L’Afrique s’appauvrit par la faute de ses propres acteurs et décideurs politiques qui manquent visiblement de vision. Cela, dès les députés qui proposent des amendements à l’Assemblée.
A cette allure, les “gros” (multinationales étrangères) gagneront toujours, tout en préservant leurs “compétences” (le nerf de la guerre); et les “petits” (créateurs d’emplois nationaux), non associés à ces géants, crèveront tous jusqu’à entraîner des révolutions !!! Et pour finir, l’Afrique risquera de rester à jamais la dernière de la classe en termes de “maîtrise des technologies” (bâtiments, énergie, infrastructures, télécommunications, informatique, santé, éducation, agriculture, …).
Mais que diable comment nos dirigeants gouvernent-ils ? N’ont-ils pas fait des études à l’étranger pour voir comment font les autres ? Quelles sont leurs “propres conclusions” vis-à-vis des recommandations du FMI et de la BM ? Ne voient-ils pas comment les chinois opèrent sur de gros contrats ?
Est-ce si difficile de promulguer une loi (“règle juridique suprême”) visant à systématiquement associer les entreprises ” nationales” aux entreprises ” étrangères” titulaires de contrats ?
A bien voir, la façon d’attribuer les gros marchés, imposé par une “main invisible”, fait partie du quotidien dans la quasi-totalité des pays “francophones” africains. J’insiste sur “francophones”.
En effet, lors des stages offerts par le FMI et la Banque Mondiale à des jeunes (23-25 ans) sortant des Universités américaines, ces derniers rédigent des recommandations pour l’Afrique suspendue aux décisions de ces institutions.
D’accord, nous voulons bien que les marchés soient soumis à des “Appels d’Offres (AO)” ou à des “Avis à Manifestation d’Intérêt (AMI)”. Mais qu’en est-il du protectionnisme, c-à-d les entreprises nationales avant tout lorsqu’elles en sont capables ? Vous remarquez au passage que ces documents (AO et AMI) sont quasiment identiques, à la virgule près, dans tous nos pays “francophones” d’Afrique. Leur origine est mentionnée ci-dessus (Des “maîtres” aux “éternels élèves”).
L’Afrique s’appauvrit par la faute de ses propres acteurs et décideurs politiques qui manquent visiblement de vision. Cela, dès les députés qui proposent des amendements à l’Assemblée.
A cette allure, les “gros” (multinationales étrangères) gagneront toujours, tout en préservant leurs “compétences” (le nerf de la guerre); et les “petits” (créateurs d’emplois nationaux), non associés à ces géants, crèveront tous jusqu’à entraîner des révolutions !!! Et pour finir, l’Afrique risquera de rester à jamais la dernière de la classe en termes de “maîtrise des technologies” (bâtiments, énergie, infrastructures, télécommunications, informatique, santé, éducation, agriculture, …).
Mais que diable comment nos dirigeants gouvernent-ils ? N’ont-ils pas fait des études à l’étranger pour voir comment font les autres ? Quelles sont leurs “propres conclusions” vis-à-vis des recommandations du FMI et de la BM ? Ne voient-ils pas comment les chinois opèrent sur de gros contrats ?
Est-ce si difficile de promulguer une loi (“règle juridique suprême”) visant à systématiquement associer les entreprises ” nationales” aux entreprises ” étrangères” titulaires de contrats ?
A bien voir, la façon d’attribuer les gros marchés, imposé par une “main invisible”, fait partie du quotidien dans la quasi-totalité des pays “francophones” africains. J’insiste sur “francophones”.
En effet, lors des stages offerts par le FMI et la Banque Mondiale à des jeunes (23-25 ans) sortant des Universités américaines, ces derniers rédigent des recommandations pour l’Afrique suspendue aux décisions de ces institutions.
D’accord, nous voulons bien que les marchés soient soumis à des “Appels d’Offres (AO)” ou à des “Avis à Manifestation d’Intérêt (AMI)”. Mais qu’en est-il du protectionnisme, c-à-d les entreprises nationales avant tout lorsqu’elles en sont capables ? Vous remarquez au passage que ces documents (AO et AMI) sont quasiment identiques, à la virgule près, dans tous nos pays “francophones” d’Afrique. Leur origine est mentionnée ci-dessus (Des “maîtres” aux “éternels élèves”).
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