Rapport du pool des mediateurs pour le reglement de la crise du football : 6 recommandations pour l’unité et la paix au sein du sport roi

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stade Ouezzin Coulibaly
Stade Ouezzin Coulibaly

Au terme du processus conduit par les médiateurs, 6 principales recommandations ont été faites qui, selon eux, peuvent aboutir au règlement de la crise que  traverse le football Malien depuis 9 mois. Il s’agit entre autres de la reconnaissance du comité exécutif de la fédération malienne de football dirigé par le général Boubacar Baba Diarra ; la levée de toutes les sanctions qui frappent les personnes physiques et morales (clubs et dirigeants) ; le retour en ligue I des clubs relégués avec un accompagnement financier de l’Etat ; la gestion du football malien, en bon père de famille dans un esprit consensuel en évitant tout acte d’exclusion ; la gestion transparente des ressources financières et le respect de l’éthique sportive à tous les niveaux et enfin, la reprise des élections de la ligue de Bamako sous supervision du Comité Olympique, du gouvernorat et de la direction régionale des sports.

Ces recommandations ont été faites suite à l’adoption d’une feuille de route qui a permis au pool des médiateurs d’entendre des personnes ressources au siège du Comité ou en transport à leurs domiciles. Comme méthodologie, les médiateurs ont eu avec les protagonistes de la crise, des rencontres en deux phases.

La première a été consacrée à des séances d’écoute et de remise de documents qui ont permis au pool des médiateurs d’établir la chronologie des faits selon les deux parties avant de procéder à leur analyse à la lumière des textes en vigueur (statuts et règlements). Ces séances d’écoute ont concerné tous les acteurs de la discipline, à commencer par les protagonistes, en passant par les présidents des 9 ligues du Mali, les clubs, le directeur national adjoint des sports et de l’éducation physique (DNSEP) sans l’Union nationale des supporters des Aigles du Mali (UNASAM).

La seconde phase a été consacrée en une rencontre avec les deux parties (séparément) pour signifier à chacune les constats établis par les médiateurs sur chaque fait depuis octobre 2013 : de l’Assemblée générale élective de Mopti jusqu’au 30 octobre 2015.

Danny  

 

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5 COMMENTAIRES

  1. En attendant la privatisation des grands clubs malien, je pense que la solution propose’e est sage! Notre probleme est d’avoir des personnes en charge de gerer des institutions qui appartiennent a’ nos communaute’s, agir comme si lesdites institutions etaient leurs propriete’s prive’es!!! C’EST TRISTE DE CONSTATER QUE LA SAGESSE MANQUE DANS LEURS DEMARCHES. POUR EUX, IL S’AGIT DE DEMONTRER QU’ILS SONT AU SOMMET ET ILS SONT LES PLUS FORTS ET FONT CE QU’ILS VEULENT!!! TU FAIS CE QU’ELLES VEULENT SINON ELLES T’ECRASENT!!!! SINON COMMENT EXPLIQUEZ-VOUS LE FAIT DE FAIRE DESCENDRE LE DJOLIBA EN DEUXIEME DIVISION! ON S’EN MOQUE DES CONSEQUENCES ECONOMIQUES!!!!! TOUT COMME ON S’EN MOQUE DE LA POSSIBLE DESTRUCTION DE L’UN DES PLUS GRANDS CLUBS DU FOOTBALL MALIEN!!!!! It’s all about them. AS FAR AS THEY ARE CONCERNED, DJOLIBA AND MALIAN SOCCER TEAMS CAN GO TO HELL. THEY CAN CARE LESS!!!
    ALLAH KA BE’ SON HAKILI GNOUMAN NA!!!
    Il faut privatiser les clubs! Une fois que la privatisation est une realite’, les proprietaires des clubs peuvent choisir une personne qui mettra en place un bureau compose’ d’hommes et de femmes sages pour coordonner les activite’s lie’es au football malien!!!!

  2. Pourquoi reprendre la ligue de bamako ? Pourquoi ne pas reprendre la montée en D1 ? Ou bien la montée en D1 n’est pas un point de la crise ? mediation inachévée

  3. Bon travail par les médiateurs, mais un des points risque de poser encore des problèmes “LA GESTION TRANSPARENTE DES RESSOURCES FINANCIERES”. C’est ce qui est à la base de tous les problèmes qui secouent aujourd’hui notre football. Si cela avait été, je me demande comment tous ces déchirements allaient survenir. Les habitudes ayant la vie dure, je propose de mettre en place, indépendamment des sentinelles (personnes neutres) pour surveiller et rectifier au besoin et à tout moment les possibilités de mauvaises gestion. je suppose que ce qui aurait frustré l’autre camp, certainement c’est de voir sortir des millions à chaque fois sans avoir sa part personnel du gâteau, sinon ce n’est pas pour l’intérêt général. Que Dieu sauve le Mali des mauvais dirigeants

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