La transition malienne s’achemine vers sa cinquième année soit un mandat présidentiel normal au Mali et dans de nombreux pays. Même en temps normal un président démocratiquement élu doit s’imposer le devoir d’évaluer le chemin parcouru au bout de cinq ans et remettre son mandat en jeu pour que le peuple souverain puisse se prononcer en toute liberté, soit en lui renouvelant sa confiance ou en la lui retirant simplement. Le 18 Août prochain la transition malienne soufflera sa cinquième bougie et jusque-là aucun indice n’indique la volonté des autorités d’organiser les élections, bien que les instruments pouvant servir à cet effet, sont au complet, à savoir entre autres les démembrements de l’Autorité Indépendante de Gestions des Élections, AIGE qui par la voix de son premier responsable se dit prête. L’insécurité qui a été le prétexte tout trouvé pour chaque fois reporter la tenue des élections, ne saurait être invoquée tant les victoires des Famas sont célébrées chaque jour . Même le verrou, qu’imposait la Charte de la transition et qui est relatif à la non candidature du Général Assimi Goita et des autorités de la transition aux élections à venir, a été remis en cause par le dialogue inter maliens pour la paix et la réconciliation. Les autorités sont-elles conscientes que chaque jour qui passe est non seulement un précieux temps de perdu, mais aussi et surtout prolonge la souffrance du peuple ? Ce résilient peuple qui broie du noir depuis plus de quatre ans ne demande rien d’autre que la fin de la crise avec son lot de désolation, de famine, de maladie, de guerre, par la tenue d’élections ce qui consacrerait le retour du Mali dans le concert des nations démocratiques.
Incontestablement la tenue des élections reste la seule alternative crédible pour éviter à notre pays le chaos. Les Maliens sont à bout de souffle, ils ne peuvent plus tenir et ne cherchent qu’une issue pacifique à cette crise multidimensionnelle par la tenue des élections qui vont doter le Mali d’institutions démocratiques et légitimes . En rupture de ban avec les partenaires traditionnels, retiré de la CEDEAO, notre communauté de destin avec nos voisins ainsi reniée, le Mali tout comme les deux autres pays avec lesquels il a créé l’Alliance des Etats du Sahel, AES, est isolé sur la scène internationale et sa voix ne porte plus dans les foras et autres rencontres internationales. La diplomatie qui aurait dû être notre arme favorite sur la scène internationale pour faire entendre, faire considérer et respecter la voix du Mali est en réalité devenue contreproductive, agressive et inefficace. En tout cas à en juger par les résultats, le Mali est non seulement isolé, mais aussi et surtout sa voix ne porte plus dans les grandes rencontres. Notre pays est désormais plutôt connu pour la virulence des propos de ses porte-voix dans les grandes tribunes comme l’Assemblée générale des Nations Unies et pour les invectives contre tous ceux qui ne regardent pas dans la même direction que lui. La diplomatie malienne a négativement brillé sur la scène internationale ces dernières années. Il est donc grand temps, avant qu’il ne soit tard, que l’on sorte de ce bourbier volontairement choisi par les autorités qui semblent avoir un agenda différent de celui du peuple. Sinon sans attendre les conclusions du Rapport du comité de rédaction de la Charte pour la paix et la réconciliation, on peut d’ores et déjà fixer les dates des élections pour sortir de cette gravissime crise socio-économico-institutionnelle, voire sécuritaire.
Youssouf Sissoko
sangare l’ecervele, la democratie ‘made in France’ a démontré ses limites car une selection et pas une election qui est a la base de cette cacophonie et la democratisation de la corruption est le resultat tres tangible! Les elections sont pour 2035 le temps pour tes corrompus politiciens de l’ADEMA-PASJ, PARENA, RPM, CNID, SADI, URD, ASMA, YELEMA, CODEM, UDD, FARE de disparaître de la face de la terre!
Kinguirangue le dérangé.
Il n’y a pas eu d’évolution en ce qui concerne la soumission à une puissance étrangère.
C’est POUTINE qui a remplacé MACRON.
BA DAW était un élément choisi par le GENERAL MOUSSA DIAWARA.
Il est facile de constater qu’il y a eu DEAL entre MACRON et MOUSSA DIAWARA.
IBK était sur le point de le remplacer suite à une pression d’une ONG qui avait les preuves de son implication dans le trafic de drogue.
MACRON a promis au GENERAL MOUSSA DIAWARA de mettre fin à l’affaire.
En contre-partie, il met fin au pouvoir d’IBK qui n’était plus en relation de confiance avec la France, non pas qu’il s’est révolté contre leurs méthodes NEO-COLONIALISTES,mais que la France a décidé de ne plus soutenir son fils pour le succéder, mais SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA.
Depuis IBK a fait le contraire de ce que veut la France comme par exemple négocier avec les JIHADISTES MALIENS.
C’est ainsi DIONCOUNDA TRAORE a été nommé pour engager des discussions.
Donc le coup d’Etat contre IBK est la conséquence d’un DEAL SECRET entre MOUSSA DIAWARA et MACRON.
Ce ne sont pas les manifestations qui ont provoqué le coup d’Etat comme on l’entend régulièrement.
Sinon, il y’aurait coup d’Etat à chaque manifestation.
Il est ainsi facile de comprendre l’assassinat de SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA car on sait qu’il est déjà désigné président de la République par MACRON.
Vivant, il aurait tout fait pour dégager ASSIMI GOITA et ses camarades et complices.
SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA a été assassiné.
La France est chassée du pays.
Ainsi, ils pensent avoir sauvé leur pouvoir contre un coup d’Etat.
Le temps est seul juge.
Waid and see!!!
Le chaos ? Comme si vos sponsors politiques avaient encore suffisamment de poids pour mobiliser.
Tres bien dit, la democratie ‘made in France’ a démontré ses limites car une selection et pas une election qui est a la base de cette cacophonie et la democratisation de la corruption est le resultat tres tangible!
L’erreur d’analyse, c’est de croire que le Mali est entrain de vivre une transition comme celle de 1991 et de celle de 2012.
LA TRANSITION A PRIS FIN DEPUIS QUE LES PUCHISTES ONT REFUSÉ DE RESPECTER LA DURÉE DE LA TRANSITION FIXÉE EN ACCORD AVEC LA CEDEAO.
Depuis des actes sont posés pour protéger le régime.
Se débarrasser des forces internationales, décider de quitter la CEDEAO, mettre en prison tout individu qui agit contre le pouvoir sont des éléments qui prouvent qu’on a cessé de vivre dans une période de transition pour basculer dans un RÉGIME MILITAIRE comme on l’a vécu de 1968 à 1991.
C’EST LE CMLN VERSION ASSIMI GOITA ET CAMARADES QUI EST REVENU AU POUVOIR.
Le pouvoir CMLN était différent du pouvoir UDPM.
LE CMLN A EXERCÉ LE POUVOIR DE 1968 À 1978.
Il n’y avait pas de patron car la décision était prise de façon collégiale.
Deux clans se regardaient en chien de faïence!!!
Celui de MOUSSA TRAORE, président de la République et celui de KISSIMAN DOUNKARA, ministre de la défense.
KISSIMAN DOUNKARA avait la réalité du pouvoir car tous les chefs militaires étaient de son camp plus le chef de la police qu’était TIECORO BAGAYOGO plus connu par la population.
Au jour d’aujourd’hui,personne ne comprend comment MOUSSA TRAORE a pu gagner le bras de fer et s’imposer comme le seul maître.
Avant le coup d’Etat contre BA DAW, le GENERAL MOUSSA DIAWARA était le seul maître de la situation.
Il est resté à l’écart car discrédité par une affaire de trafic de drogue accordant une confiance aveugle à ces CINQ COLONELS qu’il a façonnés pendant ses années à la sécurité d’Etat.
C’est lui qui a imposé BA DAW et décidé de se soumettre à MACRON qui manipulait pour faire élire SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA.
Avant le décès de SOUMAILA CISSE des rumeurs ont circulé que les puchistes vont imposer une limite d’âge.
C’était pour écarter SOUMAILA CISSE au profit de SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA.
C’est quand MACRON a été informé par ses services de renseignement que le COLONEL SADIO CAMARA,ministre de la défense,veut faire venir les russes au Mali pour lutter contre les terroristes qu’il a été décidé de l’ejecter.
MODIBO KONE devrait suivre car ce dernier est tellement nul qu’il ne peut pas s’exprimer dans la langue officielle qu’est le français.
C’est BA DAW qui voulait son départ.
Ainsi, il a été décidé de faire un remaniement ministériel et profiter pour l’élargir à d’autres partis politiques.
C’est que MOUSSA DIAWARA n’a pas vu venir, c’est qu’ASSIMI GOITA avait été retourné par son cousin le GENERAL IBRAHIM DAHIRU DEMBELÉ, chef d’Etat major des armées du puchiste SANOGO et ministre de la défense d’IBK.
ASSIMI GOITA AGGISSAIT ET AGIT TOUJOURS SOUS SON AUTORITÉ.
Quand on a fait le remaniement ministériel,DAHIRU(il est appelé ainsi familièrement) a pu convaincre les CINQ COLONELS à prendre le pouvoir par “ils vont vous écarter après,si SADIO CAMARA et MODIBO KONE sont abandonnés”.
Les trois autres colonels non concernés ont ainsi décidé d’être solidaires, d’écarter BA DAW et naturellement MOUSSA DIAWARA.
Depuis des clans ont été formés car ce sont CINQ COLONELS qui ont décidé de prendre le pouvoir.
Quand il a fallu organiser les élections pour faire élire ASSIMI GOITA, les autres COLONELS notamment DIAW et SADIO CAMARA se sont opposés car signifiant leurs départs du pouvoir.
En ce moment, CHOGUEL MAIGA était du clan d’ASSIMI GOITA.
Lui et ses proches notamment des vidéos man ont milité pour la candidature d’ASSIMI GOITA.
Mais malheureusement ASSIMI GOITA n’a pas l’entièreté du pouvoir pour pouvoir imposer l’organisation des élections.
Il faut d’abord qu’il s’impose par la force comme l’a fait MOUSSA TRAORE.
C’est ce combat qui est en cours.
L’ORGANISATION DES ÉLECTIONS EST LIÉE AU RÉSULTAT DU COMBAT ENTRE ASSIMI GOITA ET SADIO CAMARA APPUYÉ APPAREMMENT PAR DIAW.
Les partis politiques avertis l’ont compris les décidant à rester à l’écart.
Se prononcer, c’est prendre parti pour un clan sans le vouloir!!!
Tant que ce combat des clans puchistes est en cours,le Mali cours un risque plus que certain de vivre l’expérience du Soudan.
Il faut nécessairement qu’un clan s’impose soit par l’intervention d’un sage capable de convaincre les autres de suivre un, soit par la force militaire permettant à un de s’imposer.
Tant qu’un clan ne s’impose pas le Mali restera ainsi sans élections.
C’est la triste réalité.
Clairement Ba Daw était le petit sale nègre de maison de Macron et était a son service comme esclave a Bamako. Quelle honte, quelle indignité et quelle horreur! Les elections sont pour 2035 le temps necessaire pour la refondation et la revue de la charte des partis politiques et de la paix!
Youssouf Sissoko, arrêtes de réfléchir avec tes orteils, meme si tu n’as pas de tete tu sais cas meme que les elections ont ete faites pour amener ATT au pouvoir, il a fini par un coup d’état, ensuite est venu Boua le ventru IBK par elections et ils a fini par un coup d’état, alors vas-tu apprendre quelque chose de ces réalités? La base du problème est la destruction de nos FAMA et la democratisation de la corruption sous Alpha Omar Konaré qui ont continué sous ATT et IBK et qui nous ont amene a perdre 2/3 de notre territoire national et je te jure que ce ne sont pas les elections qi nous ont fait regagner notre territoire national mais la force des FAMA et la diplomatie Malienne sous le President Assimi Goita et son equipe!