ORTM / Journal TV Flash info 13h du 14 Juin 2013

5

FS[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=oIETKm0F-Fs[/youtube]

Commentaires via Facebook :

5 COMMENTAIRES

  1. L’Afrique s’appauvrit par la faute de ses propres acteurs et décideurs politiques qui manquent visiblement de vision. Cela, dès les députés qui proposent des amendements à l’Assemblée.

  2. A cette allure, les “gros” (multinationales étrangères) gagneront toujours, tout en préservant leurs “compétences” (le nerf de la guerre); et les “petits” (créateurs d’emplois nationaux), non associés à ces géants, crèveront tous jusqu’à entraîner des révolutions !!! Et pour finir, l’Afrique risquera de rester à jamais la dernière de la classe en termes de “maîtrise des technologies” (bâtiments, énergie, infrastructures, télécommunications, informatique, santé, éducation, agriculture, …).

    Mais que diable comment nos dirigeants gouvernent-ils ? N’ont-ils pas fait des études à l’étranger pour voir comment font les autres ? Quelles sont leurs “propres conclusions” vis-à-vis des recommandations du FMI et de la BM ? Ne voient-ils pas comment les chinois opèrent sur de gros contrats ?

    Est-ce si difficile de promulguer une loi (“règle juridique suprême”) visant à systématiquement associer les entreprises ” nationales” aux entreprises ” étrangères” titulaires de contrats ?

  3. A bien voir, la façon d’attribuer les gros marchés, imposé par une “main invisible”, fait partie du quotidien dans la quasi-totalité des pays “francophones” africains. J’insiste sur “francophones”.

    En effet, lors des stages offerts par le FMI et la Banque Mondiale à des jeunes (23-25 ans) sortant des Universités américaines, ces derniers rédigent des recommandations pour l’Afrique suspendue aux décisions de ces institutions.

    D’accord, nous voulons bien que les marchés soient soumis à des “Appels d’Offres (AO)” ou à des “Avis à Manifestation d’Intérêt (AMI)”. Mais qu’en est-il du protectionnisme, c-à-d les entreprises nationales avant tout lorsqu’elles en sont capables ? Vous remarquez au passage que ces documents (AO et AMI) sont quasiment identiques, à la virgule près, dans tous nos pays “francophones” d’Afrique. Leur origine est mentionnée ci-dessus (Des “maîtres” aux “éternels élèves”).

Comments are closed.