Le président de la Transition s’est exprimé au lendemain d’une vague de réquisitions qui a suscité un tollé d’indignation et de condamnation.
Le capitaine Ibrahim Traoré a annoncé, lundi, que la Transition amorce « un nouveau virage », au cours duquel « il ne sera plus question de laisser les mauvais comportements prendre le dessus ».
« Les libertés individuelles ne priment pas sur celles de la Nation. Une Nation ne se construit pas dans l’indiscipline et le désordre », a-t-il affirmé, selon la Présidence du Faso.
La sortie du chef de l’Etat burkinabè intervient au lendemain d’une vague de réquisitions au sein de la société civile, critique vis-à-vis de sa gestion des affaires publiques.
Au moins trois leaders de la société civile et deux journalistes ont été réquisitionnés pour se rendre au front, pour une période de trois mois.
Des organisations syndicales et de défense des droits de l’homme ont dénoncé une mesure « arbitraire » visant à faire taire les voix discordantes et à museler la presse.
« Celles et ceux qui ont des propositions peuvent les reverser à mon cabinet. Nous avons besoin de toutes les idées et toutes les intelligences », a rétorqué le capitaine Traoré.
Il a reconnu que le Burkina « ne se porte pas assez bien ». Toutefois, il a estimé que si le terrorisme « est imposé à notre génération, c’est que nous en avons la capacité. Il est de notre devoir de nous battre pour céder une meilleure patrie aux générations à venir ».
Ce n’est pas la première fois que des civils sont réquisitionnés et envoyés en première ligne contre les groupes armés terroristes, notamment à la faveur de l’adoption de la mobilisation générale et de mise en garde.
Le médecin anesthésiste réanimateur, Dr Arouna Louré, acteur de la société civile et très critique vis-à-vis du capitaine Traoré, a été mobilisé pour un mois en octobre, puis pour un autre.
DS/ac/APA
Le vieux Kinguiranke veut nous faire croire qu’il y aurait des envieux et des jaloux !!!
On se demande bien de quoi il veut parler ?
Quant au mariage ; faudra lui rappeler qu’au Mali et dans le Sahel on marie des fillettes avec des hommes de l’âge de leur papa, voire de leur grand père….. C’est absolument malheureux de lire des analyses aussi conne que ce monsieur Kinguiranke
Ogboba et alpoi, vous etes des malheureux et envieux, occupez-vous svp de votre maudite France qui est envahie par les punaises de lit, ses étudiants font la queue de 10 kilometres pour avoir un repas gratuit des magasins de distribution, la drogue qui est en train de détruire totalement la ville de Marseille avec des tueries tous les jours et le maudit pays ou les mettent enceinte les hommes et les femmes de meme et les enfants qui marient des femmes de l’age de leur mere!
“es enfants qui marient des femmes de l’age de leur mere”
Ah bah ça c’est pour faire comme le prophète, c’est bien non ?
Oh ! Le capitaine chef de la junte est un maître d’école exigeant, qui promet de manier le bâton à la première incartade. Ce serait un peu risible si ne se profilait pas derrière cette injonction une réelle menace de dictature. Sans doute ne serait-elle pas suffisante pour juguler l’impact djihadiste, qui s’enracine dans un terreau fertile : l’extrême pauvreté, la corruption généralisée, les déficiences d’un État failli, la porosité des frontières. Les djihadistes se proposent de régler tout d’un coup, en subvertissant des populations abandonnées à elles-mêmes et exsangues.
Pas mieux…
Tour y est dit …. hélas
Les complaintes du vieux Kinguiranke n’y changeront rien
Comme disent les Chrétiens : “la messe est deja dite”