La menace de destitution d’Emmanuel Macron, agitée par la France insoumise mais repoussée par ses alliés du Nouveau Front populaire, “est une possibilité crédible” a affirmé lundi le coordinateur du parti de gauche radicale, Manuel Bompard.
Malgré les dissensions, LFI maintient son ultimatum. Réclamant toujours la nomination à Matignon de la candidate du NFP, Lucie Castets, M. Bompard a mis en garde le chef de l’Etat sur RTL: “Si vous ne le faites pas (…) nous utiliserons les moyens constitutionnels à notre disposition pour vous renverser”.
En l’occurrence, la procédure de destitution prévue à l’article 68 de la Constitution, qui doit être déposée par un dixième des députés puis votée par les deux tiers. Avec 72 membres au Palais Bourbon, “nous avons un dixième des députés”, a relevé l’élu des Bouches-du-Rhône, tandis que ceux “qui soutiennent le président de la République représentent moins d’un tiers des députés à l’Assemblée nationale”.
“Donc oui, bien évidemment, c’est une possibilité crédible”, a-t-il estimé, “mais c’est un avertissement” car “nous préférons (qu’il) nomme Lucie Castets à la tête du gouvernement”.
Un “avertissement solennel” même, face à la “dérive autocratique du chef de l’Etat”, a renchéri sa collègue Aurélie Trouvé sur TF1, quand une autre Insoumise, Alma Dufour, a défendu sur LCI une “menace pesée” pour “mettre un coup de pied dans la fourmilière”.
Coup de pression assumé, donc, avant la rencontre des chefs de file du NFP à l’Elysée vendredi en présence de Lucie Castets. Réunion à laquelle participera aussi le premier secrétaire du parti socialiste Olivier Faure qui a pris ses distances dimanche en indiquant que la proposition des Insoumis “n’engage que leur mouvement”.
“Il n’y a pas grand monde en dehors de LFI qui est venu apporter son soutien à cette démarche”, a pour sa part observé la patronne des écologistes Marine Tondelier sur franceinfo.
“Est-ce que c’était opportun? Si c’était le cas je l’aurais dit depuis longtemps”, a-t-elle ajouté, jugeant que “chacun a le droit de faire ce qu’il veut” au sein du NFP mais que “la polyphonie qui se dégage de ça ne doit pas se transformer en cacophonie”.
@kan: Sale troll de la tres maudite France, ton patron Macron et son gouvernement LGBT vont partir car il ne peut pas revenir gouverner avec l’article 49.3 parce qu’il a perdu lamentablement la majorité dans l’Assemblee Nationale! C’est tres clair et tres simple je n’ai pas le temps de lire la Constitution de ta tres maudite France!
Donc tu ignores de quoi tu parles crétin
Quand un President n’ a pas la majorite de deputes dans l’ Assemblee Nationale qu’elles sont les consequences? L’article 49.3 ou la dictature a gogo! La très maudite France continue sa descente dans les enfers comme SODOM et GOMORRA.
Mon “cher” KInguiranke,
La conséquence s’appelle la cohabitation. Et ce n’est pas la première fois que cela se produit. Il te manque quand même de nombreuses connaissances en matière de politique française. Tu as des lacunes importantes. On n’est pas surpris car tu assimile la démocratie à la dictature de la rue ou encore à la dictature militaire.
Kingui révise la constitution française, je pari tes 15 000 euros ( supposés) par moi que c’est impossible.
Mais plutôt que d’applaudir des niaiseries balancées ici et là, occupes toi de ton pays de merde …..
Tu prends le pari !???
Par mois
Adieu Macron et son gouvernement et ses soldats LGBT et pedophiles! VIVE LA CONFEDERATION DE L’AES!
Destitution tres possible quand un president n’a pas de majorité a l’Assemblee Nationale alors il a perdu toute légitimité et toute légalité et surtout que ce sont des elections demandées par Macron lui-meme. Il les a demande et il les a perdu alors il doit partir sinon l’Assemblee Nationale lui rendra non fonctionnel! C’est fini.
TAIS-TOI SALE NIAMOGODEN
TU NE CONNAIS RIEN DONC RETOURNE AU GRIN BOIRE TON THÉ FRELATÉ RUSSO-CHINOIS.
EN FOOTBALL ON DIT “AUX CHIOTTES L ARBITRE”
QUE VIVE LA COOPÉRATION SUÈDE OTAN QUE VIVE LA COOPÉRATION EURO OTAN