Suite à la suspension de l’Assemblée générale ordinaire de la Fédération malienne de football (Femafoot) vers 21h30 au Gouvernorat le dimanche 8 octobre 2017 liées aux mésententes entre les deux camps, le camp de Salaha Baby a tenu le lendemain lundi 9 octobre une conférence de presse dans son QG à Hamdallaye. Cette conférence de presse avait pour objectif de dénoncer certaines irrégularités, des violations de textes, et leur refus de ne pas participer à la suite de l’Assemblée générale à l’hôtel Olympe. Elle a été animée par Modibo Coulibaly, Abba Mahamane et Boubacar Monzon Coulibaly.
Les conférenciers sans passer par quatre chemins ont dénoncé les violations des textes en décernant les mandants aux partisans de Mamoutou Touré dit Bavieux. Pour eux, le dimanche la salle du Gouvernorat était pleine de loubards venus de nulle part qui n’ont rien à avoir avec le football. Ils ont évoqué que pendant toute la journée les travaux n’ont pas pu démarrer à cause des irrégularités et que le président sortant avait fait expert et en complicité avec son incompétent secrétaire général de la Femafoot. Nous avons contesté, ont-ils dit, la nomination de l’actuel secrétaire général de la Femafoot et nous continuerons de contester cela car il ne respecte pas les normes de la Femafoot et il ne connait rien au football ».
«Nous voulons que cette assemblée générale ordinaire de la Femafoot soit suspendue et reportée jusqu’à janvier 2018 pour que les choses soient mises au point», ont-ils souhaité. A leur pensée, l’Assemblée générale de la Femafoot était le 8 octobre et ce 8 octobre est passé donc il n’y aura pas un nouveau comité exécutif. Ils ont affirmé que si tout était à la norme, le candidat Bavieux n’aurait aucune chance de gagner les élections de la Femafoot, d’où, pour eux, les manigances orchestrées par le président sortant en faveur de son vice-président pour le couvrir en cas d’audit de sa gestion des 4 ans à la tête de la Femafoot.
Ils ont reconnu que les représentants de la FIFA et de la CAF ont été déçus par le comportement de la Femafoot car rien n’a été fait pour la bonne tenue de cette Assemblée générale. En outre, ils ont soutenu que pendant les quatre ans de la présidence du général Boubacar Baba Diarra à la Femafoot, le football n’avait jamais connu dans son histoire de telle crise et des magouilles. Pour eux, Baba n’est plus le président depuis le 8 octobre passé et que l’État doit prendre sa responsabilité.
Seydou Karamoko KONE
Monsieur Baby ,vous soyez réaliste. La présidence de la FEMAFOOT est une affaire de clan. A part
le cas Kola Cissé, presque tous les présidents de ces 10 dernières années sont des natifs de Bamako, pour ne pas dire, des autochtones.
SALAH BABY TU EST VRAIMENT MALADE.
UN ANTI SOCIETE MERITES PAS DE VIVRE LOIN MEME.
SI LE MALI EST POUR VOUS ET VOS FANILLE…THEN WAIT AND SEE.
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