Disparu des scènes internationales dépuis un certain, l’emblématique Capitaine des Aigles du Mali, Mahamadou Diarra Djilla, signe son grand retour sous les couleurs du club Fulham, Angleterre. Causée par une grave bléssure durant la saison sportive 2008-2009 alors qu’il jouait dans le prestigieux championnat Espagnol avec le très célèbre club Real de Madrid, cette longue et grave bléssure de l’enfant de Medina Coura n’a pas atteint son ame de combattant et de guerrier. Il s’est battu comme le tout départ de sa carrière pour revenir au haut niveau, et aujourd’hui, encore Djilla peut s’estimer heureux d’avoir atteint cet objectif qui n’était pour autant pas évident. Sur cette page noire de sa carrière, Djilla à accepté de repondre à nos questions et sur son avenir en selection nationale, l’Interview!
L’Express de Bamako: Bonjour Djilla, comment vous vous portez aujourd’hui des mois après votre bléssure?
Mahmadou Diarra Djilla: Bonjour, je voudrais d’abord vous remercier pour cet interet. Par la grace de Dieu, je me sens tres bien moralement et physiquement.
L’Express de Bamako: Djilla, après une longue absence pour des raisons diverses, notamment de bléssures, vous ètes de retour plus engagé que jamais, quelle explication avez vous pour cette envie et ce courage pour le retour?
Mahmadou Diarra Djilla: Merci. C’est vraie. J’ai été abscent sur une longue periode pendant un long moment de ma carière du à cause de mes bléssures qui avaient aussi infecté mes Ischio-jambiers (Les muscles ischio-jambiers sont des muscles de la cuisse permettant la flexion du genou, ils sont antagonistes du quadriceps (servant à son extension). Ce sont des muscles poly articulaires qui vont de la hanche jusqu’à l’arrière du tibia et du péroné, Ndlr), et mes quadricept qui fontt la force d’un footballeur. Voilà pourquoi je n’ai pas pu finir les trois derniers mois de mon contrat avec l’AS- Monaco avec lequel j’avais signeé pour six (6) mois après mon départ du Real de Madrid. Malhereusement, je n’ai pas pu apporter grande chose à l’AS- Monaco à cause de mes blessures. Me revoilà aujourdhui en très bonne santé et près pour le football, Dieu merci.
L’Express de Bamako: Ce retour au haut niveau n’était pas évident pour la gravité de votre bleéssure lors de la saison 2008-2009 avec le Real de Madrid, ou avez vous eu toute cette énergie et volonté pour revenir?
Mahmadou Diarra Djilla : Cest vraie que jai eu un cout d’arret la fin 2008 jusqu’au mois d’août 2009, soit 10 mois d’abscence. Je puis vous assurer que cette période a été le pire moment de ma vie, dont j’avais cru à la fin mème de ma carrière de footballeur tant le défi était difficile à rélever. Après mon reveil dans la salle d’opération, on m’a fait savoir que mon genou était détruit à 85 pourcent, voilà pourquoi je pensais que c’etait fini, mais après 4 mois passés sur les bequilles et deux (2) mois de renforcement musculaire et 3 mois de réeducations, je me suis dis je peu réjouer et je dois revenir pour moi, pour ma famille et le nom que je porte.
L’Express De Bamako: Ce grand combat pour le retour a passé par l’AS-Monaco en 2011, par des stages de perfectionnement à Lyon avant d’atterrir à Fulham, alors, Djilla, comment tout cela s’est passé?
Mahmadou Diarra Djilla : Ah ! (Rire) Merci pour cette question, oui ce fut une expérience à part. Je vous assure. Avant cette bléssure, j’ai toujours eu la chance de jouer le haut de tableau dans ma carrière, et je me retrouve d’un coup dans une équipe ou on cherche à se sauver pour la descente en D2 (Deuxième division).
Comme j’ai dis je n’étais pas assez equilibré dans mes jambes pour pouvoir donne le maximum de moi mème, après une très longue bléssure et à la recherche de temps de jeu. Voilà pourquoi j’ai accepteé de signer a monaco pour six (6) mois, et encore après deux (2) mois et demi soit 9 matchs ,je me suis blessé à l’ischio-jambiers deux fois, et au quadricept une fois. Du coup, j’ai rateé le moment fort de la saison qui était les six derniers matchs les plus importants. Dommage que ce grand club se retrouve en D2, je regrette beaucoup. Je me sentais impuissant devant la tele.
L’Express De Bamako : Cette longue absence vous avez fait manquer certains grands rendez-vous au niveau de l’equipe nationale, notamment la CAN 2012, quelle appreciation faites vous aujourd’hui de l’equipe nationale?
Mahmadou Diarra Djilla : Oui c’est vraie cela m’a fait beaucoup de mal de ne pas pu ètre à la CAN, mais d’autres choses m’ont fait beaucoup plus mal que d’aller à la CAN. Cette autre chose est le staff technique de Alain Giresse qui n’a même pas cherché à savoir ou est ce que j’en étais avec mes problemes, a part sadia cisse, souleymane diallo, petit sory qui est en france (aix en provence) et trois messages de vieux pathe , sinon personnes ne savait si j’etais mort ou vivant ou si j’avais arreté le foot… je tiens à les remercier de tout mon coeur. Heureusement qu’ il y‘avait la presse internationale, mais il ne faut pas oublier aussi que j’ai été à Lyon pour m’entrainer pendant 7 mois, afin d’ètre prèt pour le mercato hivernal, et voilà pourquoi j’ai bien pu saisir l’occasion pour Fulham.
Il ne faut pas oublier que j’ai été appelé pour battir cette équipe nationale pendant 1 an et demi, soit 4 matchs des éliminatoires et 3 matchs amicaux… J’ai fais ce que je devais faire, mais c’était écrit comme cela, d’un coté on n’a pas été réconnaissant vis-à-vis de ma personne et de ce que j’ai fait… mais c’est le football et je le comprend bien.
L’équipe a fait de son mieux au Gabon même si personne ne s’y attendait a cela au Mali, ils ont été couragés, ils se sont battus et arracher la troisièmeplace, ils sont à féliciter car ils le meritent, et pourtant j’avais dis et parler sur ces jeunes joueurs et c’est pas fini, il faut les aider a grandir, ils peuvent mieux faire.
L’Express De Bamako : Dans la mème logique d’idée, l’équipe nationale vient de s’incliner face au benin pour les éliminatoires de la Coupe du Monde, quelle est votre idée sur le reste de cette compétition qui reste une occasion nette pour le Mali de participer à une coupe du monde?
Mahmadou Diarra Djilla : Je pense que c’est dommage qu’on a perdu contre le Bénin, sinon on devrait confirmer notre 3ème place de la can passée, par une victoire à cotonou au moins un nul, mais il faut aussi voir l’environnement qui fait une équipe, rien n’est facile dans le football malien et tout est possible car rien n’est joué, il reste 4 matchs, s’ils gardent le mème dynamisme, l’envie, la détermination et la rage comme à la can passée, ils peuvent se rattrapper contre algerie, moi, j’y crois, je sais qu’ils peuvent le faire.
L’Express De Bamako : Étant aujourd’hui une valeur sure du football malien à l’extérieur (Angleterre) quel est votre projet immédiat pour l’équipe nationale? Etes vous prets a revenir si les conditions le permettent?
Mahmadou Diarra Djilla : Ah ! (rire), le Mali c’est mon pays je suis né et grandit ici , malgré tout ce qui cest passé, pour oi c’est du passé à oublier, j’ai pas fini ma carrière tant que je joue au football si mon pays a besoin de moi la porte est ouverte, je dois beaucoup à ce pays, et je serai fier de porter ce drapeau vert jaune rouge.
L’Express De Bamako : parlant de futur, quel est l’avenir proche ou à moyen terme de djilla?
Mahmadou Diarra Djilla : Voilà, j’ai encore 1 an à Fulham, ce championnat me plait avec un rythme bien élevé, une ambiance époustouflante, un football total qui me va bien, et c’est à moi de prouver que c’est le mème mahamadou diarra djilla. Après on verra bien la decision du tout puissant, car le destin on ne fait que le suivre. Mais il faut le chercher aussi en travaillant dur et fort.
L’Express De Bamako : pour mettre fin à cet entretien, quel est votre dernier mot?
Mahmadou Diarra Djilla : Je voudrais très sincèrement vous remercier de m’avoir permis d’expliquer les raisons de mon absence. Aussi je voudrais vous dire que je suis toujours le mème, mais avec l’expérience de celui qui vient de loin… je vous donne rendez-vous au championnat Anglais…
In CH ALLAH!!!
Entretien réalisé par Moussa KONDO
mon capitaine je suis derriere toi,et je sais que TU VA APPORTER DANS NOTRE EQUIPE NATIONAL CE QUE NOUS AVONS PAS EU.ET JE TE SOUHAITE BONNE CHANCE POUR LE RESTE DE TA CARRIERE DJILLA.
Arrêtons d’être ingrats envers nos anciens représentants. Ne soyons pas méchants envers quelqu’un qui vit un moment difficile de sa vie mettons nous un peu a sa place et n’oublions pas qu’il a été un jour présent pour notre chère patrie.
Bonne chance djilla dans ta vie.
Surtout sache qu’une personne forte est celle qui tombe 7 fois et qui se relève 8 fois.
Je suis tout à fait d’accord avec Touré Jawa, Brazza et Diamana te tla nos journalistes manquent de formation au pire écrivez en bambara quoi que?
PS je n’aime pas le foot mais j’aime mon pays et j’ai suivi la CAN 2002.
Il faudrait qu’on se cotise tous pour payer un dictionnaire à la presse malienne. sinon, demandons leur d’écrire leurs articles en phonetique ou en langage SMS. Quant à moi,il y a longtemps que j’ai abdiqué. paix à l’âme de Molière et autre senghor… AMEN
Vraiment Djila l’equipe n’a pas besoin de tes services donne la chance a ces jeunes qui sont plus actifs et tenletueux que toi qui ne autres qu’un sac a probleme pour l’equipe nationnale
L’abondance de bien ne nuit pas. Cette constellation de grands footballeurs de notre pays doit se transformer en richesse. Malheureusement la gestion humaine n’a jamais été le fort de nos récentes federations. N’en voulez pas à Diarra de grâce, ses détracteurs. Je ne suis pas expert en football, mais si les spécialistes du REAL ont été convaincus de sa valeur et l’ont engagé, avouez qu’il a une maîtrise dans cette discipline. Je le.sais très fort, très doué. Je ne doute pas un instant que si des hommes désintéressés prennent en charge l’encadrement de ce groupe, l’EXCELLENCE sera au bout.
Aucune selection africaine disposant un Djila ne s’en serait privée. Sachons raison garder. Accueillons vite Djila s’il n’a plus ses ennuis l’ayant éloigné du terrain. Nous y avons tout à gagner.
Djila vraiment merci!!!! reste en marge de notre équipe, ne viens plus perturber notre quiétude.
Djilla,an yafara i ma.I ni cé ini baradji.Qant à toi Mr le journaliste,relis ta copie avant de la publier.
CHERS LECTEURS AIDEZ MOI A SOIGNER MON MAL.JE SOUFFRE JE NE SAIS COMMENT ME PRIVER DE CE MAL.J`AVOUE QUE CE MAL VA PERDURER TANT QUE JE RESTERAI UN MORDU DE MALIWEB.JE NE RECONNAIS PLUS LA VALEUR QU`INCARNE LE JOURNALISME AU MALI.EST CE QUE CE NOBLE METIER TEND VERS SA DEGRADATION?J`AI ENVIE DE VOMIR QUAND JE LIS CERTAINS ARTICLES.EST CE LA FAUTE AUX MACHINES OU AUX DIRECTEURS DE PUBLICATION?JE NE SAIS QUE DIRE.EST CE LE NIVEAU QUE REFLETTE L`EDUCATION MALIENNE?S`IL VOUS PLAIT TROUVONS UNE SOLUTION A CE FLEAU QUI TEND A SE PROPAGER ET SUCER LE SANG DES FANS QUI SE DONNENT LE TEMPS ET LE COURAGE DE PARCOURIR LA PRESSE DU MALI.MAIS QUELLE PRESSE?N`IMPORTE QUI DEVIENT JOURNALISTE J`ALLAIS DIRE JOURNALISER.QUELLE HONTE,QUE INDIGNATION!LA SEMAINE PASSEE M.NDIAYE DU PRETOIRE A ECRIT DU N`IMPORTE QUOI SAUF DU FRANCAIS.VOILA UN AUTRE NULARD DU JOURNAL EXPRESS DE BAMAKO,DU NOM DE MOUSSA KONDO,QUI SE DIT JOURNALISTE OU JE NE SAIS QUOI,VIENT DE METTRE A NU NOTRE SYSTEME EDUCATIF.J`AI DU MAL A CROIRE.VOILA QUELQUES INDIGNITES QUE J`AI RELEVEES:COUT D`ARRET,JE PEU,POUR POUVOIR DONNE,J`AI RATEE,J`AVAIS SIGNEE,BATTIR,ILS ONT ETE COURAGES,JE SUIS NE ET GRANDIT.CHERS FANS DE MALIWEB,S`IL VOUS PLAIT QUELLE SOLUTION FAUT IL ENVISAGER POUR ERADIQUER CE FLEAU?
Que de fautes!!!! SVP relisez vos articles!!! Quant à DIARRA, Merci pour ce que tu as fait pour le Mali, mais adieu puis que tu n’es plus bon. C’est cela le foot comme toi même le dit
c est bien Djilla courage mais franchement reste en dehors de notre equipe nationnale
Grand-frère je te souhaite le meilleur bat toi fort on a besoin de vous tous pour encadrer ses jeunes qui n’ont pas encore l’expérience des grands rendez-vous, courage tu es le Tchamantchè!
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