A propos du rejet du Bureau du C.E de la FEMAFOOT : La FIFA fixe l’ultimatum au 10 Février

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Siège Femafoot
Siège Femafoot

L’année 2014 démarre très mal du coté de la fédération malienne de football avec le rejet du comité exécutif dit « consensuel » formé le 20 Octobre 2013. Du coup le président de la fédération et ses complices responsables actuels du football malien viennent d’être rattrapés par leurs propres turpitudes en violant les statuts de la dite fédération.

 

 

 La nouvelle est tombée comme un couperet sur la tête de la fédération qui ne sait plus à quel saint sportif se vouer. Cela se comprend aisément car c’est un coup de poignard reçu en ce début de nouvelle année 2014 pour Baba Diarra et ses complices après la mise en place d’un bureau dit consensuel  en violation flagrante des statuts de la fédération malienne de football le 20 Octobre 2013. Du coup ils ont préféré trahir certains de ses fidèles compagnons de lutte qui ont leurs noms sur la liste et cela au profit de certains Rénovateurs qui ont été pourtant éliminés de la course à la présidence lors de l’élection.  Sur ces  neuf personnes  (Bréhima Diarra, Yaya Traoré, Kalilou Niang, Djouguel  Nango, Abdoulaye Doucouré, Amadou Sidibé, Lassana Kouma, Mahmoud Haidara, Mahamane Abba), certains avaient refusé de démissionner du tout.  Mais malheureusement pour les responsables de  l’instance suprême du football malien, la FIFA n’est ni naïve ni dupe et tient scrupuleusement au respect strict de ses statuts et règlements. C’est ainsi qu’après avoir reçu la composition du comité exécutif lors de la visite du président de la fédération au siège de la FIFA, l’instance suprême du football mondial a estimé qu’elle n’est pas conforme aux différentes listes envoyées avant l’élection du 8 Octobre 2013. Pourtant le président Diarra était parti avec son premier vice-président copté pour convaincre  Sepp Blatter  du bien fondé du consensus.

 

 

Mais hélas le président n’a pu fournir tous les papiers de démission des neuf personnes citées ci-dessus. C’est sans surprise que le bureau a été rejeté et on se dirige sans doute vers une nouvelle assemblée générale extraordinaire. Une justice pour les personnes exclues de force alors que leurs noms figurent bel et bien sur la liste élue à Mopti le 8 Octobre 2013. Selon nos informations bien introduites à la fédération, des tractations tous azimuts voire des pressions par personne interposée sont en train d’être menées pour obtenir les démissions des quatre autres personnes qui ont refusé de démissionner à présent. Ensuite les responsables de la fédération doivent compter sur les délégués pour valider  ce bureau. En plus de la composition illégale du bureau, la FIFA reproche aux responsables de la fédération d’avoir violé les statuts en créant une nouvelle commission anti-statutaire. Selon nos dernières informations, la FIFA a fixé la date du 10 Février prochain pour que le bureau fédéral puisse envoyer les démissions des neuf personnes supposées démissionnaires. Et une fois ces démissions à sa position, l’instance suprême du football mondial donnera la date d’une nouvelle assemblée générale extraordinaire  pour valider ou pas le bureau fédéral. Or vu le malaise actuel au sein du comité exécutif de la fédération (à noter  que trois clans se disputent farouchement pour la maitrise de la fédération), ça risque de chauffer beaucoup.  C’est dire que les 9 ligues régionales (3 voix chacune), les 16 clubs de première division (une voix chacun), les 9 clubs champions de 2e division (une voix chacun), les trois groupements sportifs (une voix chacun) vont de nouveau à choisir un nouveau président pour le bonheur du football malien.

 

 

Affaire à suivre…

 

 

Abdoul Bah

 

 

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3 COMMENTAIRES

  1. Voila nous somme le 12 Fevrier , et que c’est il passé ? je pense que Mr @tuer , vous aviez tort ! Et il faut savoir avouer sa défaite !
    Lors de mon embauche dans une usine de siege de bureau mon employeur a eu tort de renvoyer un de mes collègues et il a eu raison d’avouer sa faute ! Comme on dis faute faute avouée à moitié pardonnée !

  2. Nous ne voulons plus au Mali, quelque manigance que ce soit et quelque secteur de la vie que ce soit ! Les choses doivent se faire en toute légalité et en toute transparence, sinon exit…!

  3. N importe quoi ,cher ami tu te fatigue comme on dit le chien aboie et la caravane pase .mon cher tu es un rêveur continue a tromper tes lecteurs ,le 10 février arrivera tôt ou tard .

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