L’Union nationale de travailleurs du Mali (UNTM) a déposé un préavis de grève de 72 heures.
Le gouvernement de transition après avoir circonscrit à la grève des enseignants au lendemain du coup d’Etat est à nouveau acculé par un front social.
Cette grève risque de paralyser le pays d’autant plus que c’est la plus grande centrale syndicale du Mali. Elle regroupe en son sein, presque tous les secteurs de la vie professionnelle.
l’UNTM réclame aussi ce que les l’Etat a octroyé aux personnels enseignants comme retombées de l’article 39. On se rappelle que lors des négociations entre les syndicats d’enseignants et le gouvernement, le secrétaire général de l’UNTM, Yacouba Katilé avait alerté les décideurs à l’époque.
Le Gouvernement de transition pourra t-elle résister contre toutes ses batteries de doléances par les travailleurs.
Comme dirait l’autre, le nouveau ministre de la Fonction publique, Me Harouna Touteh est aussi sur des braises. Il a été accueilli par la grève de 15 jours des administrateurs civils, puis une grève illimitée après avoir organisé une marche.
Le Gouvernement de transition sur les traces du régime du président Ibrahim Boubacar Keita, concernant le front social. Le pays était en ébullition, ce qui a même affaibli le régime d’IBK.
D’autres mouvements de grève suivront le mot d’ordre de grève de l’UNTM. Cette centrale syndicale réclame l’application des dûs issus de sa dernière grève, qui avait accordé l’augmentation de salaires et des avantages aux travailleurs du statut général de la fonction publique.
Les autorités de transition multiplient les pourparlers, afin d’avoir une issue heureuse avec la plus grande centrale syndicale du Mali.
En outre, selon des sources bien informées, la Confédération syndicale des travailleurs du Mali ( CSTM) prépare aussi un préavis.
A suivre
Seydou Diamoutené
attbougou 2 Nov 2020 at 12:42 ;
” … Les directeurs de l’INPS qui se la coulent douce avec des cinquantaine de million par mois… ” … ///…
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Ce n’est pas un peu beaucoup ce chiffre… ?
Ces grèves se justifient pour l’amelioration des conditions de vie et de travail des fonctionnaires Maliens. En effet, cela serait du aux salaires mirobolants accordés à nos élues politiques comme le president de la Republique du Mali sous IBK qui était mieux payer que le president de la Republique federal du Nigeria comment expliquer cela? Les deputés avec des frais de mission supérieur ou égal au salaire. dans quel pays sérieux est ce arrivé? Les directeurs de l’INPS qui se la coulent douce avec des cinquantaine de million par mois. ou était les structures de contrôle et le conseil d’administration? Les directeurs de la CANAM, DE LA FAFPA et autres. Il est grand temps que le pays organise les assisses de la gestions financières de l’état en vue d’apport des réponses idoines et satisfaisante á ses questions de revenue du pays et d’ajuster sa repartition entre les fonctionnaires et les postes politiques afin de réduire la fracture existantes? Nous avons les cadres competants pour diriger et réussir cette mission crucial pour la bonne gestion de nos maigres resources. J’invite la transition a prendre langue avec des cadres comme ZOUMANA SACKO, SIDI SOSSO DIARRA, OUSMANE TOURE, BABY, IGOR DIARRA, TIENA COULIBALY, BABALY, ALASSANE DIALLO, DAFFE, BOURE, TOUS LES ANCIENS PREMIERS MINISTRES, PRESIDENTS, MINISTRE DE L’IMPOT, DE L’ECONOMIE ET DU PLAN, les Maliens de la DIASPORA qui gère les grandes structures financière comme Madani TALL au CANADA ET LES AUTRES pour dresser le sombre tableau et apporter des solution pour y remédier. ENSEMBLE NOUS VAINCRE POUR UN MALI EQUITABLE ET EN PAYS AVEC LUI MEME. VIVE LE MALI
ce sont les conséquences de l’article 39. quand IBK et Boubou etaient retissant par rapport a l’application de cet article c’étaient a cause de ces conséquences budgétaires, dont l’Etat n’a pas les moyens.
C’est fou ce que les Enseignants ont enduré durant des années de lutte. Et chaque fois, ils avaient en face d’eux un certain IBK. D’abord quand ce dernier était Premier Ministre…, six années durant. Six années émaillées de grèves d’avertissement, de grèves illimitées et d’année blanche pour les écoliers. Que de temps perdu pour les écoliers. Alors que pendant ce temps, les enfants des décideurs suivaient leurs scolarités dans des Ecoles Privées…, souvent à l’étranger…
Quand le même IBK a réussi à se faire élire Président de la République au grand dam de ceux qui pensaient et disaient que ” c’était pas le bon “. On n’a pas écouté ceux disaient que c’était pas le bon Président à élire. Les décideurs l’ont choisi pour son charisme et son NOM ( … ? ). Son intransigeance et son refus lors des grèves pendant les années où il fut Premier Ministre ne les ont pas alerté… !
Les Syndicats enseignant sont restés en fait au front des revendications.
Où étaient les Syndicats des autres Secteurs de la Fonction Publique et Privée… ?
Bien sûr on a entendu parler de préavis de grèves de certains, tout au long de ces années ” du POUVOIR IBK “. Mais c’est rarement allé plus loin que des préavis et des menaces d’arrêts de travail…
C’est maintenant que la ténacité des Syndicats-Enseignants a payé, que les Syndicats des autres Secteurs de la Fonction Publique se réveillent… ?
Et même après que le Régime ( finissant ) de IBK ait cédé à aux revendications des Enseignants. Les autres Syndicats ont attendu la mise en place de la TRANSITION pour sortir du bois. Ils auraient pu le faire un peu plutôt quand même. Non… ?
Vivement le Mali pour nous tous.
La solution c’est de mettre en place le comité de transition et intégrer les syndicats pour qu’ils puissent s’imprégner des situations du pays.
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