Un échec planifié, prévisible et implacable
En faisant signer un entraineur dépassé en la personne d’Henry Kasperczak, en laissant toute la marge de manœuvre au capitaine des Aigles du Mali, en se plaisant à vouloir saboter à tout moment les performances obtenues par l’ancien bureau fédéral, Baba Diarra n’a jamais cessé d’ironiser son prédécesseur en déclarant que le football malien ne doit pas se glorifier d’une 3e place mais plutôt un trophée. « Je vais montrer à tous les sportifs maliens comment remporter la coupe d’Afrique des nations. C’est inadmissible que depuis 50 ans que le Mali continue de courir derrière un trophée continental par la faute de ses responsables fédéraux. C’est pour cela que j’ai fait venir Henry Kasperczak qui connait le football malien. Pour moi il ne fait aucun doute qu’il est le seul entraineur aujourd’hui capable de remporter la coupe d’Afrique des nations pour le Mali » aime t-il déclarer à tout moment. Mais le comble c’est lorsque Baba Diarra malgré sa qualité de président de la fédération malienne de football est brusquement devenu manager, entraineur, éclaireur, agent de joueur pour dit-il renforcer l’équipe nationale, cuisinier, comptable, marabout bref au départ et à l’arrivée de toutes les actions menées par la fédération malienne de football. Conséquence directe un conflit interne a éclaté au sein du comité exécutif qui a vu la suspension du président de la commission des finances suivi de la démission du président de la commission des finances. C’est ainsi que le choix des joueurs sélectionnés est laissé à l’appréciation du capitaine des Aigles, Seydou Keita qui est devenu incontournable même dans le choix des onze entrants et du changement éventuel. Conséquence des joueurs comme Samba Diakité, Samba Sow, Mana Dembélé, Abdou Traoré et Modibo Maiga (même si ces deux noms derniers cités ont été rappelés à la phase finale) ont été ignorés pendant les éliminatoires de la coupe d’Afrique des nations. N’eut été le secours de l’état malien, les Aigles n’allaient jamais se qualifier pour la phase finale. Aussi après une qualification laborieuse pour la phase finale de la CAN 2015 obtenue contre l’Algérie, au lieu de rassembler tous les acteurs sportifs et faire appel à l’expertise des anciens présidents de la fédération malienne de football afin d’obtenir l’union sacrée autour des Aigles, Baba Diarra tombe dans une arrogance inouïe en ne faisant que lancer des piques aux anciens membres de la fédération malienne de football. Ces piques sont accentuées après la qualification des Cadets, Juniors et Seniors comme si c’était la première fois que ces trois catégories se qualifient à une phase finale de leur catégorie différente. Contrairement aux autres phases finales que le Mali a eu à participer, c’est que tous les joueurs de l’équipe nationale se sont retrouvées à Bamako avec en prime un match de gala pour être en communion avec son peuple avant de recevoir ensemble le drapeau national des mains du président de la république. Autre raison c’est le fait que la fédération malienne de football a accepté que le nouveau maillot des Aigles soit baptisé du nom de Nelson Mandela dit Madiba contre et en retour bénéficier certainement des pots de vin. Ce qui est aussi grave c’est de faire à la presse proche de la fédération que Chérif Ousmane Madani Haidara leur avait rassuré que le Mali sera champion d’Afrique 2015 alors que le prêcheur les a fait uniquement des bénédictions sur la demande des responsables fédéraux. Aussi en se référant aux différents aux quatorze matchs livrés par les Aigles, les protégés d’Henry Kasperczak n’ont obtenu que quatre victoires (3 en officiel lors des éliminatoires de la CAN face au Malawi, à l’Algérie et à l’Ethiopie et 1 en amical contre une équipe de première division du Gabon, AS Akanda), quatre nuls(3 en officiel lors de la CAN contre le Cameroun, la Côte-D’ivoire et la Guinée amical contre le Sénégal), six défaites(3 en officiel contre l’Algérie, le Malawi et l’Ethiopie, 3 en amical contre la Guinée, la Croatie, la Chine, l’Afrique du Sud) en marquant 15 buts contre 21 encaissés sans oublier cette main ‘’ maudite’’ qui a mis fin au parcours des Aigles. Or pour remporter un trophée, il faudrait obtenir le plus grand nombre pour espérer jouer les premiers rôles.
Baba Diarra serait-il un ‘’porte-malheur’’ pour le football malien ?
Comme en 2008 au Ghana sous sa houlette (à noter que en sa qualité de vice-président de Salif Keita Baba Diarra avait conduit l’équipe) et malgré la présence de Mahamadou Diarra ‘’Djila’’, Seydou Keita, Fréderic Kanouté, Mohamed Lamine Sissoko, Adama Tamboura entre autres qui étaient tous au sommet de leur art, le Mali venait d’être éliminé à la surprise générale après avoir battu le Bénin(1-0) et avait tenu en échec le Nigéria(0-0) avant de sombrer face à la Côte-d’Ivoire. Aujourd’hui président de la fédération malienne de football, le Mali vient d’être pitoyablement éliminé cette fois –ci pas sur le terrain mais de sa propre main en tirant la mauvaise boule qui classait le Mali 3e de la poule D, synonyme d’élimination. C’est dire aujourd’hui que l’histoire vient de donner raison à Tidiane Niambélé président de la fédération malienne de football d’alors en 2004 lorsqu’il avait décidé de remplacer Baba Diarra par Hammadoun Kolado Cissé. Résultat, le Mali avait été demi-finaliste de cette phase finale. Et non content de cela M. Diarra avait décidé de démissionner de la fédération. Pire depuis de toutes les phases finales de CAN que le Mali a participé, il a fallu Baba Diarra soit président de la fédération malienne de football pour que le Mali soit éliminé dès le premier tour sans la moindre victoire alors qu’en 2008 et en 2010, les Aigles avaient gagné respectivement contre le Bénin (1-0) et contre le Rwanda (3-1). Pour sa propre dignité (s’il en reste encore) et pour l’honneur du football malien, Baba Diarra doit avoir l’amabilité de partir définitivement en présentant ses excuses publiques aux maliens et plus précisément aux anciens membres de la fédération malienne de football. Espérons que dès son retour, il aura le courage de dire qu’il a échoué sur tous les plans pour sauvegarder le peu de crédibilité qui lui reste encore. En tout cas s’il refuse de le faire les acteurs du football malien doivent se mobiliser avant que le football malien ne tombe complètement dans l’Abysse par la faute de celui qui croit indispensable et incontournable dans le pays.
Les dérapages inadmissibles de Baba Diarra
Après avoir été incapable d’ouvrir la boule qui éliminait le Mali malgré qu’il ait été le premier à tirer cette dite boule, Baba Diarra n’a eu ses yeux que pour pleurer et sa bouche en s’en prenant à la CAF avant de tomber dans des mensonges grotesques dont lui seul possède le secret. C’était tout simplement hallucinant de voir le président de la fédération malienne se donner en véritable spectacle. Au lieu de garder profil bas en se soumettant au verdict cruel et implacable d’un tirage au sort comme tout responsable sportif modeste et humble, Baba Diarra, comme s’il venait de découvrir le règlement de la compétition de la CAN 2015 pendant la cérémonie de tirage au sort, ne faisait que de se lamenter de coq à l’âne. A le croire, il préfère être éliminé sur des critères sportifs comme si le règlement n’est pas un critère sportif à l’image du règlement spécial du championnat national du Mali qu’il a élaboré cette année. Mais le comble de cette sortie médiatique ratée c’est lorsque Baba Diarra déclare que le Mali n’a jamais eu une telle équipe combative, technique et qui en veut beaucoup depuis 20 ans. Une équipe qu’il déclare avoir mis en place alors qu’il n’est arrivé à la fédération seulement qu’en 2013 soit 1 année, 3 mois et 25 jours. Or à part Bakary Sako et Abdoulaye Diaby, tous les autres joueurs ont été trouvés sur place. Mais ce qui est dommage malgré la qualité de l’équipe, elle s’est fait éliminer dès le premier tour par de sa propre main en tirant la mauvaise boule le premier sans la moindre victoire contrairement aux équipes de 1972, 1994, 2002, 2004, 2008, 2010, 2012 et 2013. La question qui se pose est-ce à dire que c’est au moment de la cérémonie du tirage au sort qu’il s’est rendu compte de ce règlement ? En déclarant que la CAF devrait se pencher sur le nombre de corners, de cartons, pourquoi n’a-t-il pas protesté contre le règlement qu’il est censé détenir avant le début de la compétition. Mais heureusement tous les maliens sont restés humbles et dignes car pour eux la Guinée et le Mali forment un seul poumon dans un même corps. Et les propos malveillants et insultants de Baba Diarra n’engagent que sa propre personne. Comme dit l’adage « c’est le médecin après la mort » sied parfaitement à l’attitude impuissante de Baba Diarra.
Sadou Bocoum
Echos de la CAN 2015 :
Après avoir éliminé les Aigles du Mali lors du tirage au sort
Baba Diarra, a-t-il été atteint de la folie ?
Au lieu de garder un profil bas en jouant au Fair-play comme le veut l’une des premières valeurs sportives, Baba Diarra s’est livré en spectacle honteux comme il en a le secret en versant des larmes de crocodile sur les ondes de RFI.
Pour lui le tirage au sort n’est pas un critère sportif mais plutôt le nombre de corners et de cartons. Heureusement il n’a pas parlé du nombre de changement, les coups francs, les sorties de touche, le nombre de supporters présents et les hors-jeux. Comme atteint subitement d’une folie incurable, notre guignol a commencé à pleurer comme un nourrisson estimant qu’il est victime de l’injustice de la CAF. Plus grave il va jusqu’à dénigrer l’équipe nationale de la Guinée en déclarant que qu’une grande équipe comme le Mali ne mérite pas d’être éliminé par un tirage du hasard. Mais ce que les maliens doivent savoir c’est que la Guinée est 6e africain alors que le Mali est 10e africain. Une insulte vis-à-vis de la CAF, de tous les amoureux du ballon rond qui n’est ni de loin ni de près responsable du fait qu’il ait tiré la boule 3. En déclarant qu’il a pensé aux 17 millions de maliens parmi plus particulièrement aux tout-petits, Baba Diarra pensait en réalité de ce qui l’attend au pays plus précisément les acteurs du football malien qui n’attendent que d’être édifiés sur les détournements de fonds et les surfacturations dont il est accusé depuis son arrivée à la fédération malienne de football. Cette attitude de ce pourtant Officier supérieur de la police nationale a été un coup de poignard pour l’honneur et la dignité malienne. On se rappelle que ce règlement existe depuis 1957 et qui a été appliqué en 1972(ce qui a permis au Congo Brazza de disputer et de gagner la finale contre le Mali), en 1988(qui a vu l’élimination de la Côte-d’Ivoire face à l’Algérie) sans que leurs responsables ne crient au scandale à plus forte raison de pleurer sur les ondes de RFI. Et si Baba Diarra avait tiré la boule 2, allait-il se lamenter de la sorte ? Au lieu de s’en prendre à la CAF, pourquoi ne s’en prend-t-il pas à Seydou Keita qui a raté le penalty ? Si le Mali (3e en 2013) est éliminé dès le 1er tour, on peut dire que la logique est respectée car le vice-champion 2013 est éliminé dès le 1er tour avec 1 point et que le champion 2013 ne s’est même pas qualifié à la phase finale sans que ces responsables ne viennent pleurnicher sur les antennes de RFI. Mais avec cette attitude ‘’enfantine’’ de Baba Diarra, c’est tout un pays qui s’est senti humilié et décrédibilisé. Selon un observateur sportif, la réaction éhontée de Baba Diarra démontre à suffisance prouve que l’homme était prêt à tirer à boulets rouges sur ses adversaires sportifs comme ce fut le cas de Kolon qui avait déclaré à la veille du match Mali-Cote- d’Ivoire. Malheureusement pour ce dernier le Mali a été rejoint au score à 4 minutes de la fin du temps réglementaire.
Baba Diarra et le Directeur national des sports à couteaux tirés !
Décidemment rien ne semble aller Baba Diarra dans sa folie de vouloir défier tous les acteurs du football. Après avoir refusé d’obéir aux instructions de la FIFA en vue de la bonne tenue de l’assemblée générale ordinaire du 10 janvier dernier, après s’être approprié du payement intégral des primes des joueurs de l’équipe nationale, c’est au tour du directeur national des sports de subir le courroux de Baba Diarra qui se croit tout permis.
Selon nos informations en provenance de la Guinée Equatoriale, il ne se passe aucun jour sans que ces deux hommes ne se disputent jusqu’à vouloir venir aux mains. Il nous revient que le directeur national, chef de la délégation malienne refuse de prendre en charge (nourriture et hébergement et autres besoins) certaines personnes que Baba Diarra avait invitées en Guinée Equatoriale. La dernière dispute s’est déroulée le 25 janvier dernier lorsque Baba Diarra a voulu forcer le directeur national des sports de prendre en charge certaines personnes qui n’avaient rien à voir avec la délégation officielle. Parmi ces personnes de mauvais augure figurent des hommes et de des femmes responsables (accompagnées de leurs amies) de clubs de première division et de deuxième division. Parmi ces intrus présents figureraient une policière, fonctionnaire de l’Etat qui serait amie d’une responsable d’un club de 2e division. Allez-y savoir le reste ! Et la question qui se pose à quel titre cette policière se trouve présente en Guinée Equatoriale ; Est-ce pour assurer la sécurité des joueurs ou la sécurité des membres de la fédération malienne de football ? Face au refus du directeur national des sports, Baba aurait déclaré que l’argent géré par le directeur appartient à l’Etat et par conséquent doit être gaspillé pardon dépensé au nom de la CAN.
Reconnaissez tout simplement que vous n’avez pas d’équipe seulement au lieu d’aller accuser X ou Y.
En quoi ces injures font avancer le Mali? Monsieur le journaliste, vous qui avez la main bénite, pourquoi vous n’êtes pas allé tirer pour le Mali? Dites-moi, quel Président de Fédération du Mali a eu cette coupe avant Baba DIARRA? Maudit? il arrive quand même à être Président de votre Fédération, Maudit mais Général de la Polie de ton pays?
On peut élever le débat ? peut-on éviter les bas de ceinturon lorsqu’on parle dans la presse nationale censée nous expliquer sainement ce qui nous arrive ?
Du vrai ragot dans ce texte. Nous aurions tous souhaité passé ce tour mais hélas le sort nous est tombé autrement.
Cher Bocoum soyez sérieux dans votre job et non égoïste.
ce type là est maudit, quand il était au MATCL il présidait les contingent musulman de la filière gouvernementale et tous les jours pendant que les fidèles vont à la mosquée lui reste au pied du bâtiment pour réfléchir à comment les arnaquer sur la popote, le logement, le transport et bien d’autres!!! . c’est lui qui avait soutenu adama sangaré dans ses retraits et attributions pour quelque lots à son nom. c’est avec ce argent qu’il a fait son élection à la femafoot donc de l’argent sale comment celui peut il avoir un grâce de dieu surtout qu’à malabo il passe ses nuit avec des prost parait il….!!!!
le pays n’a pas besoin de gent comme ca à un poste de responsabilité
non notre élimination c'est le coup du sort, ce n'est la faute à personne, tous les maliens voudraient qu'on gagne la coupe. Peut être à la prochaine fois. Personne n'est fautif et laissez les gens tranquille
Du coq à l’âne ! Bon, pardonnez le, ce SADOU BOCOUM, c’est un lavegarde qui veut se convertir en journaliste ! Ce pays est foutu !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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