Près de deux mois après la remise du rapport final du dialogue inter maliens pour la paix et la réconciliation, DIM au Président de la Transition lors d’une cérémonie solennelle au Palais de Koulouba, c’est toujours le statu quo. Le rappel profitant aux croyants, ce dialogue inter maliens pour la paix et la réconciliation a été organisé près de deux mois après l’expiration du délai souverainement fixé par les autorités et qui devrait mettre fin de la transition. Ce dialogue était censé être enfin la thérapie à la crise sociopolitique voire sécuritaire, mais au final la montagne semble accouché d’une souris car ses résolutions peinent à être appliquées. En effet, le dialogue inter maliens, cette belle initiative du Président de la Transition censée rassembler les maliens afin de discuter des préoccupations majeures du moment a plutôt divisé en faisant de certains maliens de citoyens de seconde zone et en excluant un pan important de la société, à savoir la classe politique. Malgré cet handicap congénital nombreux étaient les maliens à avoir fondé de l’espoir sur cet énième dialogue pour non seulement jeter les bases d’une réconciliation véritablement Maliano-maliens, mais aussi et surtout pour amorcer une dynamique permettant de sortir de cette période exceptionnelle qui n’a que trop duré. Le souhait de tout bon malien est de voir son pays sortir de la transition pour être au même diapason que les pays où la démocratie a pignon sur rue comme chez le voisin Sénégalais.
Aucune des recommandations du Dialogue n’a connu un début d’application, même celles qui sont relatives à la fixation du délai de la transition. Et pourtant le décret qui a fixé la fin de la transition à 24 mois et qui a été signé par le Président de la transition est arrivé à expiration depuis le 26 mars 2024. Donc le pays est gouverné sans une moindre base légale et légitime. Comment celui qui doit être le garant des lois, comment celui qui a juré de respecter et de faire respecter la Constitution pourrait être le premier à la piétiner ? Et pourtant les participants au DIM ont ouvert une brèche permettant aux autorités de s’engouffrer et de se faire une nouvelle santé légale et légitime en proposant aux autorités de choisir un délai entre deux et cinq ans et cela afin d’éviter de susciter une polémique juridico-judiciaire sur la durée de la transition. Mais jusqu’à preuve de contraire les autorités n’ont pas saisi cette opportunité pour rester dans le cadre légal. Ce statu quo n’arrange ni les autorités en place encore moins les gouvernés qui vivront dans une angoisse terrible. Le silence n’est ni une adhésion à la transition, encore moins un espoir d’un lendemain enchanteur, mais il est la manifestation d’une peur bleue, celle de la répression, du musèlement, bref de la réduction en silence de toutes les voix discordantes.
Pour éviter que le pays ne sombre dans le chaos, il revient aux autorités de parer au plus pressé en rassemblant toutes les filles et tous les fils du pays, car ne nous faisons pas d’illusion derrière cette accalmie se trouve une tempête que nul ne saurait dire quand et comment elle pourra se manifester. Ainsi ce rassemblement pourrait avoir un seul leitmotiv, convenir d’une date permettant d’organiser des élections pour mettre fin à la transition qui n’a que trop duré. Il est grand temps que les autorités comprennent ce dicton « plus ça dure plus ça devient dur ». Une autre proposition serait la mise en place d’un gouvernement d’union nationale reflétant les réalités sociopolitiques du pays pour dégager un large consensus autour des objectifs de la transition dans un délai raisonnable.
Youssouf Sissoko
sangare, l’écervelé, l’aigri, le malheureux sale troll de la tres maudite France, tu veux inciter le peuple Malien a se révolter contre son gouvernement legitime et patriote, mais tu resteras dans ton malheur car le peuple est derriere Assimi, Sadio, Kone, Diaw, Wague et le gouvernement de Choguel.
Youssouf Sissoko comme d’habitude tu nous donnes des torchons a lire, MALANKOLON DEN ani FASO MANDJUGU DEN, tes politiciens corrompus ont faim mais ils ne vont pas avoir l’occasion de revenir voler du trésor public Malien!
Le temps est seul juge!!!
On pouvait continuer à rendre les hommes politiques responsables de tous les dérives tant qu’on n’a pas encore gérer l’Etat.
Après quatre ans au pouvoir,les maliens constatent la différence entre les COLONELS PUSCHISTES et les hommes politiques qu’ils ont accusés de tous les péchés d’Israël.
AVEC LES COLONELS PUSCHISTES,C’EST L’OBSCURITÉ.
L’électricité est devenue une denrée rare.
Le Mali est redevenu un pestiféré comme pendant la période du dictateur GÉNÉRAL MOUSSA TRAORE.
Les institutions financières internationales refusent de financer l’économie car des délinquants sont au sommet de l’Etat.
On sait les COLONELS PUSCHISTES sont la conséquence de la gestion catastrophique D’IBK, lui-même installé au sommet de l’Etat grâce à d’autres puchistes qui ont permis l’humiliation du Mali par la prise des deux tiers du territoire suite au coup d’Etat contre un élu provoquant ipso facto la guerre entre BERETS ROUGES ET BERETS VERTS au moment où notre armée avait besoin d’unité pour affronter nos ennemis.
ASSIMI GOITA et ses camarades sont le symptôme d’une erreur fatale commise le 22 mars 2012.
LE MALI EST ENTRAIN DE PAYER L’ERREUR FATALE D’AVOIR DÉGAGÉ ATT PENDANT QUE NOS ENNEMIS APPUYÉS PAR LE NEO-COLONIALISME FRANÇAIS ÉTAIENT ENTRAIN DE NOUS ATTAQUER.
Le départ d’ATT a favorisé l’arrivée au pouvoir des ennemis de la démocratie.
IBK, proche du dictateur GÉNÉRAL MOUSSA TRAORE, s’est approché des puchistes autour de AMADOU AYA SANOGO afin de bénéficier de leurs soutiens pour accéder au pouvoir.
Au pouvoir, une mafia s’est installée autour de son directeur du service de renseignement le GÉNÉRAL MOUSSA DIAWARA.
Elle a emporté le pouvoir D’IBK.
Elle a fini par dégager MOUSSA DIAWARA aussi.
Elle a assassiné SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA.
Elle a favorisé le phénomène Soudanais car l’incapacité à dégager CHOGUEL MAIGA révèle deux forces au sommet de l’Etat.
CHOGUEL MAIGA est devenu intouchable par la protection de SADIO CAMARA.
Elle est entrain de détruire l’économie malienne.
Elle va finir par favoriser la reprise des deux tiers du territoire par les séparatistes.
Les conséquences du 22 mars 2012 humiliant l’homme du 26 mars 1991 n’ont pas fini de hanter les maliens.
Seul un soulèvement population peut y mettre fin.
C’est ce soulèvement populaire qui peut éviter la confrontation entre ASSIMI GOITA et SADIO CAMARA.
Le Mali est loin de voir le bout du tunnel!!