La médiation de Lomé a été reconduite par l’instance régionale pour gérer diplomatiquement le litige autour des départs du Mali, le Burkina et le Niger. Cette fois, le Sénégal qui était pressenti, sera formellement partie prenante.
Si le Général Abdrahamane Tiani du Niger parlait d’un divorce total, la CEDEAO n’est pas allée dans le même sens. En divergences poussées avec les 3 regimes militaires prônant la souveraineté nationale retrouvée, l’instance mise désormais sur le duo Sénégalo-togolais.
Faure Gnassimgbe est désormais le médiateur attitré du Mali auprès de la sous-région. Il a été très décisif dans la levée des sanctions infligées à Bamako en 2022, lors du bras de fer entre Bamako et la CEDEAO, dans la foulée des assises nationales de la refondation. Idem lors du dossier des 49 militaires ivoiriens, qui a permis une grâce présidentielle, puis la crise institutionnelle au Niger de Juillet 2023 quand planait une intervention militaire régionale, après que Mohamed Bazoum soit déposé en juillet 2023.
Cette fois, le numéro 1 Togolais sera avec son homologue de Dakar, non moins dernier président élu de la sous-région. Il s’agit de Diomaye Faye, qui était d’ailleurs à Bamako tout dernièrement pour une prise de contacts. Lui qui était invité à négocier un retour de façon informelle avec Ouaga et Bamako et qui refusait ce costume de médiateur qu’il finira par arborer. Il devra cette fois retrousser les manches pour être convaincant face à des interlocuteurs prônant désormais les relations bilatérales et un retrait irréversible. Sauf qu’il faudra faire avaler la pilule du protocole additionnel pourtant hostile aux régimes ” souverains ” : il s’agit du règlement imposant l’interdiction des coups d’États et insistant sur le retour à l’ordre constitutionnel rapide.
Au demeurant, dans la foulée de sa tournée dans l’AES, le numéro 1 sénégalais a dû constater que les transitions ont opté pour le long terme. Bamako s’accroche à un maximum de 5 ans depuis le Dialogue Inter-Malien, tandis que Ouaga s’est adjugé un titre de président en plus des 5 ans.
Nul n’ignore par ailleurs la proximité du numéro 1 togolais avec Alassane Ouattara. Le doyen ivoirien et Eyadema fils convergent sur les questions sous-régionales notamment sécuritaires. Leur dernier échange a porté sur la levée des sanctions du Niger, à l’aube du ramadan 2024. Ainsi, la diplomatie est mise en avant dans ce délicat dossier pour que le navire CEDEAO arrête de tanguer, au risque de voir la sous-region crouler sous le péril institutionnel et sécuritaire.
Rendez-vous est donc pris à Bamako auprès de son Excellence Assimi Goita, président en exercice de l’AES, qui devient de fait l’interlocuteur de la médiation.
I KEÏTA
L AFRIQUE SERA UNE PUISSANCE MARITIME MONDIALE SI ELLE PARVIENT À LIBÉRER SES CÔTES ET UNIR SES TERRES, CONTINENT RICHE POSITION CENTRALE AU MONDE ENTIER, IL FAUT SAVOIR L ESCLAVAGISTE A SÉVI SUR LES CÔTES CONTRÔLÉES PAR LUI, CÔTES DES OCÉANS SABLES OU EAUX.
Les monothéistes moyen-ageux, réciteurs et cousins racontars tous hypocrites feront tout pour séparer les noirs des côtes des noirs de l intérieur des terres.
L AFRIQUE SERA UNE PUISSANCE MONDIALE AVEC SA MAÎTRISE DES CÔTES ARRACHÉS DES GRIFFES DES CRIMINELS COLONIALISTES ET ESCLAVAGISTES.
NÈGRES DES CÔTES MARITIMES !
NÈGRES DES CHAMPS INTÉRIEURS!
NÈGRES DES ENVAHISSEURS BLANCS!
NEGRES DES TERRES, HOMMES FRANCS!
HOMMES NOIRS DEBOUT PARTOUT,
AU RÉVEIL CEUX, LARBINS SURTOUT,
COUCHÉS SUR NOS TERRES CÔTIÈRES,
PAR CROYANCE, PAR CHOIX PAUPIÈRES,
ALOURDIES CES CERVELLES SCOLARISÉES,
POUR QUE AU MEILLEUR SOYONS ATOMISÉS.
Bassirou tu dois savoir qu’ Abdoulaye Bathily ne peut rien résoudre dans cette affaire. L’AES est une confederation a respecter et a apprécier car une fierté Africaine!
It seems more appropriate to ask will Togo or Senegal or both be next ECOWAS member to join AES?
Henry Author Price Jr aka Kankan
A very good question, because there is no way that AES will join ECOWAS which has become a French’s troll and instrument! Benin, Senegal, Togo, and Tchad are welcome to join the AES!
https://www.youtube.com/watch?v=8Vz2FgiCPBE
Ramener? c’est un jeu de mot.
Il ne s’agit pas de ramner les peuples comme les boeufs à l’abreuvoir.
Le Liptako Gourma est plus vieux que la cedeao.AES c’est le Liptako Gourma amélioré.
Le Liptako Gourma n’a jamais été phogocyté par l’occident.C’est déjà un bon point de départ.
Bassirou et Faura peuvent toujours essayer de tisser des liens fraternels entre AES et les autres pays de la sous-région.Comme entre la Mauritanie et la cedeao.
Dans l’interêt de la sous-région.
Il guerre froide dans la region sera la catatrophe.
Il faurt négocier les meilleurs conditions de cohabitation pacifique.
Mais dire que AES va se plier au diktat de la cedeao je pense que nous avons déjà dépassé ce stade.
La cedeao avait mille chances sur mille.Elle a tout bousillé.
La cedeao va disparaitre.
Faure et Bassirou ne croient plus à la cedeao.Ils vont négocier en mettant en avant les intêrets de leur pays avec AES.
C’est clair.
Dans un regroupement, plus les insignifiants s’éloignent,plus le regroupement se renforce.
LE DÉPART DES TROIS PAYS LES PLUS PAUVRES DE LA CEDEAO RENFORCENT L’UNITÉ DE LA CEDEAO.
Donc dire que la CEDEAO s’affaiblit avec le départ du MALI, du BURKINA FASO et du NIGER,c’est raconter des inepties.
L’insistance à négocier des chefs d’Etat de la CEDEAO, c’est pour venir en aide aux populations des trois pays PRISES EN OTAGE par des PUSCHISTES.
Avec l’AES, ce sont les peuples qui sont sacrifiés car il s’agit de sauvegarder les pouvoirs des puchistes.
Trop de blablabla. La Confederation de l’AES n’a pas de temps a perdre avec Bassirou et Faure seulement s’ils veulent discuter de rejoindre la Confederation de l’AES