Gestion de la crise du football malien : A quand la démission de Mme… Fatoumata Guindo et de ses larbins ?

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Accueillis à bras ouvert par les amateurs du ballon rond le 10 janvier 2018 comme étant les redresseurs du football malien après quatre ans de crise aigue, les cinq membres du comité de normalisation de la fédération malienne de football avec à leur tête la fameuse femme à scandale, Mme… Fatoumata Guindo, ont tout simplement échoué. En conséquence la seule manière pour eux c’est de démissionner avec le peu d’honneur qui leur reste encore. En effet sur les six points consignés dans la feuille de route de la FIFA du 14 janvier dernier, une partie du premier point a été résolu qui a vu le président de la ligue de Kayes rétablit dans ses droits pour avoir été injustement suspendu par le Djihadiste du football malien. Au cours  des trois mois écoulés, les légalistes et observateurs avertis fidèles au respect des statuts et règlements de la FEMAFOOT ont compris que les cinq personnes du CONOR avaient décidé de choisir leur camp c’est-à-dire le camp de Mamoutou Touré dit Bavieux en s’inventant une nouvelle feuille de route pour ensuite l’introniser le 30 avril prochain. Mais ils avaient oublié qu’un crime odieux n’est jamais parfait face à Dieu et à la détermination des responsables du Collectif des ligues et clubs majoritaires de la FEMAFOOT. Ayant échoué à faire passer sa ‘’propre’’ feuille de route, Mme… Fatoumata Guindo tombe honteusement dans des contradictions et dans des incohérences pour essayer de se justifier de ses décisions nauséabondes. Rappelons  que contrairement aux statuts de la fédération, la fameuse présidente a fait monter deux équipes favorables à Bavieux Touré en ligue 1 et en imposant Kassoum Coulibaly dit Yambox président de la ligue de Bamako favorable aussi au président autoproclamé de la fédération le 9 octobre 2017. Se voyant bloquée partout, la présidente parachutée tombe dans l’oubli total espérant certainement l’élimination du Djoliba face aux Rwandais de l’APR pour démarrer le championnat national à 20. Selon nos informations elle aurait accordée une interview à l’ORTM avant le match retour du Djoliba AC au Rwanda où elle allait se justifier sur les raisons de sa décision à démarrer le championnat avec 20 clubs. Mais Dieu était là pour veiller à ses fils car le Djoliba s’est brillamment qualifié. Face au non démarrage du championnat à 20, ses fervents partisans à savoir le camp de Bavieux, rentrent en rébellion et décident à leur tour de ne pas participer à son championnat. Pour ceux qui ne le savent pas encore ou qu’ils ne veulent pas savoir du tout , la mission du CONOR était de gérer les affaires courantes de la FEMAFOOT ; réviser, si nécessaire les statuts de la FEMAFOOT et assurer leur conformité avec les statuts, une exigence de la FIFA ;réviser, si nécessaire, les statuts des ligues régionales et assurer leur conformité avec les statuts de la FEMAFOOT ainsi qu’avec les statuts de la FIFA ; identifier les délégués légitimes à l’assemblée générale de la FEMAFOOT ; organiser l’élection d’un nouveau comité exécutif de la FEMAFOOT ; un audit judiciaire des comptes de la FEMAFOOT sera mené à bien dès que possible. Mais hélas la présidente a tellement goût aux voyages de la CAF et de la FIFA, qu’elle a certainement oublié sa mission première. Selon nos informations elle aurait écrit à la secrétaire générale de la FIFA qui serait son amie pour une prolongation de son mandat de six mois voire une année.  En tout cas à 24 jours de la fin du mandat de ces cinq membres, le bout du tunnel de la crise semble très voire très loin d’où une nouvelle prolongation en vue. Mais cela doit se faire sans cette fameuse femme à scandale et ses quatre larbins. Et les amateurs du ballon et les légalistes attendent impatiemment leur démission avant qu’ils ne subissent leur furia au cas où la FIFA venait à les mentir de nouveau

Saïd

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