Sur le plan sécuritaire, la France porte à elle seule la responsabilité du désordre installé au nord du Mali à Ménaka et à Kidal, par son soutien aveugle à la CMA, ultra minoritaire et impopulaire face au GATIA. La détérioration du climat sécuritaire au Nord pousse les plus sceptiques à dire que la résolution de la crise Malienne n’est pas pour demain. Et que la partition du pays semble être programmée par l’ancienne puissance coloniale en vue de sauvegarder ses intérêts dans les années à venir au Mali dont elle croit à tort que seule la minorité touareg de la CMA peut lui assurer au détriment de l’Etat.
A Bagadadji, c’est après de chaudes empoignades et une dénonciation tous azimuts de l’opposition que la Déclaration de Politique Générale du Gouvernement, présentée par le Premier Ministre a été finalement votée par 116 voix pour et 21 contre. Le gouvernement est désormais mis devant ses responsabilités pour alléger la souffrance du peuple tant sur le plan sécuritaire que socioéconomique. Par ce vote de confiance des députés, le Premier Ministre et l’ensemble des membres de son gouvernement doivent se montrer capable de relever les défis qui attendent le Mali de l’après 15 mai 2015.
En Guinée voisine, c’est par une conférence de presse tonitruante que l’ex capitaine putschiste Moussa Dadis Camara a annoncé son retour au bercail et son intention de se présenter aux élections présidentielles d’octobre prochain. Par cette annonce le capitaine putschiste met la pression sur les autorités guinéennes en les mettant face à leur responsabilité d’accepter ou de rejeter sa candidature. Pour rappel, Dadis est le présumé coupable du carnage du stade du 28 Septembre de Conakry qui a fait près de 158 morts et d’innombrables blessés graves.
Sur un tout autre plan, le Président IBK, après avoir procédé au lancement de six mois d’activités pour corriger l’injustice historique faite au père de la Nation qui n’eut même pas le droit à des obsèques nationales met la Commission d’organisation du centenaire et le mémorial Modibo Keita devant leur responsabilité. Vivement fin décembre pour évaluer l’organisation du souvenir.
Des nul
Youssouf Sissoko MOGOLANKOLO . Honte à toi le journaliste
MOOOORIYAAAAAAAAAAA
Honte à toi journaliste
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