IBK a chaud. Le président de la République est chauffé à blanc par un front social en ébullition qui ne lui laisse nul répit pour respirer. Entre la première centrale syndicale, l’Untm (qui a déjà débrayé une fois mais dont l’épée reste toujours pendante…), la deuxième, la Cstm (actuellement en guerre ouverte contre le régime) et les syndicats sectoriels de la magistrature, de la police, du CHU Point G, du CHU Gabriel Touré, des Csréf, de l’IUG, de la Coses, de l’Ortm, des services du travail du Mali etc. (qui ont tous leurs doléances brûlants à l’endroit du gouvernement), Ibrahim Boubacar Kéïta est acculé jusque dans ses derniers retranchements par des revendications sociales des travailleurs, et au-delà des Maliens, qui expriment ainsi leur ras-le-bol. Revue de dossiers non satisfaits entassés en file indienne sur la table du gouvernement !
IBK, celui-là même qui promettait monts et merveilles aux Maliens, est à l’épreuve de l’exercice du pouvoir. Une autre réalité qui exige bien plus que des mots. Il l’aura appris à ses dépens. En effet, déjà empêtré dans le dossier du nord, le président de la République et son gouvernement devront satisfaire les demandes sociales qui fusent désormais de partout. Du secteur de l’éducation à la santé, en passant par la justice et les banques, quasiment tous les syndicats ont maille à partir avec le gouvernement. Les derniers à rentrer dans la dance : les magistrats qui, le 10 mars dernier, annonçaient un bras de fer avec le département de justice pour la revalorisation de leur salaire. En effet, depuis sa dernière assemblée générale extraordinaire d’information, le Comité directeur du Syndicat autonome de la magistrature (SAM) est dans une logique de « guerre » pour la satisfaction de ses doléances, déclinées en 27 points de revendications. Lesquelles revendications ont été portées, le 11 février dernier, à la connaissance du département de tutelle de la magistrature. Mais il semble que les magistrats n’ont bénéficié aucune attention particulière. Toute chose qui aurait fait monter la tension au sein du SAM qui, désormais, n’exclut pas une union avec le Syndicat libre de la magistrature (Sylima) pour l’aboutissement de son combat. Les revendications du SAM portent sur le relèvement de la part du budget accordée au ministère de la Justice à hauteur de 10% au moins à compter de l’exercice 2017; l’alignement, du point de vue traitement et avantages, de la Cour suprême sur les institutions de même niveau, ainsi que sa dotation en moyens suffisants nécessaires à son fonctionnement; le relèvement de la grille indiciaire des magistrats (350 à 750 pour le magistrat en début de carrière et 1100 à 3500 pour le magistrat de grade exceptionnel); le rehaussement des indemnités de judicature à hauteur de 800.000 FCFA pour chaque magistrat; le rehaussement des indemnités de logement à hauteur de 500.000 FCFA pour le magistrat de la Cour suprême et 300.000 FCFA pour les autres magistrats. S’y ajoutent l’octroi de primes de responsabilité et de représentation à hauteur de 500.000 FCFA pour le président de la Cour suprême et le Procureur général près la Cour suprême; 400.000 FCFA pour les autres magistrats de la Cour suprême; 350.000 FCFA pour le premier président de Cour d’appel, le Procureur général près la Cour d’appel, les chefs des services centraux du ministère de la Justice et le magistrat en détachement; 300.000 FCFA pour tout autre magistrat de la Cour d’appel ou tout autre magistrat de l’Inspection des services judiciaires; 250.000 FCFA pour le Président du Tribunal de grande instance, le Président du Tribunal administratif, le Président du Tribunal de commerce, le Président du Tribunal du Travail, le Président du Tribunal pour enfants, le Procureur de la République près le Tribunal de grande instance ; 200.000 FCFA pour le Président du Tribunal d’instance, le Procureur de la République près le Tribunal d’instance et tout magistrat en fonction dans un service central ou assimilé du ministère de la Justice; 150.000 FCFA pour tout autre magistrat d’une juridiction de premier degré.
Autres points de revendication du SAM, c’est l’octroi d’une prime de risque d’un montant de 150.000 FCFA pour tout magistrat; l’extension des dispositions du décret N°2014-0837/PRM du 10 novembre 2014 aux magistrats (indemnités de représentation et de responsabilité, d’eau, d’électricité, de téléphone, de résidence, primes de zone, de domesticité et autres); l’octroi d’une prime d’installation non taxable d’un montant de 2.000.000 FCFA au jeune magistrat au moment de son entrée en fonction; l’intégration des primes et indemnités aux salaires; la revalorisation des pensions des magistrats à hauteur de 50%; la dotation en carburant de tous les magistrats; la réparation des dommages matériels causés aux magistrats lors des évènements survenus dans la partie Nord du pays; l’élaboration d’un plan de carrière des magistrats et la classification des juridictions… La liste n’est pas exhaustive.
Si les magistrats n’ont pas encore déposé de préavis de grève, les enseignants de l’Institut Universitaire de Gestion (Iug), eux, ont déjà engagé une grève illimitée. Cette grève, déclenchée le 8 mars dernier, intervient après deux grèves observées pendant cette année 2016. Le syndicat exige de son Rectorat, entre autres, la révision de l’article 2 du contrat autorisant les contractuels à donner 12h en cours du soir ; les paiements en intégralité des heures supplémentaires de cours au titre du deuxième semestre (S2, S4) de l’année universitaire 2013/2014 ; les frais de surveillance, de correction et de secrétariat au titre du premier semestre (S1, S3, S5) de l’année universitaire 2014/2015 ; le reliquat (38,07 %) des heures supplémentaires de cours au titre du deuxième semestre de l’année universitaire 2014/2015. Ce n’est pas tout. Les enseignants réclament également les frais de surveillance, de correction et de secrétariat au titre du deuxième semestre (s2, s4) de l’année universitaire 2014/ 2015 ; la mise en place immédiat d’une commission de relecture des textes régissant l’UFP.
Des grèves annoncées pour fin mars
La Confédération Syndicale des Travailleurs du Mali (CSTM) a déposé un préavis de grève sur la table du gouvernement, suite à la non-satisfaction de ses engagements dans plusieurs secteurs comme la santé, l’éducation, transports, Banques, liberté syndicale. Et elle est résolue à battre le pavé afin que le gouvernement respecte ses engagements. A cet effet, la centrale syndicale a déposé un préavis de grève de 48 heures, à compter du 21 mars 2016. Sur le plan éducatif, la CSTM demande l’intégration de tous les enseignants contractuels des collectivités dans la Fonction publique de l’Etat ; l’application du décret N° 2015-0363/PRM du 19 Mai 2015 qui fixe le SMIG des enseignants en service dans les écoles communautaires, centres d’éducation au développement et jardins d’enfants. Aussi, la Cstm réclame des primes d’ancienneté pour les enseignants de l’enseignement privé catholique. Concernant la santé, la centrale syndicale revendique l’amélioration du plateau technique des structures sanitaires de l’hôpital du Point G, des Centres de santé de références et Communautaires et du CHU Gabriel Touré ; le recrutement par l’Etat du personnel spécialisé pour les hôpitaux et du personnel qualifié pour les Centres de Santé communautaires. Figure dans les revendications également l’instauration d’un plan de carrière pour les agents non professionnels de la santé en activité dans les hôpitaux etc. Au niveau des services de sécurité, le syndicat s’insurge contre les licenciements abusifs dont sont victimes certains agents. De nombreuses autres revendications concernent d’autres secteurs vitaux, et la centrale syndicale observera une grève de 48 Heures à partir du lundi 21 au mardi 22 Mars 2016 sur toute l’étendue du territoire pour la satisfaction des revendications qui figurent dans son cahier de doléances.
En ce mois de mars, prend fin l’ultimatum lancé par le Syndicat de la Police nationale. Ce syndicat se plaint de la lenteur constatée dans la mise en œuvre du décret 350 modifié relatif à l’application des primes et indemnités. En effet, les policiers estiment qu’ils doivent bénéficier, au même titre que tous les travailleurs, les primes et indemnités accordés par l’Etat dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des travailleurs.
«Pendant que les autres camarades militaires se tapent 30.000 à 40.000F CFA, nous ne recevons que des miettes comme primes de logements, soit 2.000 FCFA pour les Sous-officiers, 2.250 pour les Inspecteurs et 2.750F pour les Commissaires. Depuis le 25 octobre 2015, nous avons saisi le ministre de tutelle à travers une correspondance. Dans un esprit de justice et d’équité, nous demandons la signature du décret des primes et indemnités prenant effet à partir du 01/01/ 2016», s’indignait le secrétaire général du syndicat de la police. Et il avait à l’occasion souligné que « les policiers montrerons leurs muscles » si rien n’est fait avant fin mars.
Rappelons que depuis décembre 2015, les fronts syndicaux s’ouvrent à un rythme vertigineux, sans que les autorités n’aient réussi aucune action susceptible d’atténuer les ardeurs. Ainsi, les grèves se suivent, causant au passage d’énormes préjudices aux citoyens et surtout au trésor public déjà fragilisé par des faits de délinquance financière. Les travailleurs de l’hôpital Gabriel Touré, ceux de l’ORTM tout comme la Coordination syndicale de l’enseignement secondaire(COSES) et le Comité syndical des services du travail du Mali (CSST) ont observé des grèves et restent jusque-là sur le pied de guerre pour exiger la satisfaction de différentes revendications. C’est dire combien le vieux est trimbalé par les syndicalistes dont les actes traduisent en réalité le malaise général qui s’est emparé des Maliens, depuis l’accession d’IBK au pouvoir.
Sambou Diarra
Mémé Sanogo
Les employès de la fonction publique sont les mieux placès pour connaître les difficultès que le pays traverse depuis catre ans,je pense que ces fonctionnaires doivent se montrer plus solidaires et patriotes avec le gouvernement quelque soit sa couleur politique à fin qu'on puisse sortir de cette situation ,si necesaire une congelation de salaire.Le devoir à nous tous est de sauver ce pays.Vive le Mali.
Les employès de la fonction publique sont les mieux placès pour connaître les difficultès que le pays traverse depuis catre ans,je pense que ces fonctionnaires doivent se montrer plus solidaires et patriotes avec le gouvernement quelque soit sa couleur politique à fin qu'on puisse sortir de cette situation ,si necesaire une congelation de salaire.Le devoir à nous tous est de sauver ce pays.Vive le Mali.
Ils observent la scène politique et guettent le moment le moins propice pour le pouvoir .Pourtant le pouvoir ne s’obtient pas par la trichérie .IBK a fait preuve de bonnes foi dans sa fonction comme président du Mali et continu de le faire avec honnêteté.
IBK se tracasse voie et moyens pour vous accorder un salaire acceptable malgré la situation que vit le Mali .Alors si vous ne voulez pas travailler ,sachez qu’il y a des bras valides qui sont pret à porter le drapeau du Mali haut et fort.
Le premier devoir d’un travailleur c’ est de se battre pour le développement de son pays .Malgré leur salaire à la hausse ,ces syndicalistes veulent encore des primes pourtant ils sont les premiers à savoir que le Mali est dans une période difficile.
Le président IBK est un homme que la population Malienne cherche depuis longue temps, compte tenu de tout cela certain cherche à nuire le gouvernement.
Le président IBK est entouré par ces propres ennemis qui voulaient seulement handicaper le gouvernement.
Dans un pays de droit comme le Mali, tous les dirigeants qui sont incompétence et incapable de satisfaire sa mission devrait démissionner sans exception.
Alors ne demandons à ces magistrat syndicalistes de démissionner le leur fonction s’il ne veulent plus travailler pour le gouvernement.
Ces syndicalistes reclament des salaires et des primes élévées pour tant ils mettent des mois ,voir même des années pour resoudre un problème quelconques.
A en voir cette attitude de ces syndicalistes on commence à penser qu’il sont adepte à la corruption.Car lorsque quelqu’un affirme que ses primes sont insuffisantes ,il est capable de prendre maintenant des pots de vains de la part des opposants pour combler son vide .
Évitons les polémique et comprenons que ce magistrat utilise la politique de ventre pour assouvir ses besoins.Pourtant avec IBK tous finis par se savoir ,s’ils ne croyent pas qu’ils aillent demander à tréta dans son champs de piment.IBK n’est pas là pour jouer alors qu’on laisse les conscients travailler.
Notre pays n’a pas en ce moment besoin de ces revendications fantaisiste en ce moment
Que ces enseignants comprennent qu’ils ne sont pas les seuls maliens qui travaillent pour le pays.
En tant qu’intellectuels,je pense que ces syndicalistes sont les mieux placés pour savoir que pour un pays comme le nôtre lorsque la masse salariale est trop élevée le budget en souffre énormément.
Qu’ils pensent donc à la situation actuelle de notre pays et laissent tomber ses revendication à colorations politiques.
Chers maliens,il ne faut pas se tromper.
Ces revendications n’ont d’autres buts que de faire du tort au président IBK et jeter le discrédit sur sa gouvernance.
Mais le peuple a déjà tout compris et soutient toujours son président.
Attendre des moments comme ceux ci pour sortir des revendications sordides est vraiment irresponsable de la part de ces syndicats.
Le mali a en ce moment d’autre chats à fouetter que de s’occuper de l’augmentation des gens qui sont déjà des privilégiés.
Alors qu’ils la bouclent…
C’est vraiment la honte pour notre pays.
Voir des syndicalistes se faire manipuler par des politiques pour faire pression sur le président avec des revendications qui ne tiennent même pas la route?
Où va donc notre pays?
Chers syndicalistes paresseux de mon cher Mali,sachez que vous n’êtes pas les seuls fonctionnaires de ce pays.
Les milliards que vous revendiquez peuvent servir à d’autres choses car vous êtes déjà trop bien nanti.
Alors calmez vous…
Cher président IBK,ne donnez rien à ces tocards de magistrats qui ne font même pas bien leurs boulots.
Les premières revalorisations avaient été faites dans le seul but de les mettre dans bonnes conditions afin qu’ils ne soient pas exposés à l corruption.
Mais nous constatons que c’est la toujours la même chose.
Qu’il nous foutent donc la paix…
Chers frères et sœurs c’est vraiment normal pour toute institution de la vie ; on a toujours besoin d’innovation , d’amélioration mais nous ne devons avoir pitié de notre pays. Faisons nos revendications mais ne mettons pas à mal la paix et la cohésion sociale car les vrais ennemis du pays sont tapis dans l’ombre et n’attendent qu’un petit désordre pour nous faire mal. Vigilance donc! :223love: :223love: :223love: :223love: :223love: :223love: :223love:
Cette situation devient de plus en plus inquiétante pourtant il faut apaiser le front social. Des grèves illimitées sont toujours un handicap pour nos sociétés. On ne peut résoudre cette situation rien que par la discussion. Certaines revendications sont tout à fait nobles mais des personnes comme nos magistrats qui sont parmi pour ne pas dire les mieux payés de notre pays qui veulent encore semer le désordre; c’est vraiment incompréhensible!
A mon humble avis, le gens ne disent que ce qu’ils ont envie de dire et ne veulent entendre que ce qu’ils veulent.
Au Mali d’un côté nous sommes tous au courant de la situation qui prévaut et il faut de la patience pour que tout soit comme nous le rêvons. D’un côté il y’ a des uns qui crient la liberté d’autres côté il y’a des autres qui veulent avoir des augmentations.
Je pense que nous devons être des maliens patient et comprendre le gouvernement, il ne faut pas que nous apportons de la pression au gouvernement, je pense que tout ceux-ci ne seront que des tristes souvenirs…
Vive la république.
Oui tout à fait je suis entièrement d’accord avec toi et je suis constante d’assisté à des maliens qui ont une bonne vue… 😉 😉 😉
Entend que maliens je pense que nous devons donner du temps au gouvernement en place de faire les choses en étapes, nous ne pouvons pas nous permettre de brulé des Etapes certes les conditions sont connues, mais il faut du sacrifice de tout malien.
IBK fait son mieux pour apporter aux maliens ce qu’ils désirent, nous devons être des maliens compris vue des énorme difficultés que le pays est en train de connaitre.
Si nous prenons les choses par leurs fonctionnalités normaux, je dirais que le président IBK est en face des maliens qui sont presser. Nous avons tous confiance en cet homme de premier rang c’est d’ailleurs pour cela que nous lui avons accordé la chance de nous diriger.
Mais jusque-là, il faut que les maliens savent prendre leurs mal en patience…
Il faut que ses syndicats aussi voient les responsabilités qui prévaut et prendre soin de leurs patience. Nous voulons des bonnes choses à la patrie, mais les choses ne peuvent jamais se passer du jour au lendemain…
A mon avis en cette lutte qu’est en train de connaitre le Mali, les maliens doivent être capable de mettre tous leurs désirs personnel de côté pour revoir une solution qui peut nous tirer des affaires…
Tous ces syndicats doivent comprendre que l’état n’est pas à mesure de satisfaire toute leur revendication. Un pays se développement de façon progressive et l’état n’a pas ces moyens là.
Le ministre de la fonction publique ne doit pas rester sourde à toute ses manifestations de colère de part et d’autres car même si toute les revendications des uns et des autres ne peuvent être satisfaits; il faut écouter les acteurs du monde professionnel en de définir un cadre pour répondre au fur et à mesure aux préoccupations des uns et des autres.
C’est vrai que beaucoup de personne ont qualifié le bilan de l’année dernière comme négatif. Quand même nous devons comprendre que nos gouvernants ont aussi mouillés le maillot d’une part. Quand même tout ce que je sais ce qu’on ne peut pas prétendre être le président de la République et en même tant être contre son propre pays.
Chacun ne crient que sa tête sans comprendre que le Mali est en des difficultés qu’il faut que les maliens se serrent les coudes…
Les maliens il faut que nous fassions beaucoup plus afin que la république soit bénis…
Il faut que ses syndicalistes prennent leurs mal en patience, il faut juste que nous pensons à ses maliens qui sont hotté de leurs libertés juste un instant pour avoir de la patience. Après la pluie c’est le beau temps… :223love: :223love: :223: :223: :223:
Chers compatriotes comprenons juste que chaque chose à son temps, on ne peut pas forcer le destin. Pour des précisions, je dirais juste que nos dirigeants ont fournis des efforts, mais le moment que nous attendons tous n’est pas encore venu.
Le Bateau Mali peut beau tanguer mais ne chavira jamais, le président IBK et son gouvernement sont à pied d’œuvre. Ayons juste le courage de se patienter et attendre la fin du quinquennat d’IBK enfin de le juger.
Malgré les nombreux obstacles qui s’opposent, il fait tout pour maintenir la vie des maliens. Ne soyons pas ingrat vis-à-vis de ses efforts fournis pour ressortir ce pays dans l’impasse. :silly: :silly: :silly: :silly: :silly:
Et pourtant, malgré les difficultés des meilleurs résultats ont été acquis sur le domaine de l’économie les deux dernières années. Donc, ne soyez pas étonné du plan présenté cette année car la même chose peut arriver.
Vive nos dirigeants
Vive un Mali émergent
Vive le Mali un et indivisible
Ce n’est pas à vous de soulever ce point, c’est à nous le peuple de me faire.
Vous avez la gueule, mais bizarrement vous avez fini par vous mentir vous-même pas au peuple malien. Si tout ce que vous dites est vrai, les institutions de l’Etat n’allaient pas connaitre une forte croissance en économie. :hangman: :hangman: :hangman:
C’est vrai ils ne pensent qu’à leur poche en ignorant les réalités du pays. Le pays ne se limitent pas seulement qu’aux magistrats. Ils fassent leur preuve au lieu de revendiquer des salaires exorbitants.
Je pense que s’ils n’ont pas envie de travailler notre pays, qu’ils dégagent le plancher car nous avons des gens qui sont prêts à servir le pays. Les magistrats ne sont pas les seuls fonctionnaires de ce pays.
Je ne sais pas pourquoi,ces personnes se laissent manipuler par ces opposants qui ne pensent qu’à leur intérêt personnel. Les réalités du Mali sont très différentes aux réalités sénégalaises. Il faut arrêter de créer des problèmes qui ne sont pas nécessaires pour le Mali actuel.
Pendant que le président tente de sortir le Mali de l’abîme dont vous l’avez plongé et voilà encore qu’ils viennent encore revendiquer des salaires qui dépassent tout bon citoyen malien. Qu’ils règlent les dossiers qui sont accumulés dans leur bureau. Rien que des incapables et incompétents.
Vraiment il faut que la CSTM et l’UNTM engagent des pourparlers avec le gouvernement.
Leurs revendications sont nobles mais même en étant pas dirigeant on peut facilement au vu de la situation du pays qu’il y a des choses qu’on ne peut pas satisfaire en même temps. Il faut qu’on comprenne nos autorités. Tout bon dirigeant aspire à voir ces administrés dans de bonnes conditions de vies et je ne crois pas que nos autorités soient en marge de cette règle.
Le président n’augmentera rien sur les salaires. Qu’ils aillent au diables. Le Mali a d’autres préoccupations importantes pour le moment. Magistrats c’est quoi? Vous faites rentrer combien comme recette à l’état pour revendiquer un tel salaire. Je pense que le syndicat rêve debout.
Les magistrats maliens sont les plus corrompus et nuls. Avec tout ça vous voulez 100 millions. Je pense que le budget national vous suffira. Vous n’arrivez mêmes pas apporter des solutions aux dossiers qui sont sur vos tables et vous voulez augmentation. Rien ici
Les mains obscures qui sont derrière tous ceci ne trouveront pas gain de cause à leur nombreuse tentative de déstabilisation de ce régime. Nous sommes au courant de leur mascarade nuit et jour. Ce pouvoir ira jusqu’à la fin de son mandat.
Le fonctionnement d’un pays ne se résume pas seulement à ces magistrats mais de l’ensemble de ces fils qui le servent. Nous sommes tous appelés à apporter à contribuer à son développement et non à sa destruction.
Nous sommes à un moment très sensibles alors que les magistrats rangent leur revendication dans les tiroirs pour l’instant car l’état ne peut pas faire face à ce problème.
Le droit de revendications est un droit reconnu à tout travailleur. Il est tout à fait normal que les différents corps de métiers puissent réclamer des meilleurs conditions de vies mais avec la situation du pays; il faut que nous y allions avec la manière. On ne peut pas tout faire en même temps il faut qu’on puisse aider nos dirigeants à travailler dans le sens de notre bien-être!
Je ne dirai pas que ce dont les fronts sociales réclament n’est plus ou moins pas important mais je pense qu’il faut mettre d’abord les intérêts général avant tout.
Rare sont les agents de l’état qui bénéficient de primes et autres allocations comme celles qui sont attribuées à nos magistrats. Mais c’est juste montrer qu’ils n’ont absolument rien à avoir à ce que le pays aille bien ou pas. On peut demander des revalorisations à l’état mais en prenant en compte le pouls de la vie sociale de façon générale. Mais il semble que le Sam s’en foute éperdument.
Comme le journal le “22 septembre” l’a titré dernièrement: ” les magistrats veulent faire tomber IBK”. Mais je dirai que ce n’est pas le président IBK que les magistrats veulent faire tomber; c’est le pays tout entier qu’ils veulent mettre à feu. Imaginez-vous un instant que le gouvernement satisfasse ce genre de revendications que feront les autres travailleurs de l’état? C’est pour nous embarquer dans un bourbier indescriptible. Pourtant notre pays n’a pas besoin de ça actuellement.
Les revendications sont toujours à l’ordre du jour dans toutes les organisations de la vie sociales; elles ne visent que le bien des acteurs de ces organismes. Loin de me lancer dans les considérations politiques et autres, je dirai qu’il faut faire nos revendications en prenant en compte les réalités du pays. Les revendications de nos magistrats sont vraiment à la limite outrageuse. Il faut que les uns et les uns et les autres fassent des revendications objectives.
Pour ce qui est des agents de la police; il faut que quelque chose soit fait surtout concernant les primes de logements afin que le racket auquel ces derniers s’adonnent puissent être freiné.
Les magistrats doivent se calmer, ils sont conscient de la crise dont traverse le pays. La Mali en se moment à d’autre priorité plus importante que celui des magistrats. Les magistrats doivent prendre leur mal en patience le gouvernement malien prendra compte de leur revendication.
Toutes ces revendications sont légitimes car on ne peut pas refuser à un travailleur de réclamer de meilleures conditions de travail mais il faut être raisonnable car celles qui nous sont présentées surtout par le SAM sont à la limité outrageuse.
Il faut que les différents syndicats prennent aussi la situation socio-politique du pays en compte afin d’éviter toutes actions que nous regretterons tous.
Tu as raison, je ne dirai pas que la revendication des magistrats est sans importance, mais les magistrats peuvent attendre. Le pays à d’autre priorité qui ne peuvent attendre.
certes les magistrats constituent une souche très importante dans la gestion d’un pays car c’est eux qui font l’image de la justice de ce pays. Mais il faut aussi reconnaitre que le Mali a aussi d’autre priorité plus importante que tout ceci. Le problème des magistrats peut attendre alors que les autres sont plus ou moins des urgences.
Vue la situation politico-économique dont traverse le pays, je pense que les magistrats doivent mettre un peut d’eau dans leur vin, la patience est un chemin d’or. Les magistrats auront quoi de droit le moment venu.
Mais déjà les magistrats sont bien payé dans ce pays, parce qu’il représente l’image de la justice malienne. Le gouvernement malien fait de son mieux et les magistrats du Mali devrait faire autant.
Certes, les magistrats doivent être traité avec différence et considération, mais vue la situation économique dont travers le pays, pour preuve de patriotisme les magistrats doivent accepter d’attendre.
Ces nombreuses revendications ont plus une connotation politique que sociale l’on pourrait dire.Parce que vu la crise que le Mali traverse actuellement je pense qu’il est égoïste et antipatriotique de formuler de telles revendications.
je pense que les fronts sociales doivent prendre leur mal en patience, vue la situation dont traverse le pays on ne peut faire ce genre de revendication. Le gouvernement est au courant de cela et les fronts sociale auront tous quoi de droit.
Vue la crise dot traverse notre pays je pense que ceci peut attendre. Cette doléance des magistrats est une doléance qui put attendre. La traverse une crise plus sévère et plus important que tout cela.
Les magistrats doivent tenir compte de la situation du pays et laisser leur revendication plus tard. Le gouvernement tiendra compte de leur propos. Les fronts sociales doivent prendre leur mal en patience la situation politique du pays doit interpeller tout le monde.
Le syndicalisme est un droit pour les citoyens.Mais lorsqu’il devient un instrument politique pour faire du sabotage il perd tout son sens et sa raison d’être.Je pense que c’est à cela que l’on assiste actuellement au Mali ici. C’est dommage.
Les revendications des magistrats sont insensés car elles sont carrément disproportionnées.Le gouvernement n’est pas en mesure de satisfaire cette folie que je trouve égoïste.
Je veux bien savoir quelle bonne décision de justice ces gens rendent pour demander des augmentations aussi exponentielles? Une justice qui laisse souvent à désirer par la qualité des décisions rendues. Ils peuvent bien rêver si les pots de vins qu’ils reçoivent en complément de leur salaire ne leur suffisent ils n’ont qu’a rendre le tablier.
le gouvernement respecte ses engagements vis à vis des syndicats qui je crois doivent faire preuve de patriotisme en donnant le temps nécessaire au gouvernement de traiter leurs revendications afin d’en trouver les solutions.
les militaires se tapent 30.000 à 40.000F CFA comme primes de logement parce que ce sont eux qui donnent leur vie pour protéger la nation.Ces policiers qui nous fatiguent ici en ville en nous raquettant sont très bien avec leur prime actuelle.
Je pense que les revendications doivent se faire conformément à nos textes car elles causent au passage d’énormes préjudices aux citoyens et surtout au trésor public.
le président IBK n’ a aucun problème avec les syndicalistes dont les revendications sont prises avec beaucoup d’intérêt et sont traitées depuis l’accession d’IBK au pouvoir.
Déjà pris avec le dossier du nord, le président de la République et son gouvernement devront satisfaire les demandes sociales des uns et des autres.On ne donne que ce qu’on peut.Le gouvernement fait tout pour satisfaire les maliens.
l’Etat dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des travailleurs a pris un certain nombre de mesures.Je crois qu’Il faut donc que les uns et les autres soient patients le temps que ces mesures fassent effet.
Cher journaliste je vous demande de ne pas comparer le combat et l’intention des magistrats à ceux du bloc d’intervention patriotique pour la réunification entière du Mali. Le Syndicat Autonome de la Magistrature (SAM) est dans son droit de faire de telles doléances. Mais je crois aussi que le moment n’est pas propice pour qui que ce soit dans cette nation de revendiquer quoi que ce soit. On doit se tourner vers la seule résolution de la crise de 2012.
Tout étant perfectible l’on ne peut donc pas réussir à satisfaire tout le monde à la fois.Sinon le président IBK et son gouvernement ont fait beaucoup et continuent de faire des efforts pour améliorer le quotidien des maliens.Il faut un peu de patience .
Les magistrats maliens sont mieux pays que tout autre corps d’agents publics. Je crois que cela doit être une raison pour pousser le syndicat autonome de la magistrature à abandonner cette lutte. Surtout que le pays traverse une crise multidimensionnelle sans précédent qui ne profite à rien de bon. Le développement de notre pays n’est possible qu’après le retour de la paix. La guerre coûte cher à un pays surtout pauvre jusqu’au dernier degré comme le Mali.
Comparaison n’est pas raison. Les magistrats maliens ne sont pas dans les mêmes conditions que ceux du Sénégal. Les deux pays ne sont pas au même niveau de développement et de richesse. Le Mali est plus pauvre que le Sénégal. La vie est plus chère au Sénégal qu’au Mali. Le loyer coûte moins cher au Mali qu’au Sénégal. Ce qui explique la grande différence entre les conditions des magistrats des deux pays.
Je suis d’avis avec le journaliste, ces revendications à hauteur des recettes de notre pays de la part des magistrats s’inscrivent dans une logique de déstabilisation du régime d’Ibrahim Boubacar Keïta. Le Mali n’a pas de ressources pouvant mettre nos magistrats dans les conditions que ceux-ci réclament.
Si le budget de notre pays était en mesure d’offrir de telles conditions aux magistrats cela allait être une chose déjà faite. Conscient de ce que ces magistrats peuvent faire pour cette nation et pour la justice qui est le plus grand pouvoir d’un Etat de droit, je crois que nos finances ne sont pas en mesures de prendre de telles charges.
Le SAM est en train de faire des revendications démesurées. Les doléances qu’il demande sont trop pour notre budget. Les magistrats doivent connaître que le Mali n’est pas un pays capable financièrement à offrir de telles sommes d’argents au nom des primes. Le Sénégal est deux fois plus riche que le Mali. Cela à cause de la crise qui secoue cette nation depuis 2012.
Souvent il faut tenir compte de certaines choses pour pouvoir revendiquer certaines choses dans un pays qui est dans une situation de budget déficitaire. Notre pays est pauvre, s’il nous faut accorder tout cela aux magistrats, les autres fonctionnaires ou agents publics auront quoi ? J’invite le syndicat autonome de la magistrature à la modération et à la patience. Une telle lutte n’est pas digne du corps qu’il représente. Un magistrat ne doit pas être un malfrat.
Ce n’est pas du jour au lendemain que les conditions d’un corps de fonctionnaires de l’Etat ou autre peuvent passer d’un niveau bas à un niveau supérieur. Il faut franchir des étapes. Les doléances sont fondées mais elles ne sont pas recevables en cette période de crise dans laquelle se trouve le Mali.
Je n’en veux pas au syndicat autonome de la magistrature pour ces revendications. Je pense que ces gens sont en train de pousser le pays vers sa fin. L’état dans lequel notre pays se trouve avec un budget, au début, déficitaire et actuellement égalitaire, je crois que les revendications des magistrats sont irrecevables. Ils sont invités à la patience. De la manière dont IBK s’est battu aux côtés d’AOK, pour faire de ces gens ce qu’ils sont aujourd’hui, il travaillera pour faire d’eux ce qu’ils être.
C’est grâce à l’implication d’Ibrahim Boubacar Keïta, lors premier ministre sous Alpha Oumar Konaré, que ce dernier a pu faire une augmentation très considérable des salaires et primes des magistrats. IBK n’est pas du genre à ne vouloir rien faire pour changer la vie des magistrats qui doivent être des incorruptibles pour le bon fonctionnement de la justice et pour offrir une vraie justice aux citoyens maliens.
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