Résultats sportifs, réalisations et actes de développement plus que satisfaisants. C’est ce que l’on peut retenir des performances réalisées par la Fédération malienne de football qui connaît une période faste consacrant la gloire du football national.
Même en voulant faire preuve de modestie, on ne pourrait se retenir face aux performances du football national, tant nos équipes nationales nous ont fait jubiler, maintes fois, en s’illustrant de façon remarquable aussi bien sur le plan africain que sur les terrains du monde.
En effet, jugeons-en par le palmarès :
Dans la catégorie U-17, nos cadets, durant cette période, se sont qualifiés à la seule phase finale africaine de leur catégorie où ils ont été sacrés champions d’Afrique, avant de participer à la coupe du Monde au Chili pour y enlever, avec brio, le titre de vice-champion du monde.
En catégorie U-20, notre sélection nationale, en campagnes africaines, a occupé la 4è place au Sénégal et la 3è mondiale en Nouvelle Zélande, avec à la clé le titre de meilleur joueur pour le jeune Adama Traoré.
En deux participations au CHAN, le Mali a joué les ¼ de finale en Afrique du Sud et a été vice-champion africain au Rwanda.
Quant aux Aigles Seniors, ils ont participé à la Coupe d’Afrique au Gabon (4è) et à celle de la Guinée Equatoriale où ils ont été éliminés, non sur le terrain mais par un coup un jeu de hasard suite à un tirage au sort dès le premier tour ; et pour la prochaine Coupe d’Afrique, ils sont déjà qualifiés à la phase finale avant même la fin des éliminatoires. Ce qui constitue en soi une première pour une équipe malienne.
A ces résultats techniques de valeur, nous pouvons récapituler les multiples réalisations visant le développement du football dans toutes les régions du Mali : les terrains de Baraoueli et de Kita ont eu un revêtement en gazon naturel ; le stade de Tombouctou a été équipé en gazon artificiel ; les travaux pour le revêtement du stade Kassé Kéita de Gao en gazon artificiel ont débuté.
Sans compter que le financement pour doter le terrain de Kidal d’une pelouse artificielle est déjà acquis.
Par ailleurs, l’éclairage électrique est une réalité sur les terrains d’entrainement du Djoliba Ac, du Stade Malien de Bamako, de l’As Réal de Bamako, de l’As Police, du Csk, des Onze Créateurs, de l’Asb et de l’Usfas.
A tous ces résultats, il convient d’ajouter les multiples formations pour les entraîneurs, tout comme il y en a eu en administration du football, arbitrage, médecine du sport dont l’objectif est de donner plus de temps de préparation à nos différentes équipes car notre climat ne favorise pas les entrainements sous un soleil ardent.
En guise de conclusion, disons que la Fédération malienne de football a vécu trois saisons intenses, riches en sensations fortes. Nous formulons les vœux qu’elle puisse poursuivre sur la même lancée, avec l’accompagnement des autorités compétentes.
ABH
Gros menteur, sans vergogne. Je suis à Hérémakono tous les jours. Pas d’éclairage. Nous savons qui a fait ces poteaux. Baba peut aller enlever ces ampoules surfacturées qui ne servent pas au Djoliba. Le mérite de nos réussites récentes en football sont à mettre au compte de nos nombreuses centres de formation et l’état malien qui consenti beaucoup d’efforts financiers pour la prise en charge des équipes nationales. Ces gens de la fémafoot ne font que profiter de la manne financière. Que diras tu de la fédération de basket qui fait nettement mieux avec moins du dixième des ressources mises à la disposition de Baba
Manifestement, c’est ce qu’on appelle “la mauvaise foie”.
Les rôles de l’État et de la fédération sont connus par tous. Le mérite revient à tous : ÉTAT, FMAFOOT, encadrements, les journalistes, les supporteurs, même toi à travers des critiques constructifs. Chacun a pleinement jouer son rôle.
Les centres de formation ont également contribué à l’atteinte de ces performances. Mais tout ça, il faut une gestion professionnelle, un leadership afin de canaliser toutes ces énergies, sans démagogies pour le bien de notre Football. Et c’est le rôle qu’a joué la fédération Malienne de Football.
Les centres de formation ont vu le jour depuis quelques années chez nous sans que cela n’impacte positivement le développement de la discipline, donc, il faut une bonne organisation un leadership du Bureau Fédéral pour capitaliser les acquis des centres de formation.
C’est loin d’être une question de personne, il s’agit d’une équipe d’hommes et femmes au sein de la fédération qui a permis d’atteindre ces résultats. Il faut avoir le courage de le saluer.
On ne peut pas occulter le travail abattu par la fédération dans les performances de nos sélections nationale, au niveau continental et mondial.
Bon courage à toi, afin d’accepter la réalité.
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