Au lendemain de l’élimination du Stade malien en compétition africaine des clubs de la CAF, des individus non membres du Stade ont annoncé le limogeage de
, entraîneur du club à travers un compte fictif au nom du stade sur Facebook. Par contre, le vendredi 14 mars 2014, les supporteurs des Blancs ont démontré le contraire en apportant leur soutien au comité directeur, présidé par Boukary Sidibé «Kolon », président du Stade et aux joueurs pour faire face aux objectifs de la saison, au cours d’une assemblée d’information.
Après l’élimination du Stade malien de Bamako en ligue africaine des champions, les rumeurs allaient bon train sur les réseaux sociaux, pris d’assaut par des démons du sport roi. Des messages faisant état de la fin du contrat de Pascal Janin, entraîneur du Stade malien ont été véhiculés.
Ousmane Diakité, président du bureau de coordination des supporteurs du Stade, a catégoriquement démenti ces informations et mieux a reçu plusieurs soutiens et contributions pour aborder la suite de la saison. Il a fait savoir que la saison suit son cours et que les Stade est leader du championnat. Et qu’en plus le stade est à mesure d’atteindre les autres objectifs de la saison. Il a indiqué que le Stade est un grand club et a rappelé aux uns et aux autres de se référer aux résultats du club au plan continental dans les années précédentes. Il a appelé les supporteurs et sympathisants du club à ne pas tomber dans le piège tendu par les ennemis du football national. Ensuite la contribution des supporteurs a mis fin à la cérémonie. Le manager général du Stade, Cheick Diallo a pointé du doigt les auteurs de cette cabale contre le club.
Selon lui, il s’agit de Alou Badra Haidara, Souleymane Diallo et Bruno Konté, tous membre de l’ancienne commission média du bureau sortant de la Femafoot. Avant d’ajouter que ces personnes n’arrivent pas à digérer la chute de l’ex-président de la Fémafoot. Ils jouent leur dernière cartouche pour déstabiliser le football en général à cause de leurs intérêts crottés. Hélas, ils viennent de morde une fois de plus dans le pain noir.
Yacouba TANGARA
