Henri Kasperczak, nouvel entraineur des Aigles : Le retour d’un traitre

11 ans après avoir refusé de continuer avec le Mali et cela après une 4^e place lors de la CAN 2002 jouée au Mali, Henri Kasperczak avec une honte toute bue, a accepté de revenir pour se ressourcer financièrement  pendant au moins une année. En signant un contrat de 15 mois pardon 12 mois avec le Franco-polonais, Baba Diarra ne s’est pas donné l’objectif de remporter la coupe alors qu’il avait promis aux maliens avant et après son élection surprise mais plutôt une simple qualification à la phase finale comme si le Mali n’avait pas participé à la CAN depuis 2008. En tout cas le choix de cet entraineur a surpris plus d’un observateur de la scène footballistique malienne car l’homme était au frigo depuis 2011. Après la CAN 2002 où il a obtenu une 4^e place, Kasperczak était rentré au pays pour dit-il se rendre su chevet de sa femme malade. Mais une fois arrivé à Paris, il rompt avec le Mali et a déclaré que les dirigeants sportifs  d’alors dont l’actuel président de la fédération n’ont pas d’ambition réelle pour le football malien mais pour leurs poches. Et pire il a déclaré que le football malien n’a pas d’avenir devant lui car à ses dires les joueurs maliens étaient tous des impolis.  Mais hélas, le chômage, le gain facile ont poussé ce franco-polonais à revenir au Mali surtout quand on sait qu’il touchera 14 millions de FCFA par mois, un logement décent, une voiture, deux billets d’avion par an, des frais téléphoniques de 500.000 FCFA par mois sans oublier les primes et indemnités des différents matchs joués. Les maliens attendent incessamment la publication du contrat de l’entraineur une fois ceci est signé car Baba Diarra avait toujours fait croire que son prédécesseur avait toujours dissimulé le contrat des différents entraineurs engagés. Une chose est sûre si le football malien n’avait pas d’avenir cet entraineur en retraite n’allait jamais mettre pied au Mali à forte raison devenir entraineur 11ans après avoir refusé de poursuivre l’aventure malienne. Mieux il pousse l’outrecuidance en déclarant qu’un entraineur qui ne chôme pas n’est pas un bon entraineur. Mensonges quand tu nous tiens ! Nous disons simplement à Kasperczak que personne ne souhaite jamais chômer surtout dans le milieu des entraineurs où on gagne facilement des milliards et des milliards en un laps de temps. Peut-il dire que Arsène Wenger’(Arsenal), José Mourihno(Chelsea), Alex Fergusson (jusqu’à retraite) pour ne citer que ceux-ci sont des mauvais entraineurs. Des mauvais entraineurs, ce sont ceux qui ne font qu’enchainer des mauvais résultats comme lui au Ghana, au Sénégal, en Grèce. Un bon entraineur ne devient jamais le président des entraineurs ou le directeur technique national pendant trois années comme lui. Tout le monde n’est pas dupe au Mali mon cher Coach.

Saïd

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