Tout porte à croire que le 1er vice-président de l’actuel bureau de la fédération malienne de football, Mamoutou Touré est le candidat potentiel pour succéder à Boubacar Baba Diarra.Le 1er vice-président de l’AS Real de Bamako, non moins membre de la commission Marketing & T V de la CAF place sa candidature sous le signe de la réconciliation.
Mamoutou Touré a le profil de l’emploi. Il peut valablement prendre les rênes du football malien. Il a plus de 32 ans d’expériences dans le domaine du football. Pour preuve, il a occupé beaucoup de postes de responsabilités dans les instances du ballon rond. Il a des compétences avérées dans le monde sportif. Il est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Conscient de la crise que le monde malien sportif traverse à cause des divergences et des conflits inutiles, il permettra de ressouder, de calmer les esprits. Il peut servir de trait d’union entre les sortants qu’il ne faut pas jeter avec l’eau du bain pour avoir travaillé avec eux sans tremper dans la polémique. Les sortants ont du mérite qu’il faut leur reconnaitre et dont le Mali aura besoin. Par ailleurs, Bavieux fait figure d’homme neuf pour n’avoir jamais occupé le perchoir et faire valoir sa compétence.Sa vision et son ambition sont d’amener tous les acteurs dans le cercle du football à s’entendre, se parler, se retrouver, se concerter pour bâtir un grand chantier pour le développement du football malien. Bavieux une fois élu, promet de réanimer avec sa touche personnelle, puisqu’il se fait un gros travail déjà, les compétitions de catégories jeunes au niveau des clubs pour qu’en fait cela puisse constituer un vivier où on peut sélectionner des joueurs de catégorie d’âge réel pour compétir au niveau des cadets, des juniors, des espoirs et permettre que les compétitions se fassent régulièrement. Mamoutou Touré est un homme du sérail, le candidat des acteurs du football, sport roi, pas le candidat d’un pouvoir ou d’un clan.
Le DAF de la 3ème institution de la République se veut l’artisan de la réconciliation au sein du football. Une fois élu président, il fera en sorte que les dirigeants du football puissent être beaucoup plus proches des acteurs de jeux et amener les ligues régionales à se prendre en charge. Il fera du championnat malien, une référence dans la sous- région.
Touré fera du développement du football, son cheval de bataille. Il a un carnet d’adresses assez fourni. C’est pourquoi, il pourra développer le partenariat avec d’autres clubs étrangers voire, d’autres pays et partenaires.
Il est optimiste, sincère et il croit au Fair Play.
L’élection qui se profile promet d’être apaisée, crédible, transparente et calme puisqu’il n y a plus que deux candidats.Et la candidature de Bavieux s’annonce triomphale en octobre prochain pour le bonheur du football malien.Que le meilleur gagne et que la volonté du bon Dieu se fasse.
La Rédaction