sociaux et les forums à chanter et danser pour des putschistes. Internet et son anonymat vous donne la parole. Et quand les abrutis ont la parole, les sages se taisent.
Aujourd’hui au MALI, nous avons les dirigeants que nous méritons parce que la majorité ressemble à Zanga et fait un raisonnement purement mathématique, la mathématique de la place Dabanani.