Pour dénoncer la situation qui prévaut actuellement à la Fédération malienne de Hippisme, le président du collectif des propriétaires de chevaux, M. Mamoutou Diarra, le président de la Ligue Hippique de Kayes, M. Cheick Mohamed Takioula Mariko, le membre du collectif des Propriétaires de Chevaux, M. Lamine Diallo ont animé un point de presse à la Maison de la Presse.
Selon les informations à nous communiquées, le mandat de la fédération malienne de hippisme a officiellement pris fin depuis le 05 décembre 2013. Le Président du Collectif des propriétaires de chevaux, M. Mamoutou Diarra, a ajouté que les membres de la Fédération malienne de Hippisme n’ont pas voulu organiser l’assemblée générale de renouvellement du bureau. M. Diarra révèle que 8/10 ligues demandent le renouvellement du bureau de la fédération, conformément à la loi. Mais, souligne M. Diarra, la Fédération Malienne de Hippisme (Fmh) a tenu une assemblée générale sans les ligues et sans les propriétaires des chevaux. Ceux-ci s’interrogent sur la nature de cette assemblée. “Malgré le paiement régulier des frais contre reçus, les propriétaires des chevaux n’ont pas reçu leur licence. Pour la course du dimanche 16 février 2014 qui a finalement été reportée, le délai de l’internat n’avait pas été respecté. Le samedi 15 février au champ hippique, il y avait plus de gendarmes et de policiers que de propriétaires de chevaux”, a déclaré M. Diarra.
Le président de la Ligue Hippique de Kayes, M. Cheick Mohamed Takioula Mariko, a dans son intervention mis l’accent sur le refus de négociation de la part du président de la fédération, Mamadou Tiéoulé Konaté. Selon M. Cheick Mohamed Takioula Mariko, il serait plus responsable d’organiser l’assemblée générale et d’aller à l’élection. Car, le président de la Fédération malienne de Hippisme, Mamadou Tiéoulé Konaté, ne ferait ce qu’il veut au vu et au su des plus hautes autorités du pays, sans s’inquiéter de quoi ce soit.
Tougouna A. TRAORÉ
J’ai tout simplement l’impression que les fédérations qui sont considérées comme mineures, c’est-à dire, exceptés le football et le basket-ball, ne sont pas du tout suivies par le Ministère. C’est pourquoi, tout autant que dans l’hippisme, au sein de la FEMAKADA (Karaté), il y a des gens qui se sont bardés de vrais faux grades pour détruire une discipline que des années durant, un certain Bouba Niambélé, grand intellectuel et docteur de son Etat, avait développée au bénéfice de tous. Aujourd’hui, cette fédération est devenue une organisation familiale au service d’un vrai faux grand maitre (au sein de son club), 8ème Dan de son clan et inamovible Secrétaire aux conflits du bureau fédéral (sait-il faire autre chose ? et puisqu’il ne fait qu’attiser les conflits et en créer partout et chaque fois qu’il n’y en a pas). Encore une fois, nous interpellons le Ministère afin qu’il planche sur le cas de ces disciplines. Certes d’autres fédérations existent où il n’y a aucun problème puisque la
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