6è salon des inventions et des innovations technologiques : Promotion et valorisation de la recherche, de l’invention et de l’innovation

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"Promouvoir la créativité et la valorisation, de l’invention et de l’innovation technologique pour un développement durable ". C’est le thème de la 6e édition du salon des inventions et des innovations qui s’est ouvert, le samedi 30 juillet, au CICB, sous présidence du Premier ministre, Mme Cissé Mariam Kaïdama Sidibé.

Le Salon National des Inventions et Innovations Technologiques (SNIIT) est organisé tous les deux ans dans le but d’encourager la créativité, l’invention et l’innovation technologique et de contribuer à la valorisation des résultats de la recherche dans notre pays.

 Il offre un cadre d’échanges privilégiés entre inventeurs, chercheurs, partenaires financiers et opérateurs économiques à la recherche de créneaux porteurs.
Pour l’organisation de cette 6ème édition, un appel à candidature a été lancé pour sélectionner les meilleures œuvres devant être exposées. Il est ouvert aux centres et laboratoires de recherche, aux institutions de recherche et de développement, aux établissements d’enseignements techniques, aux écoles d’ingénieurs, aux entreprises industrielles et inventeurs et chercheurs sur toute l’étendue du territoire. 

Le 1er  prix,  Prix du Président de la République, est d’une valeur de 2 000 000 de FCFA dont la moitié est financée sur le budget national et l’autre moitié par l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) ainsi qu’une Médaille d’or  offerte par l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Le 2ème prix est d’une valeur de 1 000 000 de FCFA et le 3ème prix 500 000 FCFA. Les meilleures inventions, présentées par une femme et un jeune, seront primées, chacune  à hauteur de 250 000 de FCFA avec une  Médaille d’or.

Pour le ministre de l’Industrie, des Investissements et du Commerce, Mme Sangaré Niamoto Bah, "le monde d’aujourd’hui fait face à une évolution structurelle très rapide, marquée par l’abandon des systèmes traditionnels de production au profit de nouvelles formes d’organisation de travail…".
Selon elle, ces actifs intellectuels, constituent, de nos jours, des facteurs favorisant une croissance économique durable et des moyens privilégiés à notre disposition pour la mise en œuvre efficace de nos politiques dans les domaines de l’agriculture, de la santé, de l’éducation, de la sécurité alimentaire et de la gouvernance.

A ses dires, ce salon, à travers ce thème, se veut être le baromètre de l’activité inventive dans notre pays, un carrefour de rencontres et d’échanges entre nos inventeurs et nos opérateurs économiques à la recherche de technologies nouvelles pouvant aboutir à la création d’entreprises. Pour sa part, le président de l’Association malienne pour la    promotion des inventions et innovations technologiques, a énuméré les résultats obtenus par certains de nos inventeurs, innovateurs et découverts à travers les salons nationaux, internationaux et foires d’exposition de 2000 à 2009.
Il s’agit, entre autres, de 16 inventions ayant bénéficié de Prix nationaux lors des 5 précédentes éditions du salon national, du prix OAPI de la meilleure invention dans le domaine alimentaire en 2000, de deux médailles d’or à la 43éme édition du salon International des inventions de Genève en 2004 (la médaille d’or pour la meilleure invention d’un pays en voie de développement et la médaille d’or de l’OMPI). Le salon prend fin le jeudi 4 août.
Pierre Fo’o Medjo

Accès du droit à l’information :
AFIC espère sur l’adoption d’une loi au Mali

Le Centre africain pour la liberté d’information (AFIC), basé à Kampala en Ouganda, mise sur l’adoption d’une loi sur le droit d’accès à l’information au Mali. Ce vœu a été exprimé, le vendredi 29 juillet, à l’Hôtel Nord Sud, par le Coordinateur d’AFIC, Gilbert Sendugwa, au cours de l’atelier de dissémination des résultats de l’étude sur le droit d’accès à l’information au Mali. C’était en présence du ministre de la Communication, porte parole du gouvernement, Sidiki N’Fa Konaté et des représentants d’institution de la République, de l’administration, de la société civile et du secteur privé, entre autres.

Cette étude, réalisée par un groupe de consultants maliens, rentre dans le cadre de la stratégie générale d’AFIC qui vise à accroître la connaissance sur le droit d’accès à l’information sur le continent et à promouvoir l’adoption et la mise en œuvre des législations sur cette question par les gouvernements africains. Cet atelier servira donc à diffuser les conclusions  de l’étude, partager les renseignements et définir les voies et moyens à suivre pour promouvoir le droit d’accès à l’information au Mali.

Pour sa part, le coordinateur d’AFIC a formulé le vœu de contribuer à l’élaboration d’un cadre juridique sur le droit à l’information au Mali, comme c’est le cas dans les 18 autres pays africains. Selon lui, dans ces pays, ce droit à valeur constitutionnelle. Il pense que, quand les citoyens ont accès à l’information, cela renforce leur confiance à l’action du gouvernement.

Pour le ministre de la communication, cette action revêt une importance capitale pour non seulement les pouvoirs publics, mais aussi pour les professionnels de l’information et de la communication et surtout pour les citoyens. "Pourquoi, par qui, comment et quand les décisions publiques sont prises et mises en œuvre", sont pour le porte parole du gouvernement autant de questions que chaque citoyen doit se poser. Il a aussi expliqué que dans les sociétés démocratiques, ce droit favorise l’exercice des autres libertés publiques. "Il est le moyen pratique, effectif et légitime, permettant aux citoyens d’exercer le contrôle de l’action publique", a-t-il dit avant de préciser, qu’en plus du savoir, il confère aux citoyens le pouvoir de participer, de contester, de proposer, voire simplement de soutenir l’action du gouvernement.
Youssouf Diallo

Meilleur PDG Orange :
Etablissement Ousmane Niangado enlève un lot de 3 000 000 FCFA

Orange Mali a procédé, dans la soirée du vendredi 29 juillet, à la remise des challenges 2011 de la Direction technique dans la salle de conférence de DFA communication. La cérémonie était présidée par le Directeur Commercial, Mamadou Lamine Traoré. Il était entouré du Directeur technique Aristide Sanon et du chargé de communication Racine Thiam.
Il est déjà de tradition qu’Orange Mali, au cours d’une cérémonie de récompense, rencontre ses distributeurs. L’innovation, cette année, étant de récompenser les meilleurs techniciens de la Direction technique.

Racine Thiam, dans son allocution, a expliqué que Challenge distribution est un évènement institué depuis un certain nombre d’années. Cette fois-ci, a-t-il précisé, l’entreprise a pensé ses collaborateurs. Ceux-là qui sont en contact direct avec la clientèle. Pour sa part, le Directeur technique, Aristide Sanon, a qualifié  Challenge distribution d’évènement très grand, puisque les équipes techniques sont à l’honneur. Avant de faire remarquer que la synergie est de plus en plus forte entre la Direction commerciale et la Direction technique. Il a saisi cette opportunité pour remercier la Direction technique.
C’est un total de 12 gagnants qui ont reçu des lots du challenge DT. Il s’agit de Oumar Sy pour la catégorie de meilleur manager et Lalya Sissoko dans la catégorie de meilleur support.
 
Dans la catégorie de meilleur technicien environnement, il s’agit de : Zanga Ernest Dembele, Ousmane Fofana, Mamadou Iguila, Abdramane Koné, Salif Domingo Diarra et moussa Oumar Touré.

Dans la catégorie diplôme de reconnaissance, on retrouve Oumar Koké Diarra, Direction de zone Kayes, Direction de zone Sikasso, Direction de zone Mopti.
Chez les Chefs de secteurs, les meilleurs sont Diawoye Diarra, Mahamane Touré, Daouda N’diaye, Fatoumata Nontourou Adom. Côté conseillers  commerciaux, Saliou Koné, Bintou Bouaré, Ousmane Ibnou et Alfane Diallo ont été primés. 
D’autres récompenses ont meublé la fête comme celle de la catégorie Partenaires distributeurs grossistes. Dans un ordre décroissant, le 3ème est Soleil (2 000 000 FCFA), le 2ème, Djiriba System (2 500 000 FCFA) et le 1er prix revient à l’Etablissement d’Ousmane Niangado (3 000 000 FCFA).
Pierre Fo’o Medjo

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