Les tournois se suivent et se ressemblent pour Mohamed Diaby sur les rings de kick-boxing. En effet, le 22 novembre 2014, ce jeune talent a gagné son combat lors de la 21e soirée-gala de la «Nuit des Champions». C’était au Palais des Sports de Marseille (France).
A l’unanimité des juges, Mohamed Diaby l’a emporté face à Anthony Fremont, Le Marseillais. Selon des confrères et de nombreux témoignages, ce fut «un très beau combat».
Et pourtant il a en commun avec son adversaire du jour, Anthony Frémont, la pratique de la savate à haut niveau. Toutefois, dans ce domaine, Mohamed est le plus titré.
Les observateurs ne sont plus surpris des performances de Diaby, multiple vainqueur de tournoi, champion du monde dans plusieurs disciplines pieds-poings, y compris la savate boxe française.
«Diaby est un monstre d’intelligence sur le ring, un des plus beaux techniciens de ces 10 dernières années», commente un confrère spécialisé dans le kick-boxing.
Et Marseille est une ville qui lui réussit très bien pour y avoir remporté plusieurs TK2, le tournoi des Gants de Bronze dans lequel il avait été époustouflant, survolant tous ses combats sans vouloir manquer de respect à ses adversaires ce jour-là.
Comme le disait son Manager, Madioula Aïdara, à la veille de ce combat, «Mohamed y jouit d’une belle notoriété même si Anthony Frémont est Marseillais et à Marseille on aime les enfants du pays».
Elle ajoute, «qu’à cela ne tienne, Mohamed s’est suffisamment produit à l’extérieur pour ne pas être gêné par cet aspect des choses. Il a derrière lui une énorme expérience du combat pour ne pas se laisser troubler. C’est un vrai styliste qui sait s’adapter, utiliser à merveille ses techniques de jambe… Il dégage également une facilité déconcertante».
Et comme c’est le cas depuis quelques années, Mohamed Diaby n’a pas déçu. Il a comblé les attentes de ces fans en livrant un combat à la hauteur de ses talents !
Moussa Bolly
Je suis tellement surpris de constater que personne ne réagit à de tels résultats qui devraient nous intéresser au plus haut niveau.
Aujourd’hui, les arts martiaux au Mali sont en train de mourir d’asphyxie et d’égoïsme. Depuis longtemps, les fédérations d’arts martiaux végètent aux mains de gens qui souvent, ont fait tout ce qu’ils peuvent pour leurs disciplines, et dans certains autres cas, dans les griffes et entre les crocs de certains escrocs et vagabonds du sport, véritables fossoyeurs, des prédateurs sentant leur crépuscule venir, et avec lui la déchéance et le souffle de la vérité contre lesquels mêmes leurs hauts grades jamais égalés en Afrique ne pourront Rien. Certains dirigeants ne sachant même pas faire la différence entre ‘’anciennes gloires’’ et membres de bureau fédéral se sont retrouvés, pour leur honte, à la rencontre d’IBK avec les anciennes gloires du sport malien ; le temps ne leur permettant pas de faire leurs propres louanges au Président, ils ont dû se contenter du repas offert, puisqu’inconnus au bataillon. Faute de gloire, il faut se remplir la panse.
Faute de résultats, ces Hauts gradés, dirigeants éternels de certaines disciplines sont aujourd’hui obliger de lorgner à l’extérieur (parfois jusqu’en Amérique) pour essayer de redorer leur blason en essayant d’exploiter des événements fictifs qui seraient organisés par des aventuriers soudainement devenus Grands Sensei sous d’autres cieux alors qu’ils n’ont pas laissé un seul souvenir au pays.
Ceci rappelle l’année où un certain dirigeant a tenté d’usurper la victoire du jeune Sacko (Fousseyni) Champion d’Afrique aux Jeux africains d’Alger. En guise d’accueil, ce jour donc, en guise d’accueil au champion, il a substitué son Yoseikan training dirigé par la même fille d’Alger, qui se mettait en valeur dans un slogan de publicité Yoseikan entamé et chanté par le maitre des lieux lui-même et entonné par des marionnettes ; une cérémonie douchée par une pluie perfide et persistante (les larmes de Satan) dans un décor rendu putride par les effluves d’odeur tout alentours prenant à la gorge ces irréductibles de la cause du maitre, ceux-là mêmes qui nous disaient de démissionner si on ne peut accepter l’INJUSTICE. Ils sont du CNOSM et étaient de la DNSEP. Le bureau de la fédération n’a JAMAIS montré de reconnaissance ni à Fousseyni, ni à aucun membre de la délégation. Au contraire, le bureau a décidé de limoger le DTN (pour excès de résultats ironiseront certains) et à force de regrets et d’incompréhensions, à pousser Fousseyni à s’expatrier. Quand le journal les « ECHO » du 19 Juillet 2007 comparait Fousseyni à Namakoro NIARE et Lamine TOURE, au sein de la FEMAKA même, se trouvait un responsable sportscidaire qui faisait TOUT pour enterrer vivant le garçon. Mais le nom de Fousseyni Sacko revient encore le 7 Septembre 2011 dans le site de la Primature du Mali où son exploit est cité de nouveau et en première ligne. Mais qu’en-a-t-il retiré ? Rien à cause de la haine, la haine, moteur de toutes les destructions ; la haine d’où partent les volcans les plus hauts, les plus brûlants, les plus dévastateurs. Comment voulez-vous amener les jeunes à se sacrifier pour ce pays quand, à un certain niveau de la chaîne de décision et du management, se trouvent des responsables talentocides ? des responsables résolument déterminés à magnifier la médiocrité et à étouffer les espoirs et les espérances ? Combien de jeunes talents ont été frustrés dans leurs ambitions sportives, persécutés et étouffés qu’ils sont par la faute de responsables qui pensent que les affaires de notre sport sont avant tout une affaire de personne au lieu d’être la chose publique. Voici pourquoi aujourd’hui, l’on peut affirmer sans risque de se tromper que le karaté ne se conjugue qu’à un seul temps, le temps qu’il fait à Quinzambougou. Mais ceci est de notre faute à nous tous.
Felicitations.Je suis tellement surpris de constater que personne ne réagit à de tels résultats qui devraient nous intéresser au plus haut niveau.
Aujourd’hui, les arts martiaux au Mali sont en train de mourir d’asphyxie et d’égoïsme. Depuis longtemps, les fédérations d’arts martiaux végètent aux mains de gens qui souvent, ont fait tout ce qu’ils peuvent pour leurs disciplines, et dans certains autres cas, dans les griffes et entre les crocs de certains escrocs et vagabonds du sport, véritables fossoyeurs, des prédateurs sentant leur crépuscule venir, et avec lui la déchéance et le souffle de la vérité contre lesquels mêmes leurs hauts grades jamais égalés en Afrique ne pourront Rien. Certains dirigeants ne sachant même pas faire la différence entre ‘’anciennes gloires’’ et membres de bureau fédéral se sont retrouvés, pour leur honte, à la rencontre d’IBK avec les anciennes gloires du sport malien ; le temps ne leur permettant pas de faire leurs propres louanges au Président, ils ont
Yesssssss frere Moh, barvo-bravo et bravo. Une fierte nationale et internationale. Bon courage pour la suite Mohhhhhhhhh 😉 .
Big upppp for You.
Mohamed Diaby bravo e merci
tu ns donne baum au coeur
Q’ALLAH TE benise Ameen
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