Comme ce fut le cas de la dénaturation de la lettre envoyée au président du CS Duguwolifila le 22 décembre 2014, Baba Diarra reprend le même scénario en s’appropriant d’une lettre qui n’est adressée ni à lui, ni au secrétaire général de la fédération malienne de football moins à la FEMAFOOT. Et cela dans le seul but de détourner l’opinion publique des vrais problèmes qui assaillent le football malien depuis le10 janvier 2015. Mais une fois de plus Baba a beau être un Inspecteur Général de police du régime déchu d’ATT, il a beau être un ancien agent de la sécurité d’Etat sous le régime dictatorial du Général Moussa Traoré, il a dû oublier un détail à savoir qu’un crime n’est jamais parfait. Mais on n’a pas besoin de consulter les spécialistes et les fétiches pour découvrir la cette supercherie ubuesque. Mais dans un pays où la médiocrité et le mensonge sont magnifiés on ne peut empêcher Baba Diarra et ses agitateurs enragés de rêver.
Depuis la sortie médiatique des responsables des clubs et ligues majoritaires de l’assemblée générale ordinaire et face aux difficultés financières de la fédération malienne de football, Baba Diarra et sa bande enragée ne savent plus à quel fétiche se fier pour desserrer l’étau autour d’eux. Du coup ils ne leur restent que de monter des plans machiavéliques et sordides pour distraire l’opinion nationale. Mais l’Inspecteur général de police Baba Diarra a beau être un ancien agent de la sécurité sous le régime dictatorial du Général Moussa Traoré, son montage aussi grotesque, malhonnête que machiavélique a été démasqué en un laps de temps en lisant entre les lignes de cette lettre truffée de contradictions et d’incohérences notoires.
Des anomalies constatées sur toute la ligne!
On n’a pas besoin de réfléchir longtemps pour comprendre qu’une lettre qui n’est pas adressée à une personne ou à une association, ne peut en aucune manière décider de son sort. La preuve une lettre qui a été envoyée depuis le 12 Février 2015 censée favorable à Baba Diarra, n’a été publique que le 18 Février 2015. Il ne fait aucun doute donc que cette lettre adressée à Yéli Sissoko ne peut en aucune manière concerner Baba Diarra et sa bande à plus forte raison reconnaitre la légitimité du comité exécutif dirigé par Baba Diarra. Si tel est le cas il n’est un secret de polichinelle pour personne que toutes les correspondances de la FIFA concernant les fédérations sportives sont envoyées par FAX et mentionnées dans l’entête où dans les boites électroniques des fédérations et associations affiliées adressées au secrétariat général. Mais cette lettre du 12 Février 2015 pose problème car on se rend compte qu’elle a été envoyée dans la boite électronique de Yéli Sissoko (à noter qu’il avait écrit à la FIFA pour protester contre le fait qu’il n’a pas été autorisé à accéder à la salle de l’assemblée générale dirigée par Baba Diarra avant le clash) donc non adressée à la fédération malienne de football. Ce qui est étonnant dans le contenu de cette lettre c’est qu’on parle de destitution du président et de quelques membres du comité exécutif actuel de la fédération malienne de football alors que dans aucune partie des résolutions envoyées par les clubs et ligues majoritaires de l’assemblée générale ordinaire du 10 janvier 2015, ni dans les correspondances envoyées par Yéli Sissoko, il n’a été mentionné nulle part le mot destitution mais plus tôt de suspension du président Baba Diarra, du secrétaire général Yacouba Diarra et de l’invalidation de 10 membres coptés après l’assemblée élective tenue à Mopti les 7 et 8 Octobre 2013. Plus grave dans toutes les correspondances envoyées par la FIFA, les sigles de la fédération malienne de football sont toujours en majuscule et non en minuscule contrairement à ce qu’on constate dans cette lettre. Mais la contradiction est tellement flagrante lorsque dans cette lettre, il est mentionné que la FIFA continuera à prendre en compte tous les éventuels griefs en conformité avec les statuts. Il s’agit de savoir quels statuts évoque cette lettre car Yéli Sissoko qui est membre de la fédération malienne de football n’a fait que valoir les statuts adoptés le 22 mai 2011. Mais le mensonge le plus grotesque c’est lorsque cette lettre mentionne que la FIFA ne correspond généralement qu’avec les instances élues des associations membres et/ou les secrétaires généraux. Certainement Baba Diarra a une mémoire courte les faits sont patents pour être démentis. En effet c’est grâce d’abord à ses correspondances envoyées à la FIFA puis au TAS en 2013 qu’il a pu se présenter à l’élection de la présidence de la FEMAFOOT le 8 octobre 2013. Que dire des correspondances du président du CS Duguwolofila, Gaoussou N’Pa Sylla du 9 décembre 2014 et de Yéli Sissoko, président de la commission des finances avec des réponses appropriées sans être vilipendés ni agressés. Pour les observateurs avertis du football mondial certains propos agressifs truffés de fautes surtout tenus dans la lettre ne sont pas l’apanage de la FIFA mais plus tôt des conseils et des souhaits allant dans le sens de l’apaisement. « A lecture même… à cette soi-disant assemblée… Dans ces circonstances nous ne reconnaissons pas les décisions de cette soi-disant assemblée… » peut-on lire dans cette lettre. Mais là où la supercherie est flagrante c’est lorsqu’on compare le format de la signature(qui a été sans doute imitée) de cette lettre prétendant reconnaitre la légitimité du comité exécutif dirigé par Baba Diarra et sa bande enragée et les formats de la signature des autres correspondances du secrétaire général de la FIFA de 2010, 2011, 2012, 2013, 2014. La dernière correspondance envoyée au Mali date seulement du 31 décembre 2014 adressée au secrétaire général de la fédération malienne de football et au président du CS Duguwolofila. Autre remarque de taille le nom de l’instance suprême du football mondial est toujours écrit en sigle à gauche de la signature et non en toute lettre qui se trouve au dessus de la signature. Aussi l’adresse de la fédération est toujours mentionnée au bas de toutes les correspondances de la FIFA contrairement à cette lettre prétendant reconnaitre ‘’la légitimité’’ du comité exécutif dirigé par Baba Diarra. Autre anomalie constatée c’est la ligne paraissant dans toutes les correspondances de la FIFA contrairement à leur fameuse lettre. Au vu de tout ce qui précède, on ne peut s’empêcher de douter de l’origine de cette lettre.
Baba Diarra et sa bande enragée aux abois
La question qui se pose c’est de savoir comment un Inspecteur général de police peut-il détenir une lettre destinée à une autre personne jusqu’en faire usage. La preuve cette lettre n’a aucune ampliation ni à Baba Diarra, ni à son secrétaire général et ni à la fédération malienne de football mais plus tôt à la CAF. Et pour cause la correspondance de Yéli Sissoko a été envoyée à la FIFA avec ampliation à la CAF. Mais cela ne doit surprendre personne car Baba Diarra avait utilisé cette même méthode en manipulant la lettre envoyée au président du CS Duguwolifila pour faire savoir que la FIFA a débouté N’Pa Sylla de sa saisine. Pour les observations avertis du monde sportif et les sérigraphiques, cette lettre semble être rédigée au secrétariat général de la fédération malienne de football en témoigne le style dactylographique, les mots agressifs contenus de la lettre, le format de la signature et l’entête mal formulée. Et certains vont jusqu’à dire que Baba Diarra aurait bénéficié de la complicité d’un agent de la FIFA. Cette machination de Baba Diarra n’est pas une surprise pour tous ceux qui le connaissent depuis des années en rédigeant une telle lettre pour faire croire que la FIFA est avec lui car l’homme a été un agent secret de la sécurité d’Etat sous Moussa Traoré pendant 23 ans. Mais il a certainement oublié un détail à savoir qu’un crime n’est jamais parfait. En réalité tous ses agissements insensés démontrent que l’homme est totalement aux abois depuis l’annonce de l’arrivée des experts de la FIFA au Mali pour faire l’audit des fonds offerts à la FEMAFFOOT sans oublier qu’il avait promis aux responsables lors de sa convocation à Zurich la semaine dernière la reprise de l’assemblée générale ordinaire. Mais une chose est sûre et certaine même si la FIFA venait à débouter les clubs et ligues majoritaires de l’assemblée générale (ce qui n’est pas évident vu les preuves accablantes contre Baba Diarra), cette décision ne sera pas définitive car un recours est possible auprès du Tribunal arbitral de sport (TAS).
continuer à saisir s’il y’a même la cour suprême du sport mais ce comité est là pour ses 4 ans et les résultats sportives nous enchante Messieurs aigri sociale et égoïste de tous les temps.
si cela est vrais, on doit immediatement radier a vie cette federation, c’est une bande de menteurs et d’escrots.
Mr le journaliste toi tu es un bâtard contre les modiques sommes de Salah tu renies tes relations avec baba.
Ton article est insensé et le verdict de la FIFA est très claire.
Fils de pute
merci Mr le journaliste
Ce Mr Baba Diarra est capable de tout walaye
il est capable de trafiquer les documents pour se sauver la tete
Ne lahez pas on est diriere vous.
c’est un voleur depuis tres longptemps. sil n’avait pas d’interet il aurait demissionner depuis
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