La Fédération malienne de football (Fémafoot) a procédé hier lundi 30 décembre 2013 à son siège à la signature de contrat du nouvel entraineur, Henri Kasperzack pour une durée de 14 mois renouvelable.
Après le départ de Patrice Cartéron, la Fédération malienne de football vient de faire appel à l’expertise de l’ex-entraineur des Aigles de 2002, en occurrence Henri Kasperzack, qui a signé hier un contrat pour une duré de 14 mois renouvelable. La cérémonie de signature du contrat a réuni hier au siège de la Fémafoot.
Le président de la Femafoot, Boubacar Baba Diarra, a expliqué les clauses du contrat qui les lie à Henri Kasperzack. Le contrat va durer 14 mois et le président a assuré qu’une fois les objectifs atteints à savoir la qualification de l’équipe, la collaboration pourra être prolongée jusqu’en 2017 avec comme ambition de faire qualifier notre pays à la phase finale de la coupe du Monde.
Le président de la fédération a profité de la cérémonie pour appeler les hommes de médias à l’union sacrée autour de notre sport roi.
Henri Kasperzack a son tour remercié la fédération et le peuple malien pour la confiance placée en lui pour diriger à nouveau l’équipe nationale. Il a rappelé les objectifs qui lui sont assignés, à savoir offrir une coupe à notre pays. Il s’est dit optimiste, mais il a souligné les embûches du football de façon générale avant d’appeler l’ensemble des Maliens à l’union sacrée pour l’atteinte des objectifs.
Il sera secondé dans cette tâche par un entraineur malien, Cheick Oumar Koné, actuel entraineur de l’AS Yélénga du Burkina Faso.
Cette cérémonie de signature a enregistré la présence du partenaire de la fédération, Orange-Mali, représenté par M. Salif Telly.
Ousmane Daou
kasperczak ou un autre, même si on recrute mourinho lui-même ou guardiola, tant que la fédération se comportera comme l’ont fait certains prédécesseurs, on ne bougera pas d’un iota.
A chaque fois qu’un échec cuisant est constaté, on grille l’entraîneur pour cacher ses propres carences. Depuis 2002 jusqu’à nos jours, tous les entraîneurs recrutés étaient valeureux, à l’exclusion de ALAIN MOIZAN.
Un membre d’un bureau fédéral n’a pas le droit de réclamer l’aumône à un footballeur, fut-ce-t-il milliardaire ou capitaine d’équipe. Du coup, ce joueur leur imposera toujours sa volonté.
Néanmoins il existe un point positif dans ces recrutements : l’avènement de Cheick Oumar Koné, qui a fait ses preuves en montant l’une des meilleures équipes nationales du mali lors d’un tournoi des jeux olympiques.
Qu’il n’y ait plus de joueurs privilégiés du fait de la cagnotte, mais qu’ils le soient de par leur patriotisme et leur talent. c’est ce qui a fait défaut lors des quinze dernières années.
je demande a tout mes frères d’être patient.on ne ce lève un matin pour aller remporté la coupe.il faut du patience ce qui nous manque.notre deuxième défaut on ne compte que sur les bis-nationaux.je n’es jamais vu une grande équipe dans le monde avec des bis-nationaux.tout le monde compte sur ces joueurs formé,donc on réinventeras pas le foot au mali.troisième défaut les textes de la fédé ne sont plus a l’ordre du jour,surtout ce qui concerne la mutation de nos joueurs qui ce déplace de saison en saison comme un oiseau migrateur,sans terminé leurs formation.
Le problème du foot malien n’est pas un problème d’entraineur!Stephen Khechi notre ancien coatch a bien réussi à donner aux aigles verts et la CAN, et la qualif en phase finale de la coupe du monde.On a tout essayé côté sélectioneurs: Kasperzack-Saramanya-Giresse-Kheshi-Cartéron-Keita…retour à Kasperzack encore!Tant qu’on aura pas de joueurs qui jouent avec le coeur et l’amour de la patrie, on restera toujours ce que nous sommes:3ieme ou 4ieme si nous sommes en phase finale de la CAN. 😉
Comments are closed.