Les Aigles du Mali participeront à leur 9e phase finale de la phase finale de la coupe d’Afrique des nations prévue en Guinée Equatoriale. On retiendra des six matchs des éliminatoires disputés par les Aigles, la carence notoire et avérée de l’entraineur national sur tous les plans. Pour certainement caché ses carences, Kasperczak tombe dans une arrogance sur sa cible préférée à savoir les journalistes.
Incapable de monter une équipe type tout au long des éliminatoires, Henrry Kasperczak a montré toutes limites dans le choix des joueurs convoqués et dans le choix du onze de départ. Du coup il était obligé de se soumettre aux désirs du capitaine des Aigles. Ce qu’il explique son appel à faire les éloges de Seydou Keita lors de sa dernière conférence de presse. Cela n’est pas une surprise quand on sait que l’homme était un chômeur pendant plus de trois ans. Pourtant cet entraineur est bien connu au Mali, au Sénégal et au Ghana pour avoir toujours fui en cas de manque de résultats. Malgré une clause de son contrat qui l’oblige à résider au pays, Kasperczak continue de résider en France sauf si les Aigles jouent des matchs. Une façon pour lui de fuir les journalistes et de cacher ses carences notoires. Aussi l’entraineur ne tient des conférences de presse que si les Aigles gagnent leurs matchs amicaux ou officiels. Et au moment de ces rares conférences de presse, ce franco-polonais se comporte par une arrogance inouïe à l’égard des journalistes présents sans oublier ses incohérences et ses élucubrations. Incapable de répondre convenablement aux questions des journalistes lors d’une conférence de presse, Kasperczak disjoncte en ces termes « Vous pensez que moi je dors en France. Si vous voulez en savoir faites comme les Sénégalais et les Ghanéens en prenant l’avion pour me trouver là-bas au lieu de rester à Bamako » a-t-il déclaré nerveusement. Mais ce qu’il oublie c’est lui même qui a signé son contrat pour dire qu’il réside au Mali et non en France et que le Mali est différent du Sénégal, du Ghana. En tout cas l’arrogance de cet entraineur n’est ni moins ni plus qu’une fuite de responsabilité d’un homme dépassé par le football moderne.
Affaire des employés de la FEMAFOOT, injustement licenciés
En attendant la justice divine, la justice des hommes est tombée !
Comme dirait l’autre certaines injustices n’attendent pas l’au-delà et elles se payent cache dans ce monde ici-bas. Et le président de la fédération malienne de football vient d’apprendre amèrement cela depuis le lundi après avoir injustement licencié sans motif valable 7 employés deux mois et 22 jours après son arrivée à la fédération. Et depuis ces 7 personnes toutes des chefs de famille ont frappé devant toutes les portes pour être dans leurs droits. Malgré plusieurs tentatives pour aller à une solution à l’amiable, le président de la fédération est resté sourd à tout cela. Finalement ces employés ont fini par saisir le tribunal du travail. Après 11 mois de procès le verdict est tombé et Baba Diarra a été sommé de payer 60 millions de FCFA comme dommages et intérêts y compris les droits. On peut dire que c’est un véritable camouflet que vient de subir l’Inspecteur général de police. En attendant la justice divine pour avoir injustement licencié 7 employés dont deux femmes de la fédération, la justice des hommes vient de tomber. Que Dieu soit loué, Amen !
Rassemblées par Saïd
Henry Kasperczak, après 6 “matches”, est sans doute moins “carent” que toi petit journaleux qui se moque éperdument des règles élémentaires de la grammaire française. 😈
cè pa maintena kil fo le dir. cè depui le 1er macht kil le falai. ou cè son comporetement envers les journalist ki vous on pousser a le faire?
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