La meilleure méthode est de voir ce que les médias présentent comme bon . C’est, à plus de 90 %, le contraire qui est vrai.
Exemple yankee. En 2009, notre classe politico-médiatique votait Obama (Hélas, il fut le président états-unien qui a balancé le plus de bombes sur des pays pauvres, faibles et lointains).
Exemple français. En 2017 Macron était un « génie de la finance » bien gentil (le méchant était Mélenchon).
Pour les élections de novembre 2024 aux Etats-Unis, notre presse, nos commentateurs, nos politologues, nos « journalistes » (sic), quasi-unanimes, ont désigné Donald Trump dans le rôle du méchant avec une telle insistance, un tel zèle, une telle ardeur, que la place leur a manqué pour signaler un possible défaut de sa concurrente Kamala Harris.
Perso, je m’abstiens.
Théophraste R. Auteur du livre d’humour (inachevé) : « Zelensky est un démocrate patriote qui se bat pour nous ».
Source: https://www.legrandsoir.info