La Liga abaisse le plafond salarial du Real Madrid et du FC Barcelone

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La pandémie de Covid-19 force les grands d’Espagne à se serrer la ceinture. La Liga, l’organisme qui gère le football professionnel en Espagne, a abaissé presque de moitié le plafond salarial du FC Barcelone et du Real Madrid pour la saison 2020-2021, selon les chiffres publiés mardi.
 
Le plafond salarial du Barça (la somme que le club a le droit de dépenser en salaires de joueurs, membres de l’encadrement et l’équipe réserve) passe ainsi de 671,4 millions d’euros en 2019-2020 à 382,78 M EUR cette saison, ce qui oblige le club catalan à négocier de nouvelles réductions de salaires avec les joueurs et l’encadrement professionnel.
 
Lors de l’exercice 2019-2020, la formation blaugrana a dépensé 532,4 M d’EUR en salaires, d’après le budget publié par le club. Comme le Barça, le Real Madrid voit aussi son plafond salarial largement diminuer: il était de 641 M d’EUR en 2019-2020, il sera de 468,5 M d’EUR cette saison.
 
Le plafond salarial, calculé en fonction de diverses variables, est un indicateur utilisé par La Liga pour exercer un contrôle économique sur les 42 clubs professionnels de première et deuxième division, qui ont tous vu leurs plafonds baisser. La pandémie a conduit à la fermeture des stades, des musées de clubs, des boutiques ou au remboursement des abonnements, et a durement frappé les comptes des clubs, qui doivent désormais trouver des moyens pour réduire leurs frais.
 
“Aujourd’hui, pour finir la saison, de manière globale, il manque 490 millions d’euros au football espagnol pour payer les frais des clubs”, a expliqué Javier Tebas, le patron de La Liga, samedi lors d’un colloque organisé par le journal sportif espagnol Marca.
 
“S’il n’y a pas de public (dans les stades) jusqu’à la fin de la saison, le manque à gagner serait de 707 millions d’euros. Aujourd’hui, on a environ 600 millions d’euros en moins à dépenser”, a ajouté Javier Tebas, soulignant le fait qu'”il y a des clubs qui ont besoin de réduire leur masse salariale ou de vendre des joueurs”.
Dans cette optique, le FC Barcelone a entamé des négociations avec ses joueurs pour une diminution des salaires, tandis que la presse espagnole a avancé la semaine dernière que le Real Madrid envisagerait également d’en faire de même. 
Par: 7sur7.be

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1 commentaire

  1. Le constat a sonné comme le glas : « un Tunisien sur deux souffre de troubles mentaux » ! Sauf que ce verdict révélé au grand public en octobre 2011, date en réalité de 2005… Si, 8ans auparavant, nous parlons de l’atteinte de la moitié des Tunisiens par des troubles mentaux, où-en est-on aujourd’hui ?

    En 2005, l’OMS révèle l’atteinte de 50% des Tunisiens par des troubles mentaux suite à une enquête.

    Dr Imed Regaïeg : Parler d’un pourcentage de 50%, est déjà énorme tant on parle de la moitié de la population ! Mais attention, il s’agit de celle qui est allée consulter ! Donc les chiffres doivent, malheureusement être beaucoup plus importants ! Oui, il y aurait sûrement une augmentation aujourd’hui de ce pourcentage.

    Et lorsqu’on parle de troubles mentaux, ceci englobe aussi bien les maladies névrotiques que celles psychotiques. Pour se référer aux statistiques de l’OMS, l’on parle d’une grande majorité de 37% qui souffrent de troubles se relatant à la névrose. Et cette dernière fait que le malade soit conscient de son mal-être. En revanche, ceux souffrant de maladies psychotiques ne le sont pas ».

    On parle de 50% de troubles mentaux.

    On parle de troubles mentaux lorsque le sujet souffre d’un problème d’adaptation ou de désintégration et que ses comportements témoignent d’une incapacité de s’adapter à la société. Cette inadaptation sociale peut mener à plusieurs répercussions : incapacité d’avoir des relations sociales, affectives, familiales et professionnelles stables.

    Le sujet pourrait, donc à la longue et en l’absence de traitement, rompre ses études, quitter son travail, faire une fugue, quitter sa famille, nuire à ses partenaires… Bien sûr, il va également souffrir d’anxiété, d’angoisse, de stress, voire de dépression nerveuse avec tout ce que cela peut impliquer comme maux physiques et douleurs mentales.

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