Le Mali à la CAN 2013 : Chronique d’un destin fatal prémédité, programmé et exécuté par une Fédération égocentriste…

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Au terme d’une compétition de niveau assez moyen, les Aigles du Mali ont manqué le coche en se contentant de la troisième place synonyme de la médaille de bronze. Comme en 2012. C’est une sorte de «surplace» qui doit interpeller les autorités compétentes. Chronique d’un destin fatal prémédité, programmé et exécuté par un département des Sports indécis, une Fédération égocentriste et un encadrement technique novice, tâtonnant et sans charisme.

 

Les Aigles du Mali médaillé de bronze
Les Aigles du Mali médaillé de bronze

N’ayons pas peur des mots ! Le Mali a échoué à la CAN 2013. Et cela par la faute de ceux qui gouvernent et dérivent notre sport roi : le Ministre de la Jeunesse et des Sports, la Fédération malienne de football et l’encadrement technique des Aigles. Et pourtant tous ceux-ci avaient la caution de l’opinion nationale pour mener à bien leur mission.

                      Union sacrée autour des Aigles

A l’orée de la CAN 2013, la situation sécuritaire et institutionnelle du Mali interpellait tout le peuple. A cet égard, tous les Maliens ont fait bloc derrière leur sélection nationale. Ils ont mis sous quarantaine les critiques. Ils ont laissé faire.

La presse nationale a emboité le pas. Elle s’est même autocensurée par rapport  aux couacs constatés : mauvaise préparation des Aigles, absence de matches amicaux, le choix des présélectionnés et des sélectionnés. C’est à la faveur de cette bonne ambiance que le Ministre de la Jeunesse et des Sports, Hameye Founè Malhamadane, a affiché les ambitions des Aigles du Mali à la Can 2013. «Nous avons été troisièmes lors de la dernière Can. Nous voulons faire mieux cette année», avait-il martelé. Avant d’engager une grande campagne de collecte de fonds. Tout baignait dans l’huile sauf qu’au même moment, le patron de la Femafoot, Hammadoun Kolado Cissé jouait à des règlements de compte en vue d’une campagne signe avant-coureur  pour l’assemblée générale élective prévue en juillet prochain.

              Les signes annonciateurs d’un échec 

Au siège de la Femafoot, toutes les attentions étaient focalisées vers les retombées de la CAN. Comment exploiter au mieux une performance des Aigles à des fins électoralistes. La  méfiance est au maximum. Au moment où tous les yeux étaient braqués sur la CAN et sur les Aigles, le président Cissé s’engage dans une purge des employés fédéraux qui ne lui sont pas favorables. Sadia Cissé, son conseiller sportif et Idrissa Traoré «Poker» (intendant des Aigles) sont priés de quitter leurs postes à travers des lettres de licenciement. Ces deux icônes du football national qui ont fait la fierté du Djoliba AC et de l’équipe nationale sont humiliés. Ce n’est pas la manière !

Pire, le président Cissé enfonce le clou en empêchant le directeur technique national, Mohamed Magassouba, d’être dans la délégation officielle du Mali à la CAN. Et cela, au nez et à la barbe du Ministre chargé des sports qui ne comprenait pas cette situation. Où est l’autorité ?

                     Un Ministre des Sports sans poigne 

C’est à la faveur d’une ultime réunion de la Commission nationale ad’hoc que le président de la Femafoot a défié le Ministre des sports.

Quand le ministre Hameye Founè a constaté l’absence  du nom du DTN sur la liste de la délégation ; il a interpellé le président de la Femafoot qui a posé son veto : «Si vous mettez le nom du DTN dans la délégation, je résilie son contrat», avait-il lancé au Ministre  sous l’œil hagard des membres de la Commission composée de grands cadres sportifs. Malgré les interventions des uns et des autres pour prouver le bien-fondé de la présence du DTN à la CAN, le président de la Femafoot reste inflexible sur sa position. Le Ministre des sports avale la couleuvre malgré lui. Incroyable ! Qui est le chef ?

Autre fait majeur de la gestion ministérielle, le changement de l’agence de voyage de l’équipe nationale. Azur  Voyage est dessaisi du dossier au profit d’une petite agence nommée Sonfatou. Conséquences, les Aigles et la délégation officielle ont vécu des moments de cauchemar sur le trajet Bamako-Dakar-Johannesburg-Port Elizabeth.

            Les balbutiements de l’encadrement technique

En 6 matches joués, le sélectionneur des Aigles du Mali, Patrice Carteron a aligné 6 équipes types différentes. Du match inaugural contre le Niger au match de la petite finale contre le Ghana, Carteron a tâtonné jusqu’au bout. A tous les coups, il a remanié son onze de départ de 3 à 5 joueurs. Après des matches de poules poussifs contre le Niger (1-0), le Ghana (0-1) et la RD Congo (1-1), l’encadrement des Aigles a brillé par ses choix approximatifs et inappropriés. C’est seulement lors de la 3e et dernière rencontre de poules que l’équipe du Mali livre son match de repère. Mené au score par la RD Congo dès la première minute sur penalty, le Mali réagit positivement et égalise à la 14’. Pendant cette première phase, Carteron a privilégié le jeune gardien Mamadou Samassa (Guingamp) en lieu et place du maître incontesté Soumaïla Diakité (gardien du Stade malien de Bamako). C’est en quarts de finale que Soumaïla Diakité retrouve sa place de N°1 dans les buts du fait de la suspension de Samassa pour 2 cartons jaunes évitables. Lire autres articles sur maliweb.net.  Contre l’Afrique du Sud, le Mali réalise son meilleur match en égalisant par le capitaine Seydou Kéita et en se qualifiant lors de la séance des tirs au but grâce à Soumaïla Diakité qui a repoussé deux tirs. En plus dans le match, il avait sauvé trois occasions nettes de but. En demi-finales face au Nigeria et contre toute attente, Carteron déloge Soumaïla de la cage  et boute hors de la pelouse l’expérimenté Adama Coulibaly entre autres. Au total, l’équipe est remaniée de 4 joueurs. La sentence est fatale. Le Mali s’incline (4-1) face au Nigeria de Stephen Keshi. Une défaite humiliante qui a mis à nu l’inexpérience et les capacités tactiques de Patrice Carteron qui dit «assumer ses choix». C’est le Mali qui a perdu ! Le sélectionneur français des Aigles du Mali devrait réviser ses cours d’entraîneur et s’inspirer de la maxime : «On ne change pas une équipe qui gagne.» Six matches, 2 victoires, 2 défaites, 2 nuls, 7 buts marqués, 8 en encaissés. Tel est le bilan des Aigles à la CAN 2013. En ratant l’occasion de jouer une finale et peut-être de remporter le trophée continental pour la première fois de leur histoire ! Les Aigles  se contentent cette année encore de la 3e place. Que de regrets pour Seydou Kéita et ses coéquipiers.

La grosse bêtise fédérale

En empêchant le directeur technique national, Mohamed Magassouba de faire le déplacement à la CAN, la Femafoot commet du coup un crime contre le football malien. Un scénario qui oblige le sélectionneur Patrice Carteron à se faire assister sur place par les membres du Comité Exécutif  de la Femafoot qui ne sont pas des techniciens en la matière. Ceci explique donc le tâtonnement dans la constitution du onze de départ, le mauvais choix des hommes, mauvais choix tactiques entre autres. Le constat est amer ! Et dire que toutes les autres sélections nationales bénéficiaient d’une assistance technique d’un collège d’entraîneurs et d’anciens joueurs.

On comprend alors, en faisant l’état des lieux, que la Femafoot voulait son trophée à elle seule. Elle l’a hélas appris à ses dépens.

 Le pilotage à vue des dirigeants

Le département des Sports et la Femafoot ont brillé par leur amateurisme et leur improvisation dans la gestion de l’équipe et de la délégation officielle. Déjà lors de l’escale de la délégation à Johannesburg, il a fallu près de 2 heures pour loger les gens à l’Hôtel City Lodge. Aucun éclaireur du Ministère ou de la Femafoot n’était à l’accueil. Que dire du  ralliement de Port Elizabeth avec des départs en détails. On ne peut passer sous silence la fameuse «affaire Yatabaré».

Pour avoir simplement demandé à l’entraîneur de lui accorder beaucoup plus de considération en lui donnant un temps de jeu, le jeune Sambou Yattabaré (Bastia) a été incompris. C’est pourquoi il a demandé de rentrer en France pour se mettre au service de son club.

Il ne comprenait pas pourquoi le coach faisait jouer des joueurs blessés sans entraînement (tel que Samba Sow) alors que lui était au top. En réponse à sa doléance, le Ministre Hameye Founè Mahalmadane et la Femafoot ont tranché sans discernement. Un billet d’avion lui a été immédiatement offert pour qu’il parte. Comme un colis encombrant ! Hélas, aucun responsable ne l’a accompagné à l’aéroport de Port Elizabeth. Sambou a quitté ses coéquipiers se sentant tel un orphelin. Que dire du voyage de la délégation de Port Elizabeth à Durban pour le 3e match de poules des Aigles. Si le Ministre est parti par avion avec quelques officiels, son garde du corps a dû emprunter  le bus avec les autres. Les 1200 km reliant les deux villes ont été courus en 14 heures d’horloge. On peut se poser la question sur les vraies raisons de la présence du garde du corps du Ministre. La dernière grande bourde est la gestion de l’après-match de la demi-finale contre le Nigeria. C’est seulement dans l’après-midi du lendemain de la gifle nigériane que le Ministre a tranché. Il décide alors de renvoyer presque toute la délégation à Bamako le lendemain vendredi 8 février. Par ailleurs, il se refuse d’assister quiconque qui se permettrait de se rendre à Port Elizabeth pour la petite finale contre le Ghana prévue le 9 février.

 Un sauveur nommé Amadou Diakité

C’est dans ce flou total que notre compatriote Amadou Diakité (membre du C.E de la CAF) tend la perche à certains journalistes maliens qui l’ont sollicité pour couvrir le dernier match du Mali. C’est ainsi que l’ORTM (Kalifa Nama Traoré et son cameraman Ibrahima Coulibaly), Le Katois (Mamadou Massa Diallo) et Match (Baba Cissouma) ont bénéficié de 5 places dans l’avion navette de la CAF. D’autres Maliens ont bénéficié de la même grâce de M. Diakité : l’Honorable Housseyni Amion Guindo, Racine Thiam de Orange-Mali et Momo de Paris (ami des joueurs).

Au Mandela Bay Stadium de Port Elizabeth, le Mali a décroché la médaille de bronze en battant le Ghana (3-1). Un évènement entièrement couvert par la presse malienne. Comme en temps normal, elle a largement tendu le micro aux joueurs, au sélectionneur, à la Femafoot et au Ministre de la Jeunesse et des Sports.

Le  ciel est tombé sur la tête

Le Ministre chargé des Sports et la Femafoot voulaient faire de la CAN 2013 un véritable trophée de guerre. Hélas, les choses se sont passées autrement. Le département de tutelle et la Femafoot ont subi une vraie culottée. Malgré tout, le Ministre Hameye Founè et le président Cissé se glorifient de la 3e place des Aigles. Ils ne veulent pas parler d’échec. Ils mettent d’ailleurs en exergue l’absence de la Zambie (championne sortante) et la Côte d’Ivoire (finaliste 2012). Malheureusement, ils oublient ou ne savent pas que le vainqueur  de la CAN 2013 (le Nigeria) était absent de la Can 2012, le Burkina Faso (finaliste 2013) n’a pas même passé le 1er tour en 2012 (3 matches, 3 défaites, 0 but marqué). Alors qu’ils arrêtent d’endormir le peuple.   Trois choses s’imposent urgemment : faire l’évaluation objective de la CAN 2013 ; tirer les leçons sans complaisance et élaborer un chronogramme concis et précis pour l’avenir.

On a tout vu dans cette odyssée des Aigles du Mali en Afrique du Sud.

 

                                  Baba Cissouma, envoyé spécial à la Can 2013

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28 COMMENTAIRES

  1. Dommage que le malien éprouve toujours un amour fou pour ses propres bourreaux! Que n’a t’on pas dit et vu lors de l’élection du président Cissé, quand le pauvre Salif K se faisait vilipendé, piégé et “débarqué” à l’occasion d’une élection trafiquée et commanditée par le piètre général ATT? Et dire que les premiers en ligne dans ce combat indigne de l’époque étaient des anciens joeurs aigris appuyés par certains journalistes obscurs!… Alors les anciens joueurs débarqués de la FEMAFOOT par Cissé n’ont pas le droit d’être surpris par quoi que ce soit, puisqu’ils n’ont en général jamais su être solidaires pour pouvoir s’imposer!… Et enfin rien ne doit étonner quelqu’un dans l’attitue de H.K Cissé: c’est un fidel compagnon du ”SOUDOUBABA” du général fanfanron ATT et qui est passé plus tard pour être un de ses fifesls mafiosos… “fouugôtô”… Salut et à bientot!

  2. Ce Baba n’est même pas crédible pour parler ainsi de la fédération Malienne de Football.

  3. Un bon article qui malheureusement ne servira à rien. C’est depuis le depart de Giresse a cause de quelques miettes et pour les interêts d’un groupe d’individus égocentriques que le problème s’est posé. Sinon comment comprendre les hesitations lors de la CAN, le manque d’initiative qui se voyait sur le visage de Carteron et son depassement par les évênements quand le Mali était en difficulté. C’est vraiment domage!!!

  4. il nous faut un changement complet au niveau du staff,ils ne visent que leurs interét personnelle .vraiment c’est une desolation .

  5. Soyons sincères, entre nous qui peut expliquer objectivement pourquoi le mali a changé d’entreneur après la CAN 2012? En fonction de la reponse, on pourra situer certaine responsabilité.

  6. Pourquoi quand l’equipe perd on accuse toujours x ou y la federation, l’entraineur, le ministre en charge du departement. Quand les aigles gagnent dites-moi qui feliciter ?
    Faites nous une analyse pragmatique du jeu qui nous permet d’avancer.Sinon c’est mieux que vous rester sur place que les selectionnés aillent jouer sans la presence des journalistes.

  7. Comme s’il fallait s’attendre a un miracle quelconque! Une equipe d’un homme, seydou keita, au lieu d’une equipe de onze hommes. des joueurs vieux. des joueurs pas titulaire dans leur club. des jours jouant dans des champinats de petit niveau. des joueurs techniquement au dessous de la moyenne. arretons de rever!

  8. Désolé! nos journalistes ne font plus confiance. Ils font leurs articles suivent ceux qui les donnentb de l’argent. Au lieu de dancer en public en AS pour manifester leur joie suite à ladefaite de son pays, ils devaient plutot pleurer. Ils ne sont pas des patriotes. Félicitons plutot nos aigles valereux

  9. VOUS SAVEZ LE MALI EST UN PAYS COROMPU . LA REALITE DU FOOTBOOL MALIEN. NE VA PAS SE RESOUDRE AVEC CES ENCIENS DIRIGEANT .IL FAUT TOUT ENLEVER.
    1.AMENER DES ENFANTS DE COEURS QUI AIME CE PAYS
    2.AIENT CONFIENCE AU ENCIENT FOOTBOOLEUR
    3.AMENER DIBRIL DRAME QUI DEJA FAIT CES PREUVES .EX LE NIGERIA
    AIENT CONFIENCE EN SOIT POUR RECONTRUIRE CE PAYS
    SINON ON NE VA A NUIL PART QUE DE CE HUMULIER ENTRE NOUS CHAQUE CAN

  10. Est ce vraiment un journaliste, de quelle école est il sorti? Il est important que les journalistes maliens arrêtent de faire le griot pour se faire prendre en charge; les rédactions et l’ORTM doivent avoir leur propres moyens pour se déplacer se nourrir se loger gage de liberté d’opinion et d’expression. La presse ne sera jamais libre et indépendante si elle se fait prendre en charge par les pouvoirs publics et autres lobby privés.

  11. Cet article est nul et le Journaliste est incompétent, irresponsable, et incapable de produire une analyse objective, en chevauchant son émotion. La raison doit s’imposer dans l’analyse journalistique surtout sur des sujets touchant l’orgueil national. Ce journaliste doit retourner à l’école pour apprendre qu’il doit garder la raison au lieu d’être émotif dans son métier. Sur le fond du sujet, je pense qu’au regard du parcours des aigles, tout observateur averti peut estimer une moisson satisfaisante pour les nôtres qui méritent félicitations au lieu de nourrir une haine viscérale entre maliens. C’est aussi cela au Mali, la méchanceté gratuite où on cherche toujours un coupable sans se remettre en cause. C’est cette attitude qui est malédiction???

    • Cisse, c’est toi qui es incompétent sinon pas le journaliste. S’il a touché à ton talon d’Achille, dit le c’est tout. On ne peut continuer à caresser des dirigeants insouciants dans le sens du poil. Trop c’est trop. Qu’ils aient pitié de ce pays maintenant et pour cela mettons l’intérêt public devant l’intérêt privé.
      Bullshit Man!!!!!!!

    • Je ne sais de quel Cisse (femafoot) tu es, mais Sissouma que je ne supporte pas naturellement n’a fait qu’un travail remarquable. Au contraire, il a fait bonne analyse et professionnelle (pour une fois.
      Vaut mieux l’écouter que d’essayer de faire encore la “bouche dure” soyez humble si vous avez encore un peut de dignité et soyez honnête vis à vis de vous même et du mali si le ridicule vous dit quelque chose encore. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

      • Quelle grandeur peut on tirer de l’humiliation de son prochain? Vous m’aviez insulté pour mon opinion, je ne me rabaisserais pas. Je suis CISSE en vacances au Mali et vivant travaillant à Rome en Italie. Je n’ai aucun parent dans la sphère politique encore moins de famafoot car je suis soninké de Kayes. Ce qui est évident, le Mali n’avait pas la meilleur équipe du tournoi donc doit être réaliste avec la performance de joueurs moyens. Que diront le ivoiriens, les marocains, algériens, les congolais ou Tunisiens qui avaient pourtant des effectifs qualité mieux que les nôtres. Alors soyons objectifs de ne pas jeter l’anathème sur les autres et travailler dans le respect mutuel que de nourrir la haine. Depuis toujours on reproche les échecs à la fédé ou aux coachs, mais vous devriez savoir que le foot au mali a connu de grands progrès ces dernières années. Tout ce tient dans un Etat et ce progrès est lié au progrès général du pays. Continuez à travailler et arrêtez de vous dresser 1 vs 1.

  12. Comment se fait – il que à quelques mois seulement de la CAN on fait tout pour contrainte un entraineur à partir qui a tout de même fait ses preuves et qui a reussi a avoir une équipe homogène.
    C’est aberant nos dirigeant sont des apatrides quant moussa konaté une personne très orgueuilleuse apparait à la télé pour raconter des bobards les maliens devrait sortir et marché pour dire non au depart de giresse “on ne change pas une personne qui gagne”.

  13. Nous sommes des complices de ces goujats car nous restons passifs sans jamais lever le petit doigt.Nous avons le devoir morale de décriés non seulement leurs incompétences mais de faire en sorte qu’ils quittent leurs fonctions.Tant que les maliens ne prendront pas leurs destins en mains ils se seront ridiculisés à chaque fois sur la scène nationale ou internationale.Le MALI ne mérite cette décadence.

  14. Y’a certaines personnes qui ont payé des journalistes pour “descendre” les aigles et surtout pour présenter un certain Amadou Diakité comme l’homme le plus compétent du Mali. Ok pour faire la promo de Amadou Diakité mais pas sur le dos des joueurs. Combien d’équipes ont ramené deux années de suite la 3ème place. Des équipes comme la Côte d’Ivoire sont plus fortes que nous sur le papier avec plus de stars n’ont pas atteint la demi-finale. Donc monsieur les journalistes faites votre “djéli” pour Amadou mais de grâce ne crachez pas dans la soupe. Je crois ne pas me tromper mais le peuple malien dans sa grande majorité est fière de cette 3ème place. Perso, Amadou n’a rien fait d’extraordinaire en transportant des journalistes. Il n’a fait que son devoir et surtout que ça ne lui coûtait pas un sou.

    • comment peu se contenter d’être 3eme 2 fois de suite. En quoi un pays comme la Zambie ou le Burkina vaux mieux que nous et pourtant ils ont fait mieux que nous. Le malien doit combattre ce complexe qui veut qu’on croit toujours que autres vallent mieux que nous. En bambara en dit qu’il faut avoir du “coeur”.

  15. tt ça la faute au actuel ministre qui est membre de la federation. sinon tt le monde a apprécié le ministre djiguiba en 2012.

  16. Rien d’étonnant, en effet, coulibaz. Il faut saluer le courage du journaliste et espérer qu’effectivement, l’évaluation de la participation du Mali à la CAN sera faite, et les conséquences tirées.

  17. Ca vous etonne? Le cadre malien a tjrs ete comme ca. Ils ne pensent qu’a eux-meme. L’intret general=0. Comment nous en sortir?

    • Salut à tous, tu poses la quest° comt ns en sortir? Moi je dirais tout simplement que la solution est entre nos mains (La population. Un exemple: L’Entraineur sortant (Alain Gerest),il devrait partir? je dis non.Si on s’etait imposer ouvertement à son depart,je penses que ces dirigents allaient comprendre qu’ils ne peuvent plus faire se k’ils veulent ds ce pays. Ils ne savent pas qu’on souffre de ses manques de resultats de Equipe Nationale ou ils en fichent. En tout cas si on veut bien k’on est des bons resultats avec notre equipe il faut qu’on se lève.

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