PARIS – Le chef de l’Etat béninois et président en exercice de l’Union africaine, Thomas Boni Yayi, a plaidé mercredi pour une saisine du Conseil de sécurité de l’ONU en vue de la création d’une force africaine d’intervention au Mali, lors d’une conférence de presse à Paris.
Nous proposons que l’UA renforce sa position pour que le Conseil de paix et sécurité (de l’UA) puisse saisir le Conseil de sécurité de l’ONU, a-t-il dit, évoquant une force qui pourrait être africaine sous l’égide de l’ONU.
Nous pouvons prendre exemple de la Somalie, où une force africaine opère avec le soutien des Nations Unies. Nous pouvons aller dans cette direction, a-t-il dit, sans plus de précision quant à la composition et au mandat de cette force.
Cette solution (militaire) doit venir après le dialogue, mais le dialogue ne doit pas trop durer, a-t-il ajouté.
Nous ne voulons pas d’un Afghanistan ouest-africain. La question de la stabilité n’est pas négociable pour nous, a-t-il martelé.
Le Mali est coupé en deux depuis deux mois, à la suite d’un coup d’Etat militaire qui a renversé le régime du président Amadou Toumani Touré le 22 mars. Toute la partie nord du pays est sous le contrôle de rebelles touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et de groupes islamistes.
Les islamistes d’Ansar Dine, allié à Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), et le MNLA ont annoncé ce week-end la fusion de leurs mouvements avant de revenir sur cette annonce, évoquant des désaccords de fond sur l’application de la loi islamique.
On ne peut pas décider de dire qu’on va transformer le Mali, pays démocratique et laïc par sa tradition, en une république islamique. Avec les dernières informations que nous recevons, j’ai mal à faire la distinction entre MNLA, Ansar Dine et Aqmi, a relevé le président béninois.
Le péril terroriste relève de la communauté internationale. J’ai eu l’occasion d’attirer l’attention de mon ami François Hollande sur cette question, dans une région où il y a six otages Français, a-t-il dit, au lendemain d’un entretien avec le nouveau président français à l’Elysée.
(©AFP / 30 mai 2012 15h46)
Les politiciens africains parce qu’ils régentent des peuples de paysans et de petits bourgeois culturellement aliénés par le néocolonialisme sidèrent toujours par leur manque de vision stratégique et leur inconsistance idéologique.
On ne crée pas comme ça une force armée de l’UA sur un claquement de doigt ; et pour quels objectifs, quand on sait que nombres de crises armées que traverse le continent sont liées aux pratiques criminelles mêmes en interne de ces politiciens néocoloniaux qui peuplent les sommets des Etats africains.
L’UE qui a une longueur d’avance n’a pas encore son armée européenne. Elle s’abrite sous la défense américaine via l’Otan que les Européens critiques et conscients n’acceptent pas.
Comment peut-on envisager une armée africaine dans un contexte néocolonial prédateur régis par des satrapes locaux qui font plus confiance aux barbouzes occidentaux installés et encasernés autour de leur palais?
Une armée africaine de l’UA avec la permission de l’ONU, c’est à dire avec l’aval des puissances qui caporalisent cette institution devenue criminelle contre la paix, n’a rien de sérieux comme projet.
Une armée de l’UA suppose l’unité réalisée du continent avec un objectif commun, une couleur, une monnaie unique, et des institutions intégrées et unifiées. Elle suppose également la rupture définitive avec le néocolonialisme, la bancocratie mondiale, la fermeture de toutes les bases étrangères sur le continent, une politique de l’armement indépendante et une vision stratégique quand à la défense de la souveraineté de l’Afrique.
On se demande d’ailleurs pourquoi pendant les crises de morcellement de l’Ethiopie, de la Somalie, du Soudan ou pendant les crises congolaises, libérienne, ivoirienne ou l’attaque criminelle de la Libye par l’Otan, cette idée d’une défense indépendante africaine ou sous-régionale n’a pas été avancée.
C’était par là qu’il fallait commencer; mais qu’a- t- on vu? Les néocoloniaux de l’UA et de la CEDEAO ont minaudé et tourné en rond la queue entre les jambes.
Il faut être un nègre et menacer les siens par son propre fantôme pour croire à la pertinence d’une défense souveraine africaine financée et équipée jusqu’ici par l’impérialisme occidental. C’est se foutre le doigt dans l’œil et le cul à la fois.
Aussi dans le cas concret qui nous concerne ici, il est plus correct et conséquent de dire la vérité aux Maliens. C’est à eux seuls et au peuple du Mali débarrassé de sa classe politique néocoloniale pourrie et islamo-intégriste de compter sur ses propres forces ; avec l’aide de pays amis.
Tout le reste n’est qu’illusion et tromperie contre l’unité et la souveraineté qu’entretiennent les fantoches et les petits bancocrates de la CEDEAO.
Les politiciens africains parce qu’ils régentent des peuples de paysans et de petits bourgeois culturellement aliénés par le néocolonialisme sidèrent toujours par leur manque de vision stratégique et leur inconsistance idéologique.
On ne crée pas comme ça une force armée de l’UA sur un claquement de doigt ; et pour quels objectifs, quand on sait que nombres de crises armées que traverse le continent sont liées aux pratiques criminelles mêmes en interne de ces politiciens néocoloniaux qui peuplent les sommets des Etats africains.
L’UE qui a une longueur d’avance n’a pas encore son armée européenne. Elle s’abrite sous la défense américaine via l’Otan que les Européens critiques et conscients n’acceptent pas.
Comment peut-on envisager une armée africaine dans un contexte néocolonial prédateur régis par des satrapes locaux qui font plus confiance aux barbouzes occidentaux installés et encasernés autour de leur palais?
Une armée africaine de l’UA avec la permission de l’ONU, c’est à dire avec l’aval des puissances qui caporalisent cette institution devenue criminelle contre la paix, n’a rien de sérieux comme projet.
Une armée de l’UA suppose l’unité réalisée du continent avec un objectif commun, une couleur, une monnaie unique, et des institutions intégrées et unifiées. Elle suppose également la rupture définitive avec le néocolonialisme, la bancocratie mondiale, la fermeture de toutes les bases étrangères sur le continent, une politique de l’armement indépendante et une vision stratégique quand à la défense de la souveraineté de l’Afrique.
On se demande d’ailleurs pourquoi pendant les crises de morcellement de l’Ethiopie, de la Somalie, du Soudan ou pendant les crises congolaises, libérienne, ivoirienne ou l’attaque criminelle de la Libye par l’Otan, cette idée d’une défense indépendante africaine ou sous-régionale n’a pas été avancée.
C’était par là qu’il fallait commencer; mais qu’a- t- on vu? Les néocoloniaux de l’UA et de la CEDEAO ont minaudé et tourné en rond la queue entre les jambes.
Il faut être un nègre et menacer les siens par son propre fantôme pour croire à la pertinence d’une défense souveraine africaine financée et équipée jusqu’ici par l’impérialisme occidental. C’est se foutre le doigt dans l’œil et le cul à la fois.
Aussi le cas concret qui nous concerne ici, il est plus correct et conséquent de dire la vérité aux Maliens. C’est à eux seuls et au peuple du Mali débarrassé de sa classe politique néocoloniale pourrie et islamo-intégriste de compter sur ses propres forces ; avec l’aide de pays amis.
Tout le reste n’est qu’illusion et tromperie contre l’unité et la souveraineté qu’entretiennent les fantoches et les petits bancocrates de la CEDEAO.
J’ai ecoute’ l’interview sur TV5. C’est evident que l’UA et la CEDEAO n’ont pas les moyens de leurs politiques respectives. C’est a’ contre coeur que je dis que ce sont ces deux organisations qui maintiennent la crise a’ propos de qui doit diriger le Mali! Sans leurs nombreux faux pas, cette crise aurait disparu. Sans ces deux organisations, les choses se seraient arrange’es depuis longtemps!!!
Je suis foncierement democrate mais je commence a’ avoir la nostalgie de la non ingerence dans les affaires interieures d’un autre etat qui etait l’une des principales doctrines de l’OUA! Don’t get me wrong cette doctrine a plusieurs points faibles MAIS LA CRISE AU MALI ME DIT QU’ON PEUT Y TROUVER DE LA SAGESSE!!!
meme ses gents la comme la cedeao ou ua ne veulent pas aider le mali ils veulent seulement se montre plus puissant parmie les plus puissant et gagne beaucoups d argents
Pour Chasser les « caffards » du Nord de notre pays, et degager les « pouilleux de Kati et Bamako, on a pas besoin d’etre lourdement arme. Comme l’armee sanogoienne a failli, c’est a la piopulation civile partout au Mali de prendre son destin en main.
On a pas besoin d’etre un commando pour creer une icendie dans un depot; on a pas besoin d’etre rambo pour perturber pour chasser les militaires de l’ORTM ou l’aeroport. On a pas besoin d’avoir une formation militaire pour etre un Resistant a l’occupation. Tout ce dont on a besoin c’est le coeur QUI MANQUE A NOS SANOGIENS qui ont choisi la honte a la mort.
MAIS VOUS, VOUS L’AVEZ A EN REVENDRE.
VOUS AVEZ LA POSSIBILITE DE GREVER, DE NE PAS ALLER PRIER DERRIERES DES TERRORISTES DU MNLA OU ANSAR DINE. DES OPERATIONS DE VILLE MORTES SONT POSSIBLES. DES MARCHES ET DES SITTING SONT POSSIBLES DEVANT LES CACHOTS OU SONT GARDES VOS PREMIERS RECALCITRANTS JUSQU’A LEUR LIBERATION.
LES RESISTANCES (VIOLENTES ET PASSIFIQUES) SONT POSSIBLES. COMME EN 1991, LES QUELQUES RARES HOMMES QUI COMPTENT ENCORE NOTRE ARMEE, VIENDRONT PARACHEVER VOTRE OEUVRE.
Il EST PLUS QUE TEMPS QUE QUELQU’UN (cedeao onu, usa, ou je n’en sais rien) COMMENCE LES BOMBARDEMENTS AERIENS. IL NE FAUT PAS DONNER LE TEMPS AUX SARDINIENS, AQMIENS AUX DROGUES, AUX « INDEPENDANTISTES DOMINES » ET A TOUS LES AUTRES CAFARDIENS LE TEMPS DE SE MULTIPLIER, DE S’INSTANLLER ET DE DJIHADISER LE NORD.
MAUDIT SOIT LE 22 MARS 2012, MAUDITS SOIENT LE OU LES HOMMES QUI ONT OCCASIONNE LA PARTITION DE FAIT DU MALI. MAUDIT SOIENT CES GENS QUI JETE L’OPROBE SUR MON PAYS.
HONTE AUX MILITAIRES QUI SE COMPLAIGNENT A KATI, BAMAKO, KOULIKORO, SIKASSO KAYES, SEGOU ALORS QUE LES 2/3 DAYS SONT OCCUPES
sanogo et sa clique de soldats ratés ,voilà là où votre bêtise nous a conduit!!!! bande de soldats indignes…..tchourrrrrrrrrrrrrr
Pour ce qui reste encore de l’armée malienne (s’il en reste): la force internationale s’occupera de l’AQMI; de grace au nom de tout ceux qui vous sont chèrs, occupez vous des poches de resistance du MNLA. Notre menace est le MNLA 👿
Ouvrez grandement vos oreilles pour entendre ceux qui vous venir dire encore abas UA/ONU??? Nous sommes inacapbles mais nous n’accpetons que les autres nous aident, c’est pathetique ce pays dirigé par ces clowns de Kati??? L?UA et la CEDEAO doivent se passer des autorité de ce pays et venir imposer par la force toutes leurs intentions à dans ce pays…
Vraiment aucune différence entre MNLA, Ancar dine,AQMI,MUJAO, MLNM, etc. Tous ces groupes méritent d’être maté avec force. Ils font souvent semblant d’être diviser pour nous divertir. Il n’ y a jamais eu d’affrontement entre AQMI et MNLA même si SARKO a armé MNLA pour combattre AQMI. Depuis des années, ils combattent ensemble, ils prennent les otages ensemble. la prémière chaine d’enlèvement d’otages occidentaux est purement touareg,le reste est arabe la plupart non Malien, et ils occupent illicitement ensemble le nord Mali, il réclame l’indépendance dans ces zones alors qu’ils constituent une minorité dans une minorité de ces populations.
Il y a plus de rebelles étrangers au Nord Mali que de Maliens, L’opération militaire doit être internationale.
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