Les discussions achoppent. Gouvernement et syndicats sont d’accord sur leur désaccord. Le premier affiche une tête de misérable. Ses caisses seraient désespérément vides. D’où ses tentatives jusque-là infructueuses d’inviter la seconde centrale syndicale, la CSTM, et le SNEC à plus de retenue. Les syndicats dénoncent la mauvaise gouvernance : cascade des faits de corruption et des dépenses faramineuses de l’Etat. Le tout dans un contexte de malaise social né de la hausse vertigineuse des prix des denrées et les désagréments occasionnés par les coupures intempestives d’électricité.
Pas le moindre bol d’air fourni par le gouvernement en vue d’améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs. Du coup, les risques d’une radicalisation sont bien réels. On voit mal les syndicats se contenter de fausses promesses pendant que le gouvernement fait preuve de promptitude inégalée dans le financement de foras sensés ramener la paix au Nord du pays.
La rédaction
Les chefs de ces différents syndicats doivent comprendre que c’est vraiment pas le moment de se lancer dans des menace de marches ou de soulèvement populaire.
Avec leurs comportements du moment,on pourrait facilement dire que ce sont des revendications purement politiques et non syndicales et cela est vraiment dommages pour nos organisations syndicales…
Le président IBK fait tout pour donner satisfaction à toutes les revendications des différents syndicats.
Mais il me semble que se sont ces syndicalistes qui sont de mauvaise foie.
Mais le peuple ne se laissera jamais manipuler par qui ce soit pour faire un soulèvement contre le président IBK.
Il faut surtout comprendre que ces différents syndicats sont manipulés pas des hommes politiques qui sont bien conscients des difficultés que connait en ce moment notre pays.
C’est vraiment dommages pour ces organisation syndicales de s’écarter du but réel de leurs combats.
Quand on a un pays qui est l’un des plus défavorisés sur tous les plans surtout économique avec des sources de revenus très limitées; on doit pouvoir en tenir compte dans nos actions. Un élu ne peut jamais être de mauvaise foi face à ses administrés. Un élu vise toujours le meilleur pour ces derniers mais dans la plupart des cas ce sont les moyens qui font défaut. Ce pays ne tombera pas par la faute de ceux qui savent les difficultés du pays mais qui feignent de ne pas les voir.
Les revendications sont toujours à l’ordre du jour dans toutes les organisations de la vie sociales; elles ne visent que le bien des acteurs de ces organismes. Loin de me lancer dans les considérations politiques et autres, je dirai qu’il faut faire nos revendications en prenant en compte les réalités du pays. Il faut que les responsables de la CSTM ouvrent un pays les yeux car le gouvernement ne saurait être de mauvaise foi en disant que c’est parce qu’il a des problèmes financiers; on peut le constater aisément du fait des nombreux projets qui sont restés sans suite faute de financement.
Vraiment il faut que la CSTM et l’UNTM engagent des pourparlers avec le gouvernement.
Leurs revendications sont nobles mais même en étant pas dirigeant on peut facilement au vu de la situation du pays qu’il y a des choses qu’on ne peut pas satisfaire en même temps. Il faut qu’on comprenne nos autorités. Tout bon dirigeant aspire à voir ces administrés dans de bonnes conditions de vies et je ne crois pas que nos autorités soient en marge de cette règle.
Les revendications dans toutes institutions de la vie sociales sont aussi normales que nécessaires pour arriver à des innovations. Mais dans le cadre de notre pays; nous devons prendre en compte la situation politique, économique et surtout sécuritaire du pays qui est assez difficile. On ne peut pas retirer à qui que ce soit le droit de manifester mais il faut que ce soit des manifestations d’une part” responsables” et “réfléchies”.
Le ministre de la fonction publique ne doit pas rester sourde à toute ses manifestations de colère de part et d’autres car même si toute les revendications des uns et des autres ne peuvent être satisfaits; il faut écouter les acteurs du monde professionnel en de définir un cadre pour répondre au fur et à mesure aux préoccupations des uns et des autres.
Cette situation devient de plus en plus inquiétante pourtant il faut apaiser le front social. Des grèves illimitées sont toujours un handicap pour nos sociétés. On ne peut résoudre cette situation rien que par la discussion. Certaines revendications sont tout à fait nobles mais des personnes comme nos magistrats qui sont parmi pour ne pas dire les mieux payés de notre pays qui veulent encore semer le désordre; c’est vraiment incompréhensible!
Chers frères et sœurs c’est vraiment normal pour toute institution de la vie ; on a toujours besoin d’innovation, d’amélioration mais nous ne devons avoir pitié de notre pays. Faisons nos revendications mais ne mettons pas à mal la paix et la cohésion sociale car les vrais ennemis du pays sont tapis dans l’ombre et n’attendent qu’un petit désordre pour nous faire mal. Vigilance donc!
Le droit de revendications est un droit reconnu à tout travailleur. Il est tout à fait normal que les différents corps de métiers puissent réclamer des meilleurs conditions de vies mais avec la situation du pays; il faut que nous y allions avec la manière. On ne peut pas tout faire en même temps il faut qu’on puisse aider nos dirigeants à travailler dans le sens de notre bien-être!
Les Maliens devraient se donner la main pour bâtir ensemble le Mali.
Comme dit un célèbre adage que l’union fait la force.
Compte tenu de la devise du Mali, un peuple, un but ; une foi, les Maliens sont tous les mêmes alors donnons-nous la main pour renforcer cette devise et faire renaître le pays qui a trop souffert.
Vive le développement, Vive le peuple malien; Vive le président IBK
De révoltes en révoltes, d’insurrections en insurrections; nous allons toujours vers la régression. Discutons avec nos autorités afin de trouver les solutions à nos différents problèmes. Les bras de fer de part et d’autres ne nous emmènerons nulle part. Prenons conscience que notre pays ne va pas bien c’est pourquoi nous devons aller par avec la manière.
La démocratie permet la marche du front en ébullition, mais cette même démocratie prime d’une manière ou d’une autre sur le respect des institutions de la république et aussi sur la stabilité d’une manière général du pays.
J’appelle le CSTM et même l’UNTM a fait preuve de bonne foi, la situation politique du pays est très instable pour que les fronts sociaux se mettent à menacer le régime au pouvoir. La stabilité et les respectes des institutions du pays compte beaucoup dans la démocratie.
Vue les circonstances dont traverse le pays actuellement, CSTM doit d’avantage prendre son mal en patience et toujours négocier avec le gouvernement pour une sortie de crise favorable à tous. Le comportement de patriote est une foi qui manque le plus à Hamadoun A Guindo et ses militants.
Je pense que front social devrait abandonner cette marche, car c’est une marche déraisonnable en ce moment dont traverse le Mali. La Gouvernance du pays est de plus en plus salutaire seulement que le pays vient d’une crise très profonde.
Je pense que CSTM n’appelle pas à la concertation nationale mais plutôt à une certaine haine et violence plus ou moins déraisonnable. Cette marche a été une sordidité qui n’est objectif pour notre pays mais plutôt une sordidité déraisonnable doit rester plutôt une honte pour les participants.
Il y a des personnes qui n’avance point et ne veulent pas voir pays avancer, Hamadoun Amion Guindo fait partie de ces personnes de mauvaise foi. Un leader de société civile qui pousse la population de son pays a violé l’état d’urgence et porté atteinte à l’institution de la république est leader apatride.
J’invite la Confédération Syndicale des Travailleurs du Mali (CSTM) à la retenue, pour la cause de ce pays. Vue les circonstances dont traverse le pays actuellement, CSTM doit d’avantage prendre son mal en patience et toujours négocier avec le gouvernement pour une sortie de crise favorable à tous.
Je suis toujours ahurie de voir des personnes brandir leur drapeau de droits et jamais celui de leurs devoirs envers le pays.Un citoyen a des droits mais aussi des devoirs.Les deux aspects doivent aller de pair.ils sont tous dans des revendications insensées.Que font ils pour que le gouvernement puisse faire face à tous ces problèmes.C'est leur égocentrisme qui est la plait à soigner dans ce pays.
Je pense que c’est en ce moment que nous devrions nous donner la main pour ensemble sortie le Mali de cette crise. La crise dont traverse le Mali doit interpeller tous acteurs politiques. Les marches ne sont point une solution mais plutôt une déstabilisation politique du pays.
La CSTM doit prendre en compte l’intervention du PM, le PM intervient parce qu’il sait ce qui est de mieux pour son pays. Les marche ne sont point la solution, le gouvernement fait tout pour maintenir la stabilité politique dans ce pays.
Hamadoun Amion Guindo et ses compatriotes s’en fiche de la stabilité politique de ce pays, du respect des institutions de la république et aussi de l’état de santé du président de la République. Mamadou Amion Guindo est en train de faire un combat d’intérêt personnel, afin de profité de la situation.
Il y a des personnes qui n’avance point et ne veulent pas voir pays avancer, Hamadoun Amion Guindo fait partie de ces personnes de mauvaise foi. Même les ennemies jurées du régime au pouvoir ont reporté leur marche à cause de l’état de santé du président de la république.
Cela est invraisemblable que des enfants du pays aient de telles attitudes.Cela est de l’égoïsme qui n’a pas de nom.Si toutes leur revendications leur sont accordées ,qu’est ce que les autres auront dans nos maigres ressources?
il faut botter ces soient disant syndicalistes , ils veulent créer d’autres situations pour nous faire reculer et qui n’arrangent personne, éviter un coup d’état institutionnel , ils sont habitués qu’à prendre la rue on dirai AEEM dans le passé , c’est trop BAD comme stratégie,
On acceptera pas que l’avenir de nos enfants soit prise en otage pas ces fainéants ui ne songent qu’à leur bouche et leur toilette.
Merci
Ces syndicats doivent laisser leurs revendications exorbitantes pour après.Parce que nous avons des choses plus urgentes à traiter que de perdre le temps à satisfaire leur égocentrisme.
Certains syndiqués sont des politiques tapis dans l’ombre.Ils font des revendications maximalistes afin de déstabiliser le pouvoir.Ce sont que des égoïste qui ne jurent que par leur ventre.
Les syndicats savent très bien que le cadre économique de notre pays ne se fie pas à de telles folies.Je pense donc qu’ils ont d’autres problèmes qu’il faut chercher à savoir.
Il faut déstabiliser IBK pour l’empêcher de prendre la bonne route, celle de la paix, de la sécurité et du développement du pays.C’est la mission que ces syndicats politiciens se sont assignées avec toutes ces revendications disproportionnées.
Ces syndicats ne doivent pas être écoutés.Parce que je pense qu’ils ne mesurent pas la situation économique du pays.Sinon ils sauraient que l’Etat malien ne peut pas faire face à leurs revendications que je trouve disproportionnées.
Ces revendications des syndicats sont hors normes et le Mali actuellement ne saurait les honorer.Qu’ils attendent donc quand l’économie du pays le permettra peut être qu’on songera à prendre en compte leurs revendications.
Le CSTM-UNTM aurait pu justifier ses doléances par la bonne santé de nos finances publiques.Mais ce n’est pas le cas.Ils ne pensent qu’à leur ventre.C’est égoïste de leur part.
Au Mali nombreux sont les cadres qui ne se soucient que du volume de leur poche. Tout le monde se dit patriote à travers les paroles. Mais dans les actes, on est loin du compte.Les syndicats se ne soucient guère de l’état actuel du pays font des revendications insensées que le gouvernement ne peut pas honorer pour le moment.
Le secrétaire général Guindo est un imposteur qui a soutenu les putschistes dans leur dérive. Ils ont pompé les caisses de notre pays. Donc que Guindo nous dise si son parrain ne pouvait pas améliorer les conditions de vie de tes syndiqués.
Le peuple a compris le jeu trouble de l’escroc Guindo. Le fait de bouder ce sit-ing est la preuve que le peuple soutient son président. On a pas le temps d’écouter des opportunistes qui se prennent pour des victimes.
La corruption ne date pas d’aujourd’hui dans notre société. Je pense qu’au lieu d’accuser le pouvoir alors , il faut plutôt se mettre ensemble pour lutte contre ce fléau.
C’est une centrale qui est remplie d’opportunistes et de marionnettes.
Les centrales syndicales doivent savoir qu’on ne peut satisfaire toutes les doléances surtout que certaines ont été adoptées. Je pense qu’on doit faire preuve d’indulgence.
Voilà des gens qui ont crée la situation que nous vivons et ils veulent marcher pour se plaindre de même situation. Le président est docile mais le peuple tient à lui et il se défendra corps et âme pour la sauvegarde du pouvoir démocratique.
Guindo ne dirait qu’il ignore réellement la situation de notre pays.
Pour l’heure, aucune manifestation n’était permise alors que la CSTM s’est entêtée à se manifester.
Je pense qu’une centrale se doit se respecter les lois de son pays.
Le gouvernement analysera les revendications avant d’y apporter les solutions. Ce n’est pas avec la pression ou les arrêts de travail que la situation sera résolue. Il faut un nouveau citoyen pour notre pays. Le pays fait face à d’énormes problèmes donc il est important de faire preuve de patriotisme
la CSTM a changé de statut passant du syndicaliste à la politique pour faire du chantage au gouvernement. la lutte syndicale est un droit du citoyen mais avec l’objectif politique nous sortons carrément du cadre de la lutte. monsieur Guindo est une marionnette de l’opposition mais qu’il pense un peu à tout ce qui est fait.
Guindo est un opportuniste véreux , il pense qu’il obtiendra gain de cause avec cette manifestation. Quand on aime son pays, il faut respecter ces lois et travailler pour son développement. Guindo sait revendiquer alors qu’il ne fait rien pour que ce pays soit émergent.
Si le président a pris l’engagement de satisfaire ces revendications alors il le fera. La CSTM doit aussi savoir que le Mali n’est pas à eux seul. Il faut tenir compte de la difficile situation du pays pour se manifester.
Je vois une main obscure dans cette histoire. Mais le peuple se dressera contre la CSTM.
J’invite les syndicats de mon pays à la patience et savoir garder l’espoir. Toute chose conquise dans la précipitation ne dure pas. Le gouvernement veut bien faire quelque chose pour ces syndicats mais les caisses de l’Etat sont presque vides. C’est la raison pour laquelle il ne parle pas la même langue que ces syndicats.
Le gouvernement et les syndicats parlent la même langue seulement que les syndicats ne veulent pas renoncer à certaines revendications qui ne peuvent pas être satisfaites pour le moment. La mise en œuvre d’un accord demande du fonds.
Ces centrales syndicales n’ont rien à dire décidément . Depuis quand elles accordent de l’importance au processus de paix. Sinon elles n’allaient pas vouloir marcher pour mettre à mal la cohésion sociale.
Le président de la république et son gouvernement veulent bien donner à ces syndicats toutes leurs revendications mais les moyens manquent pour le faire. L’intention du gouvernement est de s’entendre avec tous ces syndicats, sans aucune exception.
Nos centrales syndicales sont des citoyens non coupés des réalités du pays. Le Mali est un pays en crise qui ne peut pas fonctionner comme un pays qui ne l’est pas. Les autorités. Les autorités veulent bien prendre leur revendication en compte mais les caisses ne sont pas en mesure de le faire.
Le gouvernement et les syndicats se sont entretenus dans la semaine sur leurs réclamations respectives. Des feuilles de routes n’ont pas pu être trouvées avec chaque syndicat. Mais je demande aux syndicats, au nom de la paix, de renoncer à certaines revendications pour qu’il puise avoir une solution au problème qui ne profite à personne.
Les différents syndicats qui sont en grève oublient que le Mali est un pays pauvre et que le souhait des autorités n’est ce qu’ils pensent. Les charges sont trop pour des réclamations grotesques. Le gouvernement reste toujours ouvert aux négociations.
Pour qu’il y ait un arrangement entre le gouvernement malien et les syndicats, il faut que les deux acceptent de renoncer à certains points. Sans cela il ne peut pas y avoir de compromis et les deux parties ne pourront pas parler la même langue, à ce que je sache.
Avec son age il a déjà perdu la raison !!!
La Confédération Syndicale des Travailleurs du Mali (CSTM) ne doit pas organiser une grève en cet etat actuel du pays.Le président de la république et l’ensemble des membres du gouvernement font tous les possibles pour assurer la sécurité du peuple maliens.
Le gouvernement et les syndicats ne peuvent pas parler la même langue si les syndicats ne renoncent pas à certaines de leurs réclamations dépassées. Les caisses de l’Etat ne sont pas en mesures de satisfaire tous les besoins qui s’imposent à l’Etat.
Certes il est vrai que nous sommes syndicaliste mais pensons un peu à ceux qui sont derrière nous. Il ne faut pas être prisonnier de l’opposition en voyant tout en mal. Les mains dans les mains nous vaincrons l’ennemie. Soutenons les actions du président pour le bien être de la nation.
Le front social est en ébullition dans notre pays. Les syndicats veulent tous que le gouvernement réalise leur revendication mais ils ne veulent rien comprendre, ni l’état des caisses en cette période de crise, ni le processus de paix qui coûte cher.
Les syndicats ne veulent pas comprendre le gouvernement qui évoque la résolution de la crise et l’état des caisses. La langue du gouvernement est l’arrangement tandis que la langue des syndicats est la satisfaction immédiate de leur besoin. Donc ils ne peuvent pas se comprendre dans l’immédiat.
Les syndicats doivent comprendre que les caisses de l’<Etat sont vides et que le gouvernement est tourné vers la résolution de la crise qui secoue le pays depuis 2012. C’est seulement le retour de la paix qui mettra un terme à certaines choses. Les différentes revendications des différents syndicats sont en train d’être analysées par le gouvernement pour une solution au problème.
Même si la marche a été saboté c est pas le moment de programmer une autre grève.je pense que la Confédération Syndicale des Travailleurs du Mali (CSTM) devraient attendre que les choses se calment un peu.
des personnes sont passées à la tête de ce pays et continuerons de passer, aujourd’hui c’est le tour d’IBK et nous devons le soutenir. monsieur Guindo oublie qu’il a pris une raclée par le peuple qui est prêt à soutenir son président donc qu’il fasse doucement.
Tous les maliens ont besoin de tranquillité en ce moment dans le pays donc tout ce qui peux amener un désordre nous n’en voulons pas c est pourquoi la population la saboter une marche mais CSMT veut aller plus loin.
la violence n’est pas une solution lorsque nous sommes fils et filles du pays et un patriote on cherche pas à détruire son pays que les syndicats,sachent que le pouvoir est prêt au dialogue car vue le processus de paix nous ne pouvons pas dire que ce régime joue à la soude oreille.
Une première marche boudée quoi de plus normal, c est pas le moment pour ces genre de manifestations en cette période d’instabilité dans le pays.Le mieux était d attendre que les choses se calment un peu.
Il est plus facile de faire la guerre que de faire la paix et la recherche de la paix demande des sacrifices que nous sommes obligés de les faire car nous voulons cette paix donc les syndicats doivent accepter que le gouvernement fasse de cela la priorité pour que le pays aille de l’avant.
Réclamer ses droits dans un pays n’est pas interdit mais selon les circonstances de l etat malien actuel du pays; le gouvernement ne peut pas tout régler un coup, il faut que les gens comprenne cela mais la CSTM ne veut pas comprendre.
Vous aviez organisé une marche qui a été boudé par le peuple malien à cause de l actuel situation précaire du pays et maintenant vous ôtez pour une grève 2 et 3 Mai c est pas très bien réfléchi de la part de CSTM.
Nous sommes tous conscient de tout ce qui se passe dans notre pays. Mais la paix et la réconciliation nationale sont ce dont nous convoitons le plus.
la paix précède le développement car sans la paix on ne parlera pas de travail donc le fait de financer les actions pour le retour de définitif de la paix est une bonne chose qui doit être salutaire et non s’opposer.
Personne n’aura un avenir dans un pays qui en pas donc faisons tout notre possible pour le retour de la paix et la stabilité sur toute l’étendue du territoire nationale.Les doléances de la CSTM peuvent attendre le moment opportun.
CSTM a tout a fait le droit de faire ces revendications a l’état pour l’amélioration de certaines conditions mais le probleme est que c est une question de moment.Le pays est actuellement instable nous voulons tous franchir une étape importance avec l’accord d’Alger 2015.
CSTM doit encore patienter un peu c est pas le moment de faire des revendications au chef de l’état nous sommes dans une phase très important pour la réconciliation et la paix.
Le syndicalisme est un droit pour les citoyens.Mais lorsqu’il devient un instrument politique pour faire du sabotage il perd tout son sens et sa raison d’être.Je pense que c’est à cela que l’on assiste actuellement au Mali ici. C’est dommage.
vu les difficultés que traverse le pays et les chantiers en cour pour le retour de la paix, les syndicats doivent mettre balle à terre car notre gouvernement est au travail et nous ne pouvons pas satisfaire toutes les préoccupations à la fois. que chacun de nous soit partisan que le gouvernement entend tout et est bien prêt pour réparer certaines choses.
Il faut que les uns et les autres;sachent une chose le fait de mettre l’Etat à terre, il ne fait pas à IBK non moins au gouvernement, mais plutôt au malien de Kayes à kidal.
Gréver, oui c’est un droit, mais le négociation peut résoudre tout, et le Mali a toujours été un des pays qui négocie avec ses syndicats.
Encore, j’appelle les maliens à la retenu, à faire de diligence, de s’asseoir, de se comprendre et de chercher à se comprendre. Et une chose est claire les travailleurs n’ont rien gagner de ses grève inutile.
avec le régime celui qui parlera de mauvaise gouvernance est un ennemie du pays car avec le régime nous assistons à la croissance de l’économie malienne, au retour à la stabilité et nous avançons sur le chemin du progrès.
Nous les travailleurs aller en grève ne nous arrange pas, nous lançons un grand appelle au gouvernement et au syndicat, particulièrement le secrétaire Guindo, de s’entendre. Le gouvernement prend et le syndicat laisse tombé quel que doléance.
Je ne dirai pas que ce dont les fronts sociaux réclament n’est plus ou moins pas important mais je pense qu’il faut mettre d’abord les intérêts généraux avant tout.
La crise dont traverse notre pays je pense que ceci peut attendre. Cette doléance des magistrats est une doléance qui put attendre. La traverse une crise plus sévère et plus importante que tout cela. La CSTM doit faire preuve de retenu .
Je ne dirai pas que ce dont les fronts sociaux réclament n’est plus ou moins pas important mais je pense qu’il faut mettre d’abord les intérêts généraux avant tout. Le pays est en plein crise multidimensionnelle et les choses ne peuvent accélérer comme on le veut, il faut prend nos mal en patience.
si le gouvernement parle arabe et que les syndicats le chinois cela est bien. pour s’entendre il va falloir apprendre l’arabe afin de communiquer ou tous peuvent s’exprimer en français ou anglais. les syndicats doivent savoir que le dialogue est une arme très forte.
Je pense que les fronts sociales doivent prendre leur mal en patience, vue la situation dont traverse le pays on ne peut faire ce genre de revendication. Le gouvernement est au courant de cela et les fronts sociaux auront tous quoi de droit.
Cette marche a été une sordidité qui n’est objectif pour notre pays mais plutôt une sordidité déraisonnable doit rester plutôt une honte pour les participants. Il faut que Mr Guindo sache une chose, tous les doléances ne se satisfait pas en même temps.
ce monsieur à visage frelaté est négatif , il a toujours échoué c’est un casse pied pour ne pas dire opportuniste , il fatigue le pouvoir en place et il ne trouve rien que la honte , sa stratégie est saboter par ses propres militants parce qu’il est négatif
ADO un exemple pour l'Afrique, IBK il faut être comme ADO, UNTM nous sommes impatient
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