Dans cet entretien, le professeur distingué de Southern University aux États-Unis aborde les maux qui freinent le développement des anciennes colonies de la France. Dr Diola Bagayoko, en sa qualité de membre de la société américaine de physique, plaide en faveur de l’épanouissement des pays africains, notamment le Mali. Pour relever ce défi, il opte pour la prorogation de la Transition
Diola Bagayoko, citant Abraham Lincoln, affirme que dans une vraie démocratie, nous avons le gouvernement d’un peuple, par le peuple, et pour le peuple. Indiquant que pour son application pratique, les gouvernements sont généralement choisis par le peuple à travers des élections certifiées, transparentes et crédibles où les citoyens votent librement. Selon lui, le président, les membres des chambres de la législature ainsi que les dirigeants locaux (maires) sont généralement élus. « Pour avoir une vraie démocratie, il faut un état souverain, totalement indépendant du contrôle de n’importe quelle autre entité », a ajouté le professeur émérite de Southern University aux états-Unis, précisant que sans cette condition, il ne peut y avoir qu’une prétendue démocratie.
Le Dr Bagayoko soutient qu’une prétendue démocratie dans un état non souverain est un instrument de colonisation, à perpétuité, et d’exploitation à outrance pour la métropole coloniale. Ce qui est pire est que la prétendue démocratie, avec ses protagonistes et acteurs politiques locaux, agents, au service de la métropole coloniale, exonèrent cette métropole de tout crime ou méfait, explique Diola Bagayoko. Il dénonce le « Pacte pour la continuation de la colonisation », également connu sous le nom « d’Accords Léonins (Secrets) », entre la France et ses colonies « noires » d’Afrique.
Le professeur garantit que ces pays, malgré d’une indépendance mensongère, sont des colonies de la France à 100%. Dr Bagayoko relève que la France n’a pas « réussi » à faire signer ces « accords » par ses colonies noires africaines entre 1958 et 1961. Malgré tout, dit-il, elle a purement et simplement imposé le « pacte » à toutes ses colonies « noires ». La détermination et l’engagement des présidents Sékou Touré et Modibo Keïta auprès de leurs peuples ne souffleraient d’aucun doute. C’est pourquoi, la Guinée (1958) et le Mali (1960) étaient les deux pays noirs souverains qui ont refusé les « Impositions » faussement appelées « Accords ».
Malheureusement, a fait savoir le professeur, après le coup d’État de 1968, le Mali est retombé dans la servitude, particulièrement après l’abandon du Franc malien pour le Franc des colonies françaises d’Afrique (Fcfa) en 1984. révèle qu’il a entendu récemment des tapages de tout genre sur la nécessité de tenir des élections « démocratiques » au Mali.
« Ceux qui chantent la tenue d’élections doivent savoir que la grande majorité des élections passées, de 1960 à 2024, dans les colonies noires de la France en Afrique, étaient truffées de tricheries de tout genre y comprenant des ventes et achats de votes, pour s’assurer que la volonté de la métropole coloniale est suivie à la lettre », a souligné notre compatriote résidant aux états-Unis. Il informe que dans les rares cas où cette volonté n’avait pas été suivie, les coups d’État ou les assassinats ont immédiatement suivi.
De ce sillage, il convient de rappeler que les actions de Jacques Foccart et de Bob Denard suffisent pour avoir une idée du gangstérisme sanglant avec lequel la France a subjugué les dirigeants de la France-Afrique. Et pour preuve tangible, « l’exécution-assassinat » du président Thomas Sankara du Burkina Faso constitue une autre illustration sanguinaire.
PRIMAUTé DE LA SOUVERAINETÉ SUR LES ÉLÉCTIONS- En ce qui concerne le Mali et le Dialogue inter-Maliens (DIM), quelles que soient les considérations faites par les uns et les autres, certaines vérités subsistent, a révélé le Dr. Il s’agit de l’indépendance réelle et de la pleine souveraineté du Mali ainsi que leur renforcement qui ont la primauté sur toutes les élections. Ce fait est particulièrement compris par les Maliens qui savent que tout retour prématuré à une « démocratie abâtardie » signifie que le Mali retombe dans la servitude en faveur de la France ; le recouvrement et la consolidation de l’intégrité territoriale du Mali ont la primauté sur le retour à toute prétendue démocratie.
La Transition a recouvrir l’intégrité territoriale du pays en 2023, après la prise de Kidal ; un progrès significatif et soutenu dans l’éradication de la corruption gangreneuse et de l’enrichissement illicite d’agents publics et autres, est une nécessité. Pour l’analyste, sans cette éradication, le Mali ne se développera pas, vu que quelques-uns peuvent siphonner les gains économiques et financiers pour leurs intérêts personnels. Comme recettes, il poursuit que le développement et l’application stricte de procédures administratives, financières, judiciaires, etc., est une nécessité avant toute élection. « Le Mali doit échapper à jamais aux fossoyeurs qui l’ont mis dans l’agonie », a souhaité le médecin émérite. Il trouve que la Transition se bat pour tirer notre pays du gouffre.
Abordant la durée de la Transition, le Pr Diola Bagayoko ne tergiverse pas autour de la question. « J’invite tous ceux qui n’ont pas compris la recommandation du Dialogue inter-Maliens pour la paix et la réconciliation nationale, relative à la prorogation de 2 à 5 ans de la durée de la Transition, à pondérer sur les tautologies ci- dessus », at-il laissé entendre. Pour lui, ces observations évoquées constituent les raisons fondamentales pour la prorogation de la Transition de 2 à 5 ans. Le professeur d’université est particulièrement fier du fait que cette recommandation est lieu de la base à la phase finale. Les représentants du peuple ont compris les vrais enjeux, bien au-delà d’un retour à l’esclavage et l’exploitation à outrance par une métropole coloniale utilisant des agents et acteurs politiques locaux, s’est félicité notre scientifique, tout en dénonçant que le Mali était en effet une colonie jusqu’à l’an 2023 où le gouvernement de Transition l’a libéré de la plupart des impositions françaises pour la continuation de la colonisation.
Ce faisant, d’après lui, la France a déclenché une guerre multidimensionnelle et asymétrique contre la Transition malienne, son économie, sa diplomatie et le peuple malien. Utilisant de son veto aux Nations unies pour empêcher nos autorités de montrer les preuves de la duplicité et des crimes français commis au Mali, la France mène une campagne de désinformation contre notre pays à travers des médias, a déploré l’écrivain en physique théorique. Dans son argumentaire, le Malien établi aux USA s’étonne que les victoires de l’armée malienne contre des terroristes et envahisseurs soient rapportées comme des crimes contre des innocents. Fait inédit et écoeurant pour maintenir le Mali dans cette crise énergétique : « si le port de Conakry n’avait pas été brûlé mystérieusement, le problème d’électricité au Mali aurait été beaucoup moindre qu’il ne l’est aujourd’hui », a reconnu notre interlocuteur. Pr Bagayoko donne les 11 impositions françaises qui montrent que les colonies de la France en Afrique « noire », de leur « indépendance mensongère » à aujourd’hui, subsistent des colonies en 2024, à l’exception des pays membres de l’Alliance des états du Sahel (AES) le Mali, le Burkina-Faso et le Niger.
PACTE DE LA COLONISATION- Ces impositions font référence aux Accords sur la dette coloniale pour le remboursement des bénéfices de la colonisation; portant sur la confiscation automatique des réserves financières nationales ; sur le droit de premier refus sur toute ressource brute ou naturelle découverte dans le pays ; portant priorité aux intérêts et aux entreprises françaises dans les marchés publics et appels d’offres publics. S’y ajoutent l’Accord portant droit exclusif de fournir des équipements militaires et de anciens officiers militaires des colonies; l’Accord sur le droit pour la France de déployer des troupes et d’intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts ; l’Accord sur l’obligation de faire du français la langue officielle du pays et la langue pour l’éducation. Ce tableau sombre pour le continent africain s’élargit avec les clauses indiquant l’obligation d’utiliser le Fcfa (Franc des colonies françaises d’Afrique) ; l’obligation d’envoyer en France un bilan annuel et un rapport d’état des réserves sous peine de ne pas recevoir d’argent. Mais aussi la renonciation à toute alliance militaire avec d’autres pays, sauf autorisation de la France et l’obligation de s’allier avec la France en cas de guerre ou de crise mondiale.
Par ailleurs, le médecin note que le manque d’indépendance et de souveraineté signifie que toutes les décisions importantes pour le pays sont prises par la métropole coloniale, ses agents sur le terrain et les acteurs politiques d’une prétendue démocratie. Avec ce jeu de ping-pong, l’écrivain constate amèrement que les présidents « démocratiquement élus » dans ces colonies et leurs acolytes ont, en acceptant les impositions françaises, sauvés leurs carrières politiques et renoncé non seulement à l’indépendance et à la souveraineté réelles. de leurs pays, mais aussi à toute possibilité de leur développement.
Il étaye ses propositions par l’exemple frappant de l’uranium nigérien : la France achetait l’uranium nigérien à 0,8 euro par Kg. Quand le Niger a recouvert sa souveraineté et son indépendance, après le Mali et le Burkina, le prix de vente de son uranium a grimpé de 200 euros le Kg, soit une augmentation de 25.000 à 100%, martèle Dr Bagayoko. Ce dernier s’interroge sur la totalité de la fortune mal acquise par la France pendant plusieurs décennies d’exploitation de l’uranium nigérien. Les pays de l’AES n’envoient plus leurs devises étrangères à Paris, se dit fier le spécialiste en physique.
Dans cette veine, il apprécie que « le marché libre », où les prix sont dictés par le marché, n’existe pas dans les colonies « noires » de la France en Afrique. Avec le point 4 de l’Accord, « la priorité aux intérêts et entreprises françaises » témoigne que celles-ci fixent le montant pour leurs services, sans se soucier d’une concurrence. Comme résultat, Diola Bagayoko évoque que les colonies ne peuvent se développer en vendant à des prix dérisoires et en acquérir à des prix arbitrairement élevés. Idem pour la confiscation des devis. à ce niveau, soulignera le professeur, cela suffit pour empêcher des investissements majeurs en Afrique.
Certaines liquidations d’industries naissantes pendant « l’Ajustement structurel » étaient probablement pour maximiser leurs gains, a fait remarquer notre consultant. Celui-ci enfonce le clou en disant que la compréhension tacite par les acteurs politiques de la prétendue démocratie, qu’ils n’ont rien à craindre aussi longtemps qu’ils ne nuisent pas aux divers intérêts français, est l’une des causes de la corruption de ces derniers. Dans son réquisitoire, l’universitaire relève qu’avant la fin de la colonisation du Mali en 2023, des acteurs politiques étaient aussi des agents salariés de la métropole coloniale. L’intellectuel averti s’est aussi beaucoup intéressé au devenir du Mali. à ce propos, il reste convaincu que le développement économique est très difficile sans le secteur secondaire, celui de la construction d’infrastructures de toutes tailles et de la manufacture, y compris les industries de transformation, la production aérospatiale, d’automobiles, de textiles, de bateaux et de produits chimiques.
Dans sa proposition concrète de sortir notre pays de l’ornière, l’éminent scientifique croit que ce secteur secondaire permet de tirer 70-80% de la valeur (brute et ajoutée) des ressources naturelles, des ressources minières et agricoles au lieu de 10 % ou moins comme pour le coton malien. Pour Diola Bagayoko, ce secteur est celui des emplois lucratifs qui payent bien. Même tonalité, dans sa critique, le professeur a fait savoir que le développement du secteur tertiaire dans les colonies est freiné de plusieurs manières pour garantir les gains résultant de l’imposition 4. De son avis, ce secteur comprend, entre autres, les services financiers, de vente en détails, de transport et de santé. « Une fois de plus, la confiscation des devises étrangères est un goulot d’étranglement très efficace contre tout fonctionnement optimal des services financiers », a évoqué le Dr Bagayoko.
Les points ci-dessus, se félicite-t-il, montrent que les représentants du peuple malien ont fait preuve d’une sagacité singulière pour percer à travers les écrans locaux et étrangers de fumées de prétendues démocraties pour saisir les vrais enjeux du pays. D’après le commentaire du médecin, il s’agit de l’indépendance, de la souveraineté, de l’acquisition et du renforcement de l”intégrité de son territoire. Ajoutant que dans cette quête de dignité, il y a aussi la lutte implacable contre la corruption et la mise en place de procédures et contrôles, y compris numériques ou informatiques, pour un Mali Kura très prospère dans les années à venir.
Namory KOUYATÉ
Nous disons un tres grand merci a Bagayokoke pour la lumière! En effet la democratie de facade en Afrique c’est un instrument pour mieux servir la tres maudite France! Qui ne se souvient pas qu’aux dernieres elections au Mali avant la Cour Constitutionnelle n’ait proclame les resultats, le Preside de France a deja félicite Boua IBK! ADIEU LA FRANCAFRIQUE, ADIEU LA FRANCEDEAO, ADIEU LA FRANCOPHONIE, ADIEU LE MONDE UNIPOLAIRE RACISTE, ESCLAVAGISTE, COLONIALISTE ET IMPERIALISTE
Quand un article dévoile des vérités qui mettent en danger des intérêts personnels de certains, alors la panique de quelques-uns parmi eux mène à des attaques, très souvent grossièrement fausses, contre l’auteur. Ce syllogisme, erreur fatale de raisonnement, est appelé argument Ad hominem. Il n’est pas surprenant que certains n’aient rien contre la colonisation de notre pays et son exploitation à outrance. D’ailleurs, l’article a bien noté le cas d’agents locaux au service de la colonisation. Les représentants du peuple malien sont ceux qui ont préféré (a) l’indépendance réelle du Mali et sa souveraineté, (b) la reconquête de l’intégrité de son territoire, (c) la lutte contre la corruption criminelle, et (d) le développement de procédures pour assurer la transparence et la traçabilité dans la conduite des affaires publiques. Incidemment, ce n’est pas en tournant son dos au Mali que notre illustre professeur est devenu Officier (2002) et Commandeur (2008) de l’Ordre National du Mali.
” Les représentants du peuple malien ”
Qui sont les représentants du peuple malien ?
En espérant que vous ne pensez pas aux putschistes.
Les représentants du peuple sont désignés par le peuple. Connaissez vous un seul membre du gouvernement des militaires qui a été officiellement élu par un malien ?
Ou peut être pour vous, quelques désoeuvrés qui applaudissent au passage d’un convoi de véhicule militaire suffit pour représenter le peuple malien dans son ensemble ?
Depuis quand des putschistes sont appelés représentant du peuple ?
Et comment appelle-t-on des élus pour lesquels le peuple a voté ? Des putschistes ?
Si le ridicule tuait, ce quidam en serait mort et son corps en putréfaction nauséabonde sous le sol depuis belle lurette. C’est tellement facile et lâche d’avoir fui la misère malienne pour aller éhontément profiter du confort états-unien, et ensuite ricaner depuis un exil doré des saloperies dignes d’un écervelé inculte. Cet infatué énergumène, qui n’a pas suffisamment cru à son pays natal pour l’accompagner et y rester aux côtés de son peuple pour faire bouger les lignes, veut faire des leçons de patriotisme et de résilience à qui ? S’il a un brin de dignité, qu’il revienne d’abord goûter aux supplices du peuple dont il se fait lamentablement le représentant autoproclamé sans en avoir reçu le moindre mandat. Heureusement que le seul dopage par auto-gavage à l’imbé-ciline ne pourrait suffire d’aptitude à disserter sur la démocratie…
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Pensées rebelles.
WAAAaaaa..le KO !!! C’est Fort et violent comme un Direct du Droit du regretté Mohamed ALI.
Merci Rebel ! Mes respects.
Après ça, on peut aller dormir. Tu nous a soulager des élucubrations masturbatoires de ce déséquilibré vieillissant.
Mr Bagayogo devrait essayer dans les universités Américaines les avantages et les vertus d’une Dictature.
Et Faire comprendre aux Américains que la Démocratie ne vaut rien. Si Bagayogo aime la Dictature, il est libre de venir vivre sous les militaires putschistes.
Quand on vit dans un pays libre et prospère, il est irresponsable et imbécile de souhaiter une dictature à un autre pays à l’économie calamiteuse sous pretexte de souveraineté. La Corée du Nord, Cuba, La Chine, LA Russie, L’Iran, le Soudan du Sud, L’Erythré etc sont des pays souverains dont les populations cherchent à fuir par tous les moyens. C’est comme si ce monsieur maudissait le MALI.
Bagayogo est actuellement dans un pays démocratique, un pays qui lui garantie la liberté de dire ce qu’il pense même si son idée est farfelue.
Si Au MALI l’idée lui était venue de dénoncer la dictature, il se serait retrouvé en prison accusé de trouble à l’ordre public, outrage à magistrat et menace sur la sécurité d’Etat. La récitation des procureurs complices des putschistes.
C’est dommage qu’au Mali, on préfère les joueurs de cinémas et de fourberies au lieu de profiter des expériences et des autres valeurs d’un tel homme. Courage pauvre peuple malien afin de pouvoir connaitre et retenir les bonnes personnes pour le développement du pays à très long terme.
In nutshell article cleverly acknowledge NATO democracy do not work in Africa. Kenya is becoming latest victim with government choosing to murder citizens as oppose to using rubber bullets. Could this be prelude to Kenyan civil war or will Kenyans make decision to at God speed dump NATO democracy. After existing for decades NATO democracy continue to necessitate you must have nation to economically exploit much like Rwanda do with Democratic Republic of Congo. Therefore it hold true even in Africa that even sham of NATO democracy governing as in Rwanda require having another to economically exploit.
Henry Author Price Jr aka Kankan
donc si je comprends le raisonnement, pour éviter que le pays se développe comme les pays occidentaux, il vaut mieux installer une dictature, on sera pauvres, brimés, on mourra peut-être de faim mais on sera libre, heureux d’avoir choisi un système de m…
N’importe quoi…
Ridicule propagande russe qui veut installer son régime dictatorial au Mali et en plus faire croire aux gens que c’est pour leur bien. ça va leur faire bizarre lorsqu’ils vont se rendre compte que les Africains ne sont pas comme les russes, à un moment, quand il sont pas content, ils le font savoir.
Being Dr. Bagayoko have great comprehension of what must be done for Mali plus AES to obtain highest value for resources plus work he should give us in depth account of development of three levels of economy he speak of plus order fitting for that development to take place. Information given by him is easily understood. Rejection of foreign currency seem to be problem but that would necessitate that we be paid by foreign nations or businesses in our currency obligating them to exchange for our currency with gold or other acceptable goods. Interesting plus seemingly feasible. I believe Russia did much same after NATO imposed ongoing sanctions.
We will be waiting for Dr. Bagayoko model 70% of value beats 10%.
Henry Author Price Jr aka Kankan
ou comment essayer de justifier une dictature en sortant des inepties…
. Merci Docteur : vous avez honoré votre image de Docteur émérite !
. Vous venez de dire une vérité aussi exacte que les sciences dures.
. C’est après le passage des généraux et des empereurs que beaucoup de pays sont devenus des démocraties.
Qu’est qu’un état souverain ? La souveraineté se mesure seulement que par la tenue des élections ? La démocratie occidentale ???
C’est trop facile comme raisonnement de la part d’un universitaire.
Un pays affamé ne peut être démocratique ?
C’est à peine si on entend son signal dans le vacarme de la ville : un bus électrique aux couleurs vert, jaune et rouge, du drapeau du Sénégal, s’arrête. À son bord, quelque 150 passagers dont Cheikh : ce conseiller commercial de 29 ans, qui arrive de Pikine à 10 kilomètres de là, n’en finit pas de se réjouir : « Moi, d’habitude je faisais plus de deux heures pour arriver ici à destination à Sacré-Cœur [un quartier de Dakar, NDLR]. Maintenant, je le fais en 30 minutes. C’est une aubaine, pour nous. C’est bien, il est confortable, climatisé. On se sent bien, là. Tu gagnes en temps et en confort. »
Transports à Dakar: «Le BRT à côté du TER, ça ne suffit pas mais c’est déjà un saut qualitatif énorme»
Avec ces bus électriques, mais aussi un train de banlieue – le train express régional (TER) mis en service en 2021 entre Dakar et Diamniadio à une trentaine de kilomètres du centre-ville –, la capitale sénégalaise tente de s’attaquer au fléau de la pollution atmosphérique dans la ville qui est responsable de la mort de « 7 % des habitants », d’après une étude qui date de 2022.
Pour le Directeur général du Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (Cetud), Thierno Birahim, le BRT est un moyen efficace de lutter contre la pollution, même s’il va falloir rapidement étendre ce réseau et aller plus loin. « Aujourd’hui, le taux de motorisation dans cette ville est d’environ 30 véhicules pour 1000 personnes. On est loin encore des niveaux de motorisation des pays industrialisés qui font 500 véhicules pour 1000 personnes, affirme-t-il au micro de Léa-Lisa Westerhoff. Donc, c’est déjà saturé. On va doubler le niveau de motorisation et la population dans un horizon de 20 ans. Donc, effectivement, le BRT à côté du TER seuls ne suffisent pas. Mais c’est déjà un saut qualitatif énorme. On est juste au début ».
Il poursuit : « Et donc, à l’horizon 2026, fin 2026, on va avoir, dans une première phase 400 bus à gaz, 30 kilomètres de voirie. Une seconde phase est prévue pour atteindre 1000 bus, compléter donc avec des bus électriques pour un vrai maillage. Et spécifiquement, avec ce mode de transport non-polluant, nous faisons des économies de 59 000 tonnes de CO2 par an. »
Ceux qui pensent que Mountaga Tall va remplacer P.M Choguel se trompent.
C’est gratuit de rêver.
En 1991 Tall était le cheval blanc de la france pour Koulouba.
Le Mali n’a jamais été pro-france.
Seulement les Maliens n’aiment pas les fuyards.Ils ont toujours reproche à Tall de s’être réfugié à Dakar lors des événements de 1991.
Jamais Assimi ne va nommer Tall à la primature
Aux dernieres élections Tall fut battu par une Chinoise Malienne par marriage dans son fief de Ségou
Quand Tall était ministre de l’enseignement Sup sous IBK le scandale des bus scolaires.Les Bus mercedez des années 80 maquillées, vendues 2 fois le prix d’une Mercedez neuve. Tall fut viré par IBK
Merci pour le rappel historique, c’est pourquoi cette generation de politiciens ‘démocrates’ qui a mis le Mali dans le gouffre de 1992-2022, doit partir définitivement et totalement car elle ne connait que voler faire le delinquent financier, piller le trésor Malien et le nepotisme. Moi a la place d’Abdoulaye Maiga j’allais bannir tous ces partis politiques a caractère d’entreprises familiales: ADEMA-PSJ, RMP, PARENA, CNID, CODEM, FARE, URD, UDD, YELEMA, ADP, et tous les 300 partis et ne laisser que 4 nouveaux au maximum se mettre sur place.
C’est ce que nous dénonçons chaque jour.
Si le Mali pouvait limiter les relations avec la france à leur plus simple expression.Même pas un ambassadeur à Paris
Je comprends pourquoi la france panique quand nos pays veulent signer des accords avec la Chine ou la Russie.
Ceux qui pensent que Mountaga Tall va remplacer P.M Choguel se trompe.
En 1991 Tall était le cheval blanc de la france pour Koulouba.
Le Mali n’a jamais été pro-france.
Car la culture Malienne rejette toute idée de domination.
Les Samory, Oumar Tall, Tiéba, Babemba…se sont battus contre la colonisation.
Merci Bagayokoke pour la lumière! En effet la democratie de facade en Afrique c’est un instrument pour mieux servir la tres maudite France! ADIEU LA FRANCAFRIQUE, ADIEU LA FRANCEDEAO, ADIEU LA FRANCOPHONIE, ADIEU LE MONDE UNIPOLAIRE RACISTE, ESCLAVAGISTE, COLONIALISTE ET IMPERIALISTE