Ne sachant à quel diable sportif se vouer pour maintenir la performance du football malien : Baba Diarra tombe honteusement dans des accusations mensongères et fallacieuses contre Hammadoun Kolado Cissé et Mamadou Sow

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Boubacar Baba Diarra
Boubacar Baba Diarra

Après six mois de tâtonnements, de bataille de positionnent entre les élus et les coptés, de violations des règles fondamentales de la fédération, de haine viscérale contre l’ancien bureau fédéral, de mensonges ubuesques, l’inspecteur général de police, Baba Diarra a enfin décidé de parler à certains journalistes sportifs où ses partisans-badauds étaient plus nombreux dans la salle  (car une partie des journalistes sportifs n’ont pas été invités) la semaine dernière.

 

 

Mais hélas en lieu et place d’une conférence de presse digne de ce nom pour faire le bilan de ces six mois de gestion à la tête de la fédération, Baba Diarra est tombé honteusement dans des accusations fallacieuses et sans fondement contre l’ancien bureau fédéral. Cela n’est pas une surprise pour les observateurs avertis de la scène footballistique malienne car le policier de surcroit Inspecteur général de police a été pris en flagrant délit d’incompétence notoire à respecter ses promesses électorales pour maintenir la flamme du football malien léguée par l’ancien bureau fédéral. C’est lui qui avait promis d’offrir  à chacune des  9 ligues régionales, 10 millions de FCFA, l’organisation d’un championnat national de 2e division, un championnat national des cadets. C’est le mùme président qui a crié sur tous les toits du monde entier que la FIFA a accepté de débourser les fonds demandés, patati, patata.

 

 

Les vrais dessous de ce simulacre de conférence de presse      

Le but de ce simulacre de conférence de presse était de nuire à l’ancien bureau fédéral plus particulièrement Hammadoun Kolado Cissé et Mamadou Sow respectivement  ancien président de la fédération et président de la ligue de football de Ségou et non moins vice président de l’AS Bakaridjan. En réalité depuis l’arrivée de Baba Diarra à la fédération malienne de football le 8 Octobre 2013, on assiste à une mésentente aigue entre les acteurs du ballon rond. Une situation voulue et entretenue par le policier pour mieux régner et préparer éventuellement en toute quiétude sa propre succession en 2017. En déclarant lors de sa conférence de presse qu’Hammadoun Kolado Cissé et Mamadou Sow doivent de l’argent à la fédération, Baba Diarra n’a pu apporter aucune preuve matérielle aux journalistes présents pour démontrer la véracité de ces faits. Selon nos sources bien introduites au cœur du système Diarra, l’objectif était de nuire uniquement à ces deux personnes accusés d’être les déstabilisateurs de la fédération. Cela n’est pas une surprise quand on sait que le président de la fédération et son fidèle allié à savoir ‘’Kolon’’ n’ont cessé de déstabiliser l’ancien bureau fédéral depuis 2011. En agissant honteusement de cette manière, Baba Diarra pensait vouloir les détruire à jamais sur la scène sportive malienne et surtout en faire taire les journalistes dont votre fidèle serviteur qui ne cessent de dénoncer la mauvaise gestion de l’homme car il est convaincu que ce sont ceux deux personnes qui tirent les ficelles. Autre objectif raté du policier c’est de faire croire que tout va bien à la fédération alors que la guerre des trois clans fait rage. Sinon comment comprendre que Baba Diarra ait occulté les contreperformances des Aigles locaux à l’UEMOA et au CHAN, la non-organisation du championnat national de 2e division comme promis, les raisons du licenciement de 7 employés de la fédération, les contours liés à l’affaire du Banzani AC, l’affaire de la surfacturation des 13 millions lors du CHAN, les raisons du mauvais classement FIFA du Mali (10e), le président s’est contenté de son jeu favori depuis son arrivée à la tête de la fédération à savoir des promesses et des projets. D’ailleurs des sources nous révèlent que l’ancien chef de cabinet de Kafougouna Koné accuse Kola Cissé et Madou Sow d’être  derrière les journaux et radios critiques contre sa gestion clanique, ses trahisons contre ses fidèles compagnons du Collectif du 11 juillet au profit des Rénovateurs surnommés les ‘’mal élus’’ par les uns et par les autres ‘’les coptés’’, l’humiliation infligée à Sadia Cissé pour faire plaisir à ‘’Kolon’’. Il est temps que Baba Diarra mette fin à ses sorties théâtrales et qu’il cesse surtout de prendre les responsables sportifs comme des cons ou des étourdis.  A l’issu de ce simulacre de conférence de presse, on peut dire sans se tromper une fois de plus que Baba Diarra vient de prouver aux yeux de tous les sportifs maliens qu’il est un être méchant et rancunier.

 

 

Hamadi

 

 

 

 

Lors de l’assemblée générale des Supporters du Stade Malien de Bamako

Cheick Diallo accuse cinq confrères d’être à la solde Kola Cissé

Après l’élimination du Stade Malien de Bamako en Champion’s  league par les Soudanais d’Al Hillal, les supporters ont organisé une assemblée générale pour tirer les enseignements et leçons de cet échec précoce. Lors de cette assemblée, les supporters ont été surpris de voir pour la première fois depuis le début de l’année la présence surprise du manager général en la personne de Cheick Diallo.

 

Ce qu’on retiendra de cette assemblée générale d’information c’est que les supporters ont été déçus des propos de leur manager général. Au lieu de présenter les excuses du comité de gestion et de son président  aux supporters pour l’élimination précoce dès les 16e de finales, Cheick Diallo a détourné les débats en accusant Hammadoun Kolado Cissé d’être le principal déstabilisateur. A ses dires les confrères, Souleymane Diallo, Bruno Konté (radio Nasraoulé), Adama Maiga (radio Benkan), Alou Badara Haidara (Journal l’Indépendant) et votre fidèle serviteur. Il dira aux supporters qu’en plus du club, son mentor-président Boukary Sidibé sont couramment attaqués à travers les réseaux sociaux, les radios et les journaux. Pour lui l’objectif c’est de faire partir ‘’Kolon’’  de la présidence du Stade Malien pour Hammadoun Kolado Cissé. Que Dieu ait pitié de lui !

Hady

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