L’Assemblée générale ordinaire de la Fédération malienne de football, tenue le 10 janvier 2015, a provoqué d’une grande crise au sein du football malien. En effet, ces assises ont occasionné la division des acteurs du football malien, entrainant du coup l’arrêt du championnat national Ligue 1 Orange. Cela grâce à l’implication personnelle du ministre des Sports, Housseini Amion Guindo, qui a mis en avant l’intérêt du football malien.
Si le comité exécutif de la FEMAFOOT signe et persiste qu’il est dans la légalité, les “mécontents” de l’Assemblée générale du 10 janvier affirment que “le bureau fédéral a violé les textes”. A cet effet, les membres contestataires étaient face à la presse hier, au siège du Patronat. Il s’agissait pour eux d’expliquer leur légitimité. Mais aussi de revenir sur leur décision de reprendre le championnat national de football.
“Après la CAN 2015, il est temps de clarifier les choses. Le comité exécutif de la FEMAFOOT a violé les textes en organisant l’Assemblée générale, le 10 janvier 2015, alors que celle-ci devait se tenir au plus tard le 31 décembre 2014. En plus de cela, il a suspendu le président du CS Dougouwolofila, Gaoussou M’Pah Sylla, qui a avait saisi la FIFA pour une demande de révocation. Ensuite, le rapport financier ainsi que le rapport d’audit des comptes, qui devraient être approuvés lors de l’Assemblée, n’ont été distribués aux délégués qu’une fois en salle. Ce qui constitue une autre violation des textes, car ces documents auraient dû être transmis au moins 21 jours avant la tenue de ces assises conformément à l’article 31.3 des statuts de la FEMAFOOT. De même que les observations faites par certaines ligues n’ont pas été transmises aux membres de l’Assemblée générale ordin
ons décidé de participer à l’Assemblée générale. Mais nous avons assisté à un comportement outrageant et antidémocratique en violation flagrante des dispositions réglementaires des textes de la fédération. Face à cette situation, nous avons alors pris certaines décisions tout en saisissant la FIFA”.
Concernant la reprise du championnat national, Moussa Konaté (président du COB) dira que “le ministre des Sports a formulé une demande compréhensible en mettant en avant l’engagement de certains clubs dans des compétitions internationales. Et, nous avons accepté de reprendre le championnat à trois conditions. Il s’agit de l’organisation de cette compétition sous la direction du Secrétaire général adjoint jusqu’à l’obtention de l’arbitrage de la FIFA, la reprogrammation des rencontres de la 6ème journée et la levée de suspension du président du CS Dougouwolofila “.
Par ailleurs, il faut noter que le collectif se dit prêt à se conformer à l’arbitrage de la FIFA.
Sory Ibrahima COULIBALY
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Ce soit disant collectif n’a vraiment pas honte…. La raison principale de votre lutte est occupée quelque soient les conditions le fauteuil de la présidence de la femafoot. C’est vous même qui avez fait campagne pour Baba Diarra et dans vos bureaux et avec tous les moyens dont vous disposez. Aujourd’hui comme il refuse de partager avec le fruit du vol vous voulez détruire le peu de chose qui est resté de notre football. Allakama occupez vous d’abord de vos clubs respectifs qui sont dans des conditions dramatiques avant de songer à aller travailler à “AC2000”, à la CAF ou à la FIFA….. Le chemin pour arriver dans ces instances passe par réaliser quelque chose au Djoliba, au COB, à Duguwolo… où je n’en sais pas encore.
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