Interview de la semaine : Entretien de Yaya KONATE avec le ministre de la justice Malick Coulibaly sur les suites judiciaires réservées à l’agression du président Dioncounda TRAORE

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13 COMMENTAIRES

  1. Mr le ministre votre credibilité et celle de tout le Mali est en jeu.Nous attendons l’arrestation des principaux suspects dans cette affaire, à savoir les organisateurs de cette sale convention qui à l’origine de l’humuliation de tout les africains.

  2. Si ton rôle se limite à mettre en place tout et n’importe quoi sans avis, tu n’es pas fait pour cette fonction. On n’as pas besoin de marionnette. Rend ta demission.

  3. un bon chanteur le ministre de la juste. il serait premier au top étoile. que des mythos.
    mon oeil le droit droit de l’homme. ah oui les tenues reçoivent de la nourriture des parents la honte.
    il doit démissionner.
    la juste sur des bon rails BUZZZ!!!!!!!!!

  4. Les gros mots, nous téléspectateurs on a point besoin, tu as déjà fait parti-pris, car dans un passage tu dis qu’au moment ou le pays a besoin de touts ses fils qu’on n’avait pas besoin de ca. Tu a oublier que les événements du 22 mars ont trouvé le pays dans une situation pire parce que l’arme était sous les feux. Si vous n’été pas la a la solde des Bandits de Kati alors pourquoi justifier ?

  5. Investi de la confiance du peuple? Il se croit issu d’une election ou quoi? Mr, je ne vous connais pas ni votre capacité intellectuelle mais là vous prenez les maliens pour dupes… Nous sommes sortis des meme ecoles, donc capable d’analyser ce que vous dites…. Là vous vous moquez des maliens lorsqu’il s’agit de l’amnestie qu’on accorde à certains mais pas à d’autres.

  6. Bonne meditation sur cet article

    Affairisme dans la crise malienne : Comment la Cia a fait plier Ouattara / La vérité sur le limogeage de Bictogo / Tout sur les Frci arrêtés au Mali
    Source : Le Temps : Dernière Mise à jour : 07/06/2012 (Auteur : )
    Lu : 2683 fois

    Si l’un des réseaux mafieux organisés par le pouvoir a un genou à terre, l’autre cherche tant bien que mal à garder ses repères dans la sphère politique ivoirienne. Le réseau ouattaraiste qui a le genou à terre, est celui d’Adama Bictogo. Tout son malheur est parti de la crise malienne. Lors des négociations dans la crise malienne, Adama Bictogo fait un très bon rapprochement entre lui et la junte du capitaine Sanogo. C’est ainsi que l’homme fort de Bamako lui signifie son souci financier pour s’approvisionner en armements, en vue de faire face à la rébellion. Adama Bictogo lui propose un réseau moyennant diamants et métaux. Sanogo accepte de faire ce deal en clando, avec Bictogo qui arrive même à liquider quelques quantités de pierres. Sanogo s’active alors à s’armer. C’est en ce moment que la pression internationale s’intensifie sur la junte. Entre temps, la Cia suit de près ce deal entre Bictogo et la junte. Cette «Agence» déjà très déçue du pouvoir ivoirien, avec la vente du «diamant de sang ivoirien», fait un rapport accablant sur ce régime. Abidjan est alors dans leur viseur. La Cia saisit donc le Nigéria. C’est la vraie raison du voyage inattendu de Goodluck à Abidjan après la chute de Sarkozy. Chemin faisant, la communauté internationale fait plier la junte par des pressions diverses. Ouattara voulant profiter de la situation, engage une action militaire avec les Frci. Au cours de l’offensive au Mali, un chef de guerre et pas des moindres, et plus d’une centaine d’éléments sont pris sur le théâtre des opérations. Ouattara négocie assidument la libération de cet homme qui est l’un de ses proches les plus directs. Beaucoup de moyens sont donnés à Adama Bictogo, pour les faire libérer. Le capitaine Sanogo profite de son avantage et exige au pouvoir ivoirien plusieurs choses. Abidjan mouillée jusqu’au coup, dans cette affaire cède, pour obtenir la libération de ses hommes en oubliant définitivement l’option militaire. Comme acte bonne foi, le pouvoir exige du capitaine Sanogo la libération du chef de guerre. Les autres devraient être libérés après la signature des derniers accords. Après la signature des accords dans lesquels le capitaine Sanogo obtient gain de cause, ce dernier refuse de libérer les autres prisonniers qu’il détient encore comme preuves. Abidjan qui ne comprenant plus rien, s’informe pour cerner la motivation de la junte à ne plus tenir parole. C’est là que le régime découvre qu’Adama Bictogo n’a pas donné tous les moyens qui ont été dégagés pour le capitaine Sanogo. Dès lors, la présidence ivoirienne se saisit de cette situation et fait un semblant de limogeage avec un faux alibi. Qui à la réalité, n’est qu’une action de charme pour contenter les Usa et la communauté internationale. C’est en ce moment que le réseau Hamed Bakayoko se positionne, en activant ses relations dans la presse et accable son rival. La réaction d’Adama Bictogo ne s’est pas fait attendre. Il donne des éléments précis sur des virements que feraient Hamed Bakayoko verse sur un compte offshore, en Europe depuis huit mois. Et Adama Bictogoa a juré d’avoir la tête de Hamed Bakayoko.

    Une correspondance particulière
    de K.S

  7. “L’agression d’un president est un acte tres grave…..” kiakiakia 😆 😆 😆 😆 Oui mais pas au mali. Au Mali on fait ce qu’on veut. Il suffit de s’appeler Sanogo, et on recoit meme une recompense du gouvernement….kiakiakia 😆 😆 😆 😆

  8. Il ne peut pas avoir de justice quand les auteurs du crime sont au pouvoir.
    Le Mali est pris en otage par Sanogo et Gonogo (le 1er sinistre au lieu de 1er ministre).
    Ils sont de connivence et font tout pour maintenir le Mali dans la crise actuelle.
    Ils sont tous impliqués dans la tentative d’assassinat du Président Djoncounda.
    Si Djoncounda a survécu c’est parce que ses agresseurs l’avaient cru mort.
    Sanogo et Cheikh Diarra, le Gouvernement et les Mariko ont décidé de faire échouer la transition et de tout faire pour éviter l’intervention d’une force internationale.

    Le 1er sinistre est chargé de tromper la Communauté internationale, de lui faire croire que le Mali est retourné à l’ordre constitutionnel et de maintenir le pays dans cette situation jusqu’à un moment favorable pour Sanogo pour occuper la présidence. Au terme de son mandat, il remettra le pouvoir à Cheikh Modibo Diarra comme en Russie et comme c’était le cas entre ATT et Alpha Oumar Konaré.
    Le rôle de Sanogo c’est de régler les comptes aux proches d’ATT qui sont dans l’armée et s’occuper de la chasse aux sorcières, aux leaders qui ne leur sont pas favorables.
    Ils doivent tous les 2 contribuer à la vengeance du beau père Moussa Traoré et l’émergence du clan UDPM et du parti du 1er sinistre qui est en veilleuse jusqu’au moment opportun.
    Cheikh Modibo Diarra joue le rôle de ralentisseur et doit tromper la communauté internationale en lui faisant croire que Sanogo s’est retiré dans les casernes bien qu’il continue de diriger de fait. Il a aussi pour mission de tout faire pour empêcher l’intervention de la force de la CEDEAO et de la communauté internationale.
    C’est pour cela qu’il s’engage à bâtir une nouvelle armée compétente et bien équipée, ce qui mettra un minimum de 5 ans.
    Djoncounda a intérêt à rester en France, il risque sa vie au Mali. Il doit organiser la libération du Mali depuis la France car ceux qui sont au pouvoir au Mali sont pire que le MNLA et les islamistes pour le Mali.
    Il faut que Djoncounda saisisse l’UA, la CEDEAO et l’ONU pour sécuriser les institutions à Bamako et libérer le Nord.
    Au secours, il faut l’intervention de l’ONU, de l’Union Africaine et de la CEDEAO.
    Si on attend le 1er sinistre Cheikh Diarra, il ne demandera jamais l’aide de la communauté internationale alors que les maliens n’en peuvent plus.

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